Moi : sheu Nancy ne vois pas les choses comme ça, c'est fini entre Cherifa et moi, mais il faut que tu saches qu'elle a beaucoup fait pour moi et je pense que toi et moi on lui doit cela.
Nancy : je lui dois beaucoup mais pour ça c'est hors de question.
Moi : hum?
Nancy : oui et j'ai mon avis sur ça.
Moi : encore des problèmes, bon on est arrivé je vais garer là.
Nancy : d'accord dit-elle sur un ton sec.
Après avoir garé, on descend ensemble de la voiture pour rentrer à la maison.
Il y'a tout le monde dans la salle de séjour sauf maman qui est à la cuisine.
Moi : de retour.
Nancy :bonjour, dit-elle en allant vers papa pour le saluer.
Papa : bonjour ma fille comment tu vas?
Nancy : je vais très bien papa et vous?
Papa : je vais bien bien grâce à Dieu.
Mohamed : tu as une très bonne mine Nancy.
Nancy : oh tu es trop mignon, merci. Comment tu vas ?
Mohamed : je vais bie.
Moi : bon je vais prévenir maman, elle est dans la cuisine.
Nancy : attends je viens avec toi.
Elle se lève avant de me suivre dans la cuisine ou on a trouve maman en train de préparer le déjeuner.
Moi : maman, ta belle fille est là dis-je en rentrant avec Nancy.
Nancy : salut maman !
Maman : oh Nancy ! Tu es toute belle comme ça, tu vas bien j'espère ?
Nancy : très bien même, Bachir prends bien soin de moi.
Maman : c'est son devoir.
Nancy : vous voulez que je vous aide ?
Maman : oh non, toi tu dois bien te reposer vu ton état. Après quand tu viendras habiter avec nous tu nous montreras ce que tu sais faire.
Nancy : avec plaisir, dit-elle avec un petit sourire.
J'ai presque envie d'exploser de rire. Dans la voiture elle avait carrément refusé de venir habiter avec nous.
Moi : bon Nancy, je t'emmène au salon, on va discuter un peu.
Nancy : d'accord Bachir !
Maman : ok les jeunes je vous promets de terminer au plus tôt.
Moi : ça me fera plaisir, j'ai hâte de manger.
Nancy : gourmand va !
On sort de la cuisine pour aller dans le grand. Il n'y avait personne.
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Chronique de Bachir : une erreur fatale [Tome 2]
RomanceDes années de plus ne vous font pas grandir, c'est plutôt la vie qui vous y oblige. Mes parents m'ont beaucoup appris, l'école aussi mais l'expérience m'a appris le plus important : l'homme n'est pas maître de son destin. Je ne sais plus qui je su...