Heiress of the Assassins's

Un contrôle épatant

Le lendemain matin 6h00 : Zio saute du lit comme a son habitude pour se précipiter a la douche. Une fois sorti de sa douche, hâte d'aller petit déjeuner, il prend de quoi écrire un petit mots a Thally, mais se matin le jeune homme change légèrement ces habitude, et prépare le petit déjeuner pour lui et Thally, laisse le petit mots a côté de la brioche de son ami avant d'aller la réveiller et redescendre en tout hâte s'asseoir a table attendant qu'elle le rejoigne.

Heureuse que son ami l'ai réveiller pour petit déjeuner ensemble Thally descend aussitôt et prend place a table, le sourire au lèvres, elle lis le petit mots matinal.

* - C'est beau de pleurer, mais bien trop faible ! Comme toi.. Je suis bien plus que déçus que tu n'arrive même pas a savoir si je suis triste où simplement énerver contre toi et tes actes. *

Son sourire s'estompe peut a peut pour laisser place aux larmes une nouvelle fois, mais Thally terriblement vexer, se lève de sa chaise sans même dire un mots et cour vers sa chambre.. Zio attrape son bras pour la stopper et lui tend un autre mot puis la relâche pour qu'elle continu sa course.

Durent la journée Thally trouve des petit mots dans chaque pièce de la maison, choses qu'elle trouve adorable malgré tout, car il y a bien longtemps que son ami ne lui avais pas fais sa.. Depuis que les jeunes savent écrire, Zio a pris pour habitude avec Thally de lui dire tout se qu'il n'arriver pas a dire en tête a tête de cette façon.

16h30 Zio sort, laissent ainsi la maison a Thally, pour qu'elle reconstitue le puzzle et réfléchisse, tendis que lui prenne l'aire et le temps de se retrouver seule dans le champ qu'il a trouver non loin de son domicile, juste a côté d'une petite maison traditionnel qui a son avis es habiter que très peut dans l'année.. mais cela arrange grandement Zio qui aime le calme et la tranquillité, et se qui lui donne un endroit pour laisser son côté brutal s'exprimer en liberté.

Il fais donc le tour de la propriété pour êtres sur d'être seul, vérification faite il se rend au milieux du champ et s'allonge, admirent ainsi le ciel avant de fermer les yeux pour se mélanger totalement aux élément qui l'entour, a commencer par son propre corps, puis ces sens et ces émotions, pouvant ainsi faire tout se don il as envie des élément, est ayant le pouvoir de laisser ces émotions le diriger Zio peut faire des choses tellement extraordinaire tout en restant invisible au yeux des autres.

Voilà plus de cinq ans que Zio n'a pas utiliser son don pour s'exprimer ou oublier ces souci.. mais aujourd'hui est pour lui une période compliquer loin des sien, loin de son Hoopa, trop prêt des ennuis, il ne peux garder en lui tout ces émotions qui l'envahisse en se moment même sans faire d'erreur par la suite.

Toujours allonger au milieux du champ, Zio ouvre doucement les yeux, le blé l'entourent prend alors vie, a une vitesse hors de commun. Il lève son bras droit vers le ciel, tout les arbres vêtu de magnifique pétales rose qui entourent le champ se déshabille, tout les pétales recouvre totalement le champ. Le bras gauche pointant lui aussi le ciel, le vent se lève laissent de petite brise caresser son visage. Un grand sourire prend forme sur son visage, les fleurs de tout la propriété se réveil et s'ouvre en grand souriant elle aussi au soleil. Le propriétaire ayant vue tout ces choses se produire de loin c'est donc rapprocher pour voir se qui se passer, mais Zio ayant senti de loin sa présence utilise les élément pour ne pas être vue pouvant ainsi continuer d'émerveiller l'habitant de cette maison. Zio se lève, décident en suite de laisser sa colère et sa tristesse se mélanger, pour se laisser guider, les pétales dessine alors sa silhouette puis d'autres l'entourant et toute regarde le ciel qui s'illumine d'avantage avec toute les éclaires qui se dessine brièvement, Zio lève alors les deux bras au dessus de sa tête la tête vers le ciel et tourne sur lui même, se qui fais faire de même au silhouette qui l'entoure.. Plus il laisse ces émotions le guider plus le ciel s'illumine. L'homme admirent se que la nature fais, un sourire se dessine sur son visage se qui rend alors Zio fière et heureux de donner le sourire a quelqu'un. Zio s'enfonce alors loin dans le champ, puis les silhouette le suivent et finisse par disparaître une fois loin de L'homme. Plus Zio s'éloigne plus la nature et les élément reprenne leur place initial.                          Zio calmer, retourne au près de Thally.

A son arrivée dans la maison, il retrouve son puzzle partout par terre et Thally assise dans une carre genoux ramener a la tête en pleure, il ramasse tout les petit mots pour les poser sur la table de la cuisine, puis se dirige vers sa chambre ignorant l'état de Thally.. mais lui adresse au moins un mots : J'y croyez Thally, je le voulais... Je voulais vraiment que tu me montre que tu n'ai pas comme elle !  

19h00 Zio sort enfin de sa chambre, mais Thally na pas bouger depuis son retour...

- Debout porcelaine, on a rendez-vous avec les faucheurs de là ville !

- Vas y tout seul cœur de pierre !

- J'ai était imaginer ainsi par mon Caelymo, j'y peut rien si j'ai pas de cœur en marshmallow.. Le maître sorcier t'a bien imaginer faible. Chacun sais défaut porcelaine !

- Comment peut tu ? Où es mon meilleur ami si doux ?

- Devant toi, mais tu ma bien chercher avec Drakus ! Vous avez voulu jouer les guerrière bas voilà comment je vous le rends ! Maintenant venais pas chialer je n'ai pas était élevais par la pitié, mais par la froideur.

- Pourquoi Zio ? Pourquoi tu me punis moi, alors qu'elle es autant coupable que moi, et qu'elle ne ta présenter aucune excuses ?!

- Souvient toi Thally.. Si je ne parle pas, ne me demande pas de parler, si je te fais mal ne me demande pas de te consoler, si je te fuit ne me coure pas apprêt.. Car tu fini toujours par avoir encore plus mal.. J'ai pas fini ma crise alors fais toi petite ou je passerais ma crise sur toi sans remord !

- Tu me menace ?

- Je ne menace jamais, j'avertis, tu le serrais si tu me connaissais vraiment !

- Je sais que tu prend personne en pitié, mais.. tu na jamais était si froid...

- Je suis froid, blessant, brute, cruel, lunatique, dominateur, et je peut aussi être persécuteur si sa me chante, alors je te pris de ne pas attendre la moindre compassion de ma part et encore moins mes bras pour pleurer car jamais tu ne les auras.. Maintenant debout on nous attend.  

- Arrête Zio, j'en ais assez de ta froideur et de ton calme..

- Je n'ai pas d'intérêt a me mettre en colère contre toi, et là violence ne me rendras pas se que j'ai perdu par votre faute !

- Alors que doit-je faire de plus pour que mon ami revienne ?

- Les réponse son dans le puzzle, débrouille toi ! J'ai mieux a faire, libre a toi de ne pas faire ton boulot.   

Sur ces mots Zio quitte la maison sans se retourner, laissant ainsi Thally une nouvelle fois seule dans la maison, et une fois encore Zio quitte la maison noyer dans un cocktail d'émotions.