Monstre marin antique, Daidagos et la flamme de Nayru

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Pdv de (Tp)

Nous déverrouillâmes la porte, puis nous entrâmes dans la dernière salle. Soudain, le bois se mit à craquer, et des tentacules transpercèren le vois. Puis, le plancher sous nos pids se mit à pencher sur le côté. Link et moi, nous comprîmes ce qui était entrain de se passer. Nous nous lançâmes un regard, avant de partir en courant. Il faut qu'on sorte de là... Et vite ! Des tentacules tentèrent de nous barrer la route, mais nous réussîmes à passer sans trop de difficulté. le niveau se met à monter, alors que nous remontons les couloirs des cales. Au bout d'un moment, nous réussîmes à sortir de l'intérieur du navire. Lorsque nous fûmes à l'extérieur, nous remarquâmes que le bateau est désormais coupé en deux, et que le temps est à la tempête.

Link : Ca va, mon ange ? ... Tu n'as rien ? me demanda-t-il, d'un air inquiet et essouflé.

Moi : Non, ça va... répondis-je, d'une voix toute aussi essouflée que lui. Et toi ? lui demandais-je.

Link : Ca va. me répondit-il.

Ouf... Par la Déesse.. On a eu chaud... Un peu plus et on finissait à l'eau...

Tout d'un coup, le bateau se mit à trembler et à tanguer, puis des tentacules transpercèrent le plancher. Et dire que j'avais promis à Ycéo de lui rendre son navire en bon état... Je crois que c'est fichu.. Puis, un énorme monstre avec des tentacules sur la tête, un énorme et unique oeil rouge, une grande bouche avec des dents accérées, et des tentacules qui lui servent de bras. Le monstre poussa un cri, avant de plonger sous l'eau, et de transpercer le plancher avec ses tentacules. Nous nous mîmes à les couper une par une, jusqu'à ce que le monstre réapparaisse. Vu que son oeil est la seule chose qui est facile à atteindre, il doit s'agir de son point faible. Je rangea alors mon épée et sortis mon arc, Link fit de même. Je tira une flèche qui alla se planter pile dans son oeil, tandis qu'il a fallu à Link 3 flèches avant de le toucher. Le monstre se mit à hurler de douleur, avant de tomber sur le bord du bateau. Nous nous précipitâmes alors vers le visage du monstre, tout en rangeant nos arcs et en reprenant nos épées, puis nous donnâmes plusieurs coups dans l'oeil du monstre. Puis, le monstre recula, avant de replonger dans l'eau. Nous recommençâmes alors le même stratagème à plusieurs reprises, jsuq'à ce que le monstre ne se mette à frapper le bateau, qui commence à doucement partir en morceaux.  Nous prîmes alors la résolution d'aller sur le haut du navire. Puis, cette fois, le monstre nous attaqua avec les tentacules qu'il a sur la tête. Nous nous mîmes à les couper une par une. Le problème est lorsqu'on en coupe une, elle repart vers la tête, et repousse comme si de rien n'était. Puis, lorsque le monstre arrêta de nous attaquer, nous tirâmes tout deux des flèches dans son oeil. Le monstre hurla encore une fois sa douleur, avant de se laisser tomber sur le bout qu'il reste du navire. Nous reprîmes alors nos épées, et nous attaquâmes son oeil à plusieurs reprises. Puis, nous dûles recommencer ce stratagème à quelques reprises. Enfin, le monstre hurla sa douleur tout en gigotant dans tout les sens, avant de se figer et d'exploser.

Pdv de Link

Alors que nous entrain de reprendre notre souffle, la tempête se calma et un mécanisme s'activa et fit sortir devant nous le symbole de la Déesse. J'utilisa alors l'écat céleste dessus, ce qui eut pour effet de faire apparaitre une flamme bleue. Puis, Fay sortie de l'épée, se plaça devant la flamme sacrée, avant dentrer dedans et de se mettre devant moi, alors que la flamme l'entoure. Fay me lança un regard, je compris alors ce que je devais faire et tendis l'épée vers elle. Elle entra dans l'épée en plusieurs et de manière assez forte pour m'obliger à tenir l'épée avec mes deux mains. Lorsque ce fut finit, je pointa l'épée vers le haut, puis elle s'illumina, avant de changer de forme.

 Lorsque ce fut finit, je pointa l'épée vers le haut, puis elle s'illumina, avant de changer de forme

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Je brassa quelques coups dans les airs, afin de tester la maniabilité de l'épée, avant de la ranger. Puis, je sentis une douce chaleur émaner de ma main droite, je le regarda et vis qu'un triangle s'était ajouté à celui de la dernière fois. Je me tourna vers (Tp), et lui montra le dos de ma main. Elle prit ma main dans les siennes et l'observa un instant, avant d'aborder un petit sourire. Puis, elle me regarda, tout en gardant ce petit sourire sur son visage. Puis, nous descendîmes du bateu main dans la main, alors que le soleil commence doucement à se lever.

Le lendemain (27 ème jour)

Nous trouvâmes Ycéo entrain de parler joyeusement avec ses compagnons. Oh non... Pas lui... Celui-ci tourna son regard vers nous, et sembla soulagé de nous voir. ... Enfin... De voir (Tp)...

Ycéo : La Déesse soit louée, vous allez bien, Madame. souffla-t-il, d'un ton soulagé. Merci d'avoir sauver mes compagnons. Je vous en suis infiniment reconnaissant. la remercia-t-il, en s'inclinant devant elle.

(Tp) : Je suis désolée pour ton navire, Ycéo. s'excusa-t-elle, d'un air désolé.

Ycéo : Ne vous en faites pas pour ça, Madame. Mes moussaillons et moi, nous allons le remettre en état. répliqua-t-il, en se redressant. En tout cas... Merci mille fois, Madame. Je n'oublirais jamais la bonté que vous avez eu envers mes camarades et moi. la remercia-t-il, une nouvelle fois. Sachez que si vous revenez dans les parages, vous serez la bienvenue sur mon navire. ajouta-t-il, en s'inclinant une nouvelle fois.

Et moi alors ? Je compte pour du beurre ?

(Tp) : J'en serais ravie. répliqua-t-elle. Et ne me remercie pas. Remercie plutôt Link. Après tout, il a été avec moi pour libérer tes compagnons. Si il n'avait pas été là, je ne m'en serais jamais sortie sans lui. ajouta-t-elle, en serrant doucement ma main.

C'est plutôt à moi de dire ça, et pas à toi. Mais bon j'imagine qu'elle que je reçois également la gratitude de Ycéo. Même si je me fiche bien d'avoir sa gratitude...

Ycéo : Oui... Merci à toi aussi, jeune humain. me remercia-t-il, en se redressant et en n'ayant pas vraimant de penser ses paroles.

Oh mais ne t'inquiètes pas, Ycéo... Je ne t'aime pas non plus...

Moi : On y va ? demandais-je à (Tp), en ayant marre de voir la tête de ce robot lèche botte.

Elle hocha la tête, avant de dire aurevoir à Ycéo, qui lui aurevoir à son tour, en s'inclinant une dernière fois.

Tome 1 : Le destin de toute une vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant