chapitre XVI

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Le temps passée aux côtés des jumeaux est passé à une allure folle. La petite famille s'est dit au revoir avant de repartir en Espagne. Martina a pu revoir sa mère qui lui a manqué. Le décalage horaire a était encore plus difficile que son arrivée aux États Unis mais après une semaine Martina a repris une vie tranquille.

- Maman je vais faire les courses.

- À toute à l'heure.

La fille sort enfin de chez elle depuis son retour des États Unis et pars en direction du supermarché mais elle est brusquement bousculé et elle fini le corps étalé par terre. Elle observe le visage du coupable.

- T'en a pas marre de toujours me faire tomber ? Demande la fille à la personne qui n'est autre que Raphaël.

- Je suis vraiment désolé !

- C'est pas grave.

- Je t'ai pas fait mal ? Demande le garçon en tendant sa main vers la fille pour la relevé.

- Non ne t'inquiète pas.

- Tu vas où ?

- Au supermarché faire des courses.

- Et ton copain ?

- Il est à Los Angeles.

- Tant mieux j'ai pas envie d'avoir des ennuis parce que je te parle.

- Ne t'inquiète pas, c'est pas lui qui va desider mes fréquentations amicales, tu veux qu'on passe un journée ensemble ?

- Ouais avec plaisir.

- Je dois y aller, appelle moi quand tu as du temps.

- Pas de soucis.

Elle est reparti sur le chemin du supermarché.

Le lendemain Martina a reçu un appel de Raphaël qui lui propose de le rejoindre au parc. Ils sont allés boire un verre à la cafétéria du coin puis Ivan a appellé Martina en facetime. Raphaël n'est pas rassuré, il n'aime pas les problèmes.

- Ivan, comment tu vas ? Les yeux de la fille brillent.

- Très bien, c'est quoi tout ce bruit ? Tu es où ?

- Je suis à la cafétéria avec mon ami Raphaël.

Elle tourne la camera du téléphone pour montrer la tête de Raphaël qui fait signe de la main à Ivan.

- Salut, dit Raphaël.

- Tu sais que je ne lui fait pas confiance ! Réponds Ivan.

- Je sais mais ne t'inquiète pas, je suis grande et je sais se que je fait.

- Je veux pas que tu le vois, impose Ivan fermement.

- Mais c'est mon ami.

- Non c'est pas ton ami, je veux plus que tu le revois Martina.

- Si je le ferai, tu n'as pas à desidé qui sont mes amis.

- Vraiment ?

- Oui.

- Ne t'étonnes pas si je ne réponds pas à ton appel demain, il met fin à l'appel très énervé.

- C'est encore à cause de moi, tu ne penses pas que c'est mieux pour ta relation de ne plus me voir ? Annonce le garçon qui se trouve toujours en face de Martina.

La rancoeur d'un quiproquoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant