ШЕСТНАДЦАТЬ.

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P.D.V JUNGKOOK.
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Tout va bien. Enfin dumoin, pour eux.
Hier nous avons passer une bonne soirée à se câliner avec Jimin et Hoseok, donc ça m'avait quelque peu remonter le morale.
Cependant, il est dix heures, et ils ont décidé de faire la grasse mat'. Tant mieux quelque part, je vais pouvoir m'éclipser en leur laissant un mot.

J'étais vêtu d'un jean noir plutôt simple mais un peu déchirer, et d'un pull à capuche tout aussi noir.

Oui, j'allais y aller. Après tout, il aller juste me voir puis partir en me laissant tranquille avec mon couple.
C'est comme ça que ça doit se passer hein?

Je pris mon téléphone que je mis dans ma porche arrière de jean, puis parti dans le hall, voulant me dépêcher avant qu'ils ne se réveillent.

Sans plus tarder, je pris un bout de papier ainsi qu'un stylo pour marquer ce fameux mots :

Mes amours, je suis aller faire des courses pour m'acheter mes céréales préférées, et je vais surement passer dans un magasin de vêtements. Je reviens vite, je vous aimes.

Bisou, JungKook-ah.

Une fois le mot mit sur la table, je regardai une dernière fois l'heure.
Dis heures cinq.
J'avais encore le temps...

Je parti quand même, prenant soin de fermer délicatement la porte derrière moi.

Et, pour expliquer comment se fait-il que WonHo se retrouve à GwangJu alors que j'ai toujours habité à Busan, c'est simplement qu'il à osé faire un voyage pour moi.

Vingt minutes plus tard.

Je pensais pas que le parc était aussi loin. Du moins à pieds.
J'ai faim, j'ai soif, et j'ai toujours pas reçu de message de mes chéris.

Je fini par arriver dans ce fameux parc. C'est bizarre. C'est grand, très grand, il y a plein d'arbres, il fait froid et il y a très peu de monde.
Dans quel merde je me suis embarqué moi, encore...

Je fis quelques petits pas, avec une quête de pouvoir l'attendre, malgré le stresse qui me possédait.
Mais quand je vis une grande masse musculaire à la place ou je devais être, des cheveux bien noirs à l'allure de badboy, je senti l'angoisse monter jusqu'à ma gorge.
Il était mon pire cauchemar.
WonHo était à seulement quinze mètres de moi. Non, non je peux pas, j'ai peur.

- JungKook!

J'étais pétrifié. Je ne pouvais pas bouger. Je sentais ma respiration se couper à chaque pas qu'il faisait.
Par instinct, je fermai mes paupières, la tête baissée. Je ne voulais pas le voir...

- Kook-ah.. Ça fais si longtemps.

Il posa alors ses grandes mains sur mes épaules, pour ainsi me pousser jusqu'à un mur.
Je m'étais crispé en geignant. Sentir ses mains froides sur mon corps.. Ça me frigorifiait.

Une fois mon dos collé au mur, une de ses mains se posa à côté de ma tête, et l'autre vint caresser de manière malsaine ma joue.

- Tu es tellement beau maintenant que tu es majeur..
- W-WonHo... L-lâche moi..
- Non. Ça fais six ans que j'attend de pouvoir te revoir JungKook, je ne vais te lâcher d'aussitôt.
- Je veux pas. Pars de ma vie. Je veux plus te voir.

J'osai alors lever mon regard envers WonHo. Sans mentir, il est très charmant, comme séduisant mais, il est répugnant intérieurement.
C'est un monstre.

Mon visage fut déformé par la peur.

- Hm.. Non. Tu as bien changé dans ton caractère, mon ange.
- Ne m'appelle pas comme ça!
- Ne lève pas la voix avec moi de cette manière ou j'te brise ton joli cul contre ce putain de mur, JungKook.

Il avait illustrer ses mot en posant sa grande main sur ma bouche.

Sa main sale collée contre ma bouche, mon torse nu contre le mur froid, je me recevais des coups de ceinture en cuire sur mon bassin. Je criais, ça claquait, j'en avais des marques violacées.

- W-W-.. WonHo..! S-stop! Je t'en supplie, je suis désolé!
- Fallait y penser avant de me cracher a la gueule sale chienne!

A la suite de ces paroles, je reçu un autre coup de ceinture tout aussi fort, qui me fit crier gorge déployée. Je pleurais, c'est trop. Je souffrais le martyre, et je sentais quelques gouttes de sang coulaient le long de mes cuisses.

Sous les sensations bien trop fortes, je me laissai tomber à terre, à genoux, ne pouvant guère m'assoir sur les fesses.

- Je te veux dans la salle de jeux dans dix minutes. Tâche d'être habillé comme une pute.
- J..
- J'vais te déchirer, JungKook.

Non! Hors de question. Ces souvenirs sont bien trop violent pour moi. Je, je ne peux pas...

Les larmes me montèrent alors. La peur était bien trop présente.
Je me mis à frapper son torse de mes mains, mais il est constitué entièrement de muscle, je ne le bouge même pas d'un poil.

- T'essaie de faire quoi? Me pousser?
- HM!

Comme je pu, j'aggripa le poignet de WonHo, et réussi par miracle, à enlever sa main de ma bouche.

- Je.. Qu'est ce que tu veux de moi?
- Je veux rien de toi. Je te veux toi. Que tu redevienne mon jouet.
- Tu peux toujours rêver! Et je suis en couple, WonHo.
- Tu crois que ça va m'arrêter? Quand j'ai eu les flics au cul parce que je baisais un mineur, j'ai quand même continuer d'me taper ton cul.
- WonHo... Pitié.
- J'en ai pas.

Sa main vint alors se glisser sur ma hanche, menaçant d'atterrir sur mes fesses. Mais il en était hors de question. Hors de question qu'il me retouche.

Alors, sans réfléchir, ma main vint subitement claquer la joue de WonHo. Sa tête vira sur le côté, c'est le temps de m'échapper.

Je me décolla du mur, et fit quelques pas pour m'en aller.

- Bouge pas.

Il m'a tenu par mon haut.
J'suis coincé.
Sans comprendre ce qu'il venait de se passer, je me fis violemment pousser contre le mur, une seconde fois.
Sans pouvoir me retenir, j'éclatai en sanglots, cachant mon visage avec mes mains.

- Tu vas me le payer.
















Pardon... J'ai pas pu vous dire adieu.

𝐍𝐀𝐒𝐓𝐘Où les histoires vivent. Découvrez maintenant