Tome 1 : Le destin de toute une vie

A la recherche de (Tp) et du célestrier

Pdv de Link

Ca faisait un moment que j'étais dans la ville à chercher mon célestrier et (Tp), demandant à tout le monde si ils ne les avaient pas vu, mais partout où j'allais, c'était toujours la même réponse. Personne ne les avaient vu. Mais où sont-ils passé bon sang ? Même les élèves de l'école, ne savent pas où ils sont. Mais heureusement, Kiko m'a dit qu'il allait m'aidé à faire des recherches. En tout cas, ce sera plus facile à deux, que tout seul. Je me dirigea vers la place centrale, et surpris Hergo entrain de se faire masser par ses larbins.

Larbin n° 1 : Ca n'a pas été aussi facile que prévu, n'est-ce pas boss ? lui demanda-t-il, en continuant de lui masser les épaules. 

Hergo : Mouais, c'est vrai que ce piaf est un vrai dur à cuire. De plus, nous n'avions pas prévu que (Tp) nous suivait. Mais, même des teignes dans leurs genres, n'arriveront jamais à sortir de là où ils sont. répondit-il, d'un ton fier.

J'aurais du m'en douter. C'était Hergo qui était le responsable de leurs disparitions. Qu'est-ce qu'il a bien pu leur faire ? Rien de grave, j'espère. Parce que sinon, ça va chauffer pour eux, surtout pour Hergo. Puis, tout les trois se levèrent, et se retournèrent dans ma direction. En me voyant, ils eurent tous un visage surpris.

Hergo : Depuis quand tu es là, moucheron ? me demanda-t-il, d'un ton surpris.

Je ne lui répondis pas, mais je lui lança un regard noir.

Hergo : Je me demanda bien ce qu'un moustique dans ton genre, viens faire par ici. dit-il, en réfléchissant à voix haute, pour me narguer. Je sais. Tu viens me demander que je te laisses gagné la chevauchée céleste, n'est-ce pas ? me demanda-t-il. Parce que tu meurs d'envie de te retrouver seul à seul à Zelda. répondit-il lui-même à sa question, sans me laisser le temps d'en placer une. Mais, il n'y a rien que tu puisses faire, pour me corrompre. Si tu as de la chance, tu arrivas sûrement deuxième. continua-t-il. Mais d'ailleurs... Je ne le vois nulle part, ton piaf. Ni cette idiote de (Tp), qui te suit tout le temps. Où est-ce qu'ils peuvent bien être ? J'espère que ton piaf ne s'est pas égaré, et que (Tp) ne soit pas tombée de son célestrier pendant l'une de ses balades. ajouta-t-il, en affichant un sourire mesquin sur le visage.

Moi : Où sont-ils Hergo ? lui demandais-je, calmement. Il vaut mieux pour toi, et pour tes petits copains, qu'il ne leur soient rien arrivés. ajoutais-je, en essayant de garder mon sang, face à la situation.

Hergo : Je ne vois pas du tout de quoi tu parles. Je n'y suis absolument pour rien, dans cette histoire. nia-t-il, d'un ton faussement innocent.

Face à cette réponse, qui sonnait plus que fausse à mes oreilles, je sentis me sang bouillir, pendant que je serais les poings.

Hergo : Monsieur se croit tout permit, parce qu'il a grandi avec 2 filles, qui t'ont pris sous leurs ailes. Tout ce que tu fais, c'est te la raconter. C'est des gars dans ton genre, qui salissent le nom de notre école. me dit-il, en me prenant de haut.

Et lui, non. Il faudrait qu'il apprenne à se regarder dans un miroir, avant de me critiquer.

Zelda : Qu'est-ce que j'entends là ? demanda-t-elle, d'une voix furieuse.

Ah bah tiens. Voilà les renforts. Juste à temps. Comme d'habitude.

Hergo : Z-zelda. dit-il, d'un ton mal à l'aise, qu'elle ait pu entendre ce qu'il avait dit.

Zelda se rapprocha de nous, me mit en arrière et se mit devant moi, face à Hergo, le doigt pointer vers son visage.

Zelda : Hergo ! Quand est-ce que tu vas arrêter d'importuner Link ? lui demanda-t-elle, d'une voix énervée et agacée.