Chronique de Bachir : une erreur fatale [Tome 2]

Determiné

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Moi : c'est mieux comme ça et tu as été forte pour pouvoir t'éloigner comme ça de celui que t'aime

Melanie : il le fallait, que je le veuille ou pas, déjà il ne m'a jamais aimé et après j'ai découvert que c'est un monstre

Moi : a ce point ?

Melanie :Mactar Ndiaye.

Moi : j'avoue que je suis perdu là, dis-je surpris,vous étiez ensemble.

Melanie : non j'ai juste dit que j'en étais amoureuse. Je travaillais pour lui et des sentiments sont nés malgré moi.

Moi : et comment tu as fait pour devenir l'amie de Cherifa ?

Melanie : avant on était pas aussi proche, c'est venu comme ça on s'est rapprochée l'une de l'autre quand elle eu tous ces problèmes.

Moi : tu n'étais pas jalouse?

Melanie : si au début de leur mariage mais je ne lui en voulait pas, elle ne m'a rien fait.

Moi : d'habitude les gens ne réfléchissent pas comme ça malheureusement.

Melanie :oui malheureusement, j'étais pas bien mais personne n'était responsable, je suis juste tombée amoureuse de l'homme qu'il ne fallait pas.

Moi : je veux savoir malgré tout ce qu'il a fait, tu n'as pas cessé d'aimer Mactar pour autant ?

Melanie : l'amour est quelque chose d'inexplicable, en plus moi il m'a toujours respecté, et il m'écoutait calmement même si après il faisait le contraire de ce que je lui conseillais.

Moi : tu as raison, mais tu as un bon cœur, je t'apprécie encore plus maintenant

Melanie : c'est ça la vie Bachir, moi je me mets à la place des autres.

Moi : c'est pourquoi je pense que tu serais la femme idéale pour Papi, c'est quelqu'un de bien tu verras.

Melanie : on verra avec le temps.

Moi : très bien, j'espère qu'on trouvera le bonheur et pour bientôt et s'il te plaît parle avec Cherifa.

Melanie : je vais essayer mais bon je ne te promets rien, elle est très têtue.

Moi : ça je sais.

Melanie : sinon à part ça quoi de neuf ?

Moi : tu sais Melanie ma vie tourne autour de Cherifa, Nancy, mon enfant.

Melanie : ah oui c'est vrai.

Moi : mes parents doivent voyager aujourd'hui.

Melanie : ah mais c'est bien.

Moi : tu habites avec tes parents ?

Melanie : avec ma mère,mon père est décédé il y'a quelques années.

Moi : je suis désolé.

Melanie : non t'inquiète pas

Moi : c'est fou parfois tu connais des gens depuis peu mais ils occupent une place importante dans ta vie.

Melanie : exactement bon trinquons à l'amitié.

Moi : a l'amitié! Dit-jr en levant mon verre.

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20h,

J'arrive à la maison et je dois amener mes parents à l'aéroport. Je trouve qu'ils sont déjà prêts. Ils ont vraiment  hâte de partir. Je leurs ai amené à l'aéroport et je sais qu'ils me manquent déjà. Après je rentre chez moi et je prends mon dîner avant d'appeler Papi.