Chapitre 8

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Je m'allonge sur mon lit sur le dos. Glory, mon chat, monte d'un saut sur mon lit et se met à ronronner contre mes cotes. Elle s'y frotte, et décide de s'allonger. Je la caresse d'un revers de main. Elle me répond par un ronronnement plus fort suivi d'un miaulement doux. Je ne tarde pas à m'endormir.

- Naos William Fostergald ! Hurla la voix d'une femme.
- Zia ? Soupire-ai-je
- Oui Zia ! Mais qu'à tu à avoir un chat ? En te voyant t'amuser avec lui, ces incompétents ont voulu faire un rêve sur cet animal répugnant !
- Et bien, on dirait que cette fois ci, tu n'as pas eu le dessus. Répliquai-je avec un sourire malicieux.
- Je ne peux pas m'empêcher de me demander pourquoi on m'a attribué tes rêves ! J'aurais pu bien m'occuper de quelqu'un d'autre ! Rétorqua-t-elle de rage.
Cette note me demanda quelques réflexions. Si elle devait s'occuper de mes rêves, c'est parce que c'est moi qui l'ai inventé. Pourquoi voudrait-t-elle qu'on lui attribue les rêves de quelqu'un d'autre ?

Je laissais cette histoire de côté. 
- Pline ?
J'appelais à tue-tête la petite fille.
- Pline ou es-tu ?
- Je suis là. Répondit une toute petite voix. Je me dirigeais vers la petite voix fluette quand je la vue adossé à l'arbre Suspendu. Cela m'arracha quelques doutes puisque qu'elle ne se trouvait jamais à cet endroit d'habitude. En m'attendant, répétait-elle, elle était toujours à la Serrure.

Je m'approche de l'arbre. Et je vois une petite silhouette fluette.
Mais ce n'est pas Pline.

La Couleur d'un Rêve - Whitney Pitzergald | En pause Où les histoires vivent. Découvrez maintenant