Pdv de (Tp)
Nous fûmes alors téléporter sur les paumes de la statue de la Déesse. Nous pûmes alors remarquer que le soleil commence à se lever doucement. Arété ? Tu sais quel jour on est ?
Arété : Vous êtes à l'aube de votre 43 ème jour de quête... me répondit-elle. J'arrive pas à croire que votre quête est bientôt terminée... souffla-t-elle, d'une voix émue.
Oui... Moi aussi, j'ai encore du mal à y croire...
Arété : Je me rappelle comme si c'était hier le début de votre quête... Ca remonte à si loin désormais... me dit-elle, d'une voix nostalgique.
Moi aussi, j'ai cette même impression... Ca me fait tout drôle d'y repenser...
Link : C'est toi qui nous téléporter, mon ange ? me demanda-t-il, en me regardant, et coupant ma converstion remplie de nostalgie avec Arété.
Moi : Non, ce n'est pas moi... répondis-je, d'un ton perdu. C'est peut-être Fay qui l'a fait. supposais-je.
A la fin de ma phrase, Fay sortie de l'épée et se mit à côté de nous.
Fay : Vous vous méprenez, dame (Tp)... Ce n'est pas moi qui vous ai téléporté... répliqua-t-elle. C'est la Déesse qui a mit en place un sort, qui ne s'activerait seulement lorsque vous et maître Link auriez réunis tout les morceaux de la Triforce... nous expliqua-t-elle.
Ah oui d'accord... Ca explique tout... Link et moi, nous nous regardâmes, tout en nous souriant. Puis, tout d'un coup la Triforce sortie de la poitrine de Link, avant de se placer devant nous et de flotter dans les airs. Nous l'observâmes quelques instants, avant de nous jeter un regard, de hocher la tête d'un air déterminé, de nous mettre à genoux et de commencer à prier pour la destruction de l'Avatar du Néant. Un long silence s'installa. Au bout d'un moment, la Triforce se mit à briller intensément, puis le sol sous nos pieds se mit à trembler. Et nous levant et nous tournant, nous vîmes l'île de la Déesse se détacher de Célesbourg, et commença à descendre de plus en plus, jusqu'à traverser la mer de nuages. Alors que nous tombions de plus en plus, je ressentis l'aura maléfique du Banni. Il ne peut pas tomber mieux... L'île de la Déesse continua sa descente, jusqu'à écraser le monstre, tandis que la Triforce s'illumina une nouvelle fois. Puis, une fumée noire s'échappa des fissures, tandis que le sol tremble de manière intense. Link et moi, nous nous accrochons l'un à l'autre pour éviter de tomber, jusqu'à ce que la fumée disparaisse définitivement, ainsi que l'aura maléfique, preuve que le Banni a été éradiqué une bonne fois pour toute. Une fois que les secousses furent terminées, nous observâmes le temple, tout en nous détachant des bras de l'autre.
Fay : L'île de la Déesse est de retour sur terre... La Triforce a entendue votre prière... L'Avatar du néant n'est plus... Le sceau n'a désormais plus de raison d'être... Il y a donc de fortes chances que dame Zelda se réveille... nous dit-elle avec le sourire.
A l'entente de cette nouvelle, Link et moi, nous nous mîmes à sourire, et nous nous regardâmes d'un air heureux.
Fay : Je vous recommande donc de vous y rendre sans tarder... nous conseilla-t-elle.
Nous hochâmes la tête d'un air toujours aussi heureux, avant que Fay ne retourne dans l'épée, que nous sautâmes de la statue, et nous nous précipitâmes vers le temple. Une fois à l'intérieur, nous vîmes Hergo et l'ancienne qui nous attendent et nous sourissent. Nous leur sourîmes à notre tour, avant de nous diriger vers la salle où sommeil Zelda. De la lumière se mit à surgir de l'entrebaîllement de la porte, avant qu'elle ne s'ouvre toute seule. Nous pénétrâmes alors dans la salle, et vîmes l'ambre dans lequel est endormie Zelda scintiller, avant de commencer à se briser. Puis, une lumière intense en émana, faisant éclater l'ambre en milles morceaux, tandis que Zelda descendit lentement, jusqu'à toucher le sol. Puis, elle ouvrit les yeux, en nous voyant elle nous sourit.
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Tome 1 : Le destin de toute une vie
FanfictionRapel : Tp (ton prénom) ta (tel âge) cc (couleur de cheveux) cy (couleur des yeux) cp (couleur préférée) Je posterais un chapitre tout les dimanches, et d'autres jours si j'ai le temps. Les personnages ne sont pas ma création, sauf (...