Chapitre 7 : Réveil peu Banal

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  Je me réveille en sursaut, elle me secouant les épaules...Je pensais m'accorder enfin une bonne nuit de sommeil après tant de jours à ne dormir que sur une oreille mais le destin à l'air d'avoir la fâcheuse tendance de vouloir m'empêcher d'avoir une bonne nuit de sommeil...

-Réveille-toi...Elle continua de mes secouer les épaules et je place ma main devant son visage encore l'esprit embrumé

-Arrête ! Soufflais-je maussade, je déteste qu'on me réveille comme ça, je suis pas du matin et à chaque fois que je me lève le matin j'ai l'air d'un ours grincheux pendant 30 minutes au moins.

-Je ne rigole pas Jules ! Elle à l'air paniquer, ses yeux sont écarquillés, et sa bouche est grande ouverte mué par la terreur.

La peur qui se dépeint sur son visage, à le don de me réveiller, je me révèle énergiquement et elle suit mon mouvement, me regardant avec appréhension.

-Qu'est-ce qui ce passe ? Dis-je d'une voix claire haussant le ton sans vraiment le vouloir.

Elle plaque sa main contre ma bouche, et murmure à mon oreille.

-Parle moins fort ! Y a des mecs qui se sont introduit dans le bâtiment.

Mon regard se durcit soudain, ils n'ont pas intérêt à venir dans l'appartement, car nous allons les attendre. Je déteste les pillards, je les hais de tout mon cœur. Ceux qui viennent chez-toi pour te braquer et te voler. Et même pour tuer/violer tes proches. Sont les Hommes les plus horribles que la Terre n'ait jamais porté, ils sont de la mauvaise graine.

-Ok j'ai un plan. On fait le moins de bruit et on attends qu'il frappe à notre porte pour les attaquer...

Malgré la peur qui nous animes tous les deux, elle arrive quand même à sourire et à dire en plaisantant

-Va falloir que tu te renouvelles aux niveaux de tes plans, Jules.

J'attrape mon couteau, et elle fait de même aussi. D'un regard nous nous comprenons, elle se place derrière un fauteuil accroupi et moi de nouveau contre le mur. Nous attendons, le souffle court. En dessous de nous, les bruits de pas s'intensifie. On les entend renverser des meubles, briser des verres. Ils sont pour casser, et si on tombe sur le chemin ils ne feront aucun cadeau. Je sens l'adrénaline monter en moi, les battements de mon cœur s'accélérer de plus en plus moi, j'ai même les mains moites. Mais à force de vivre voir survivre on s'habitue à ces sensations, elle devienne comme la joie ou la tristesse des compagnons de vie. Et puis au fur et à mesure on s'assagis, on devient plus calme face à ce genre de situations. Je pense que si nous les avions rencontré il y a quelques années, et bien j'aurais foncé vers le danger, ou bien je me serais caché lâchement. Mais cette époque où je n'étais qu'un enfant face à un monde remplis de mes pires cauchemars est révolue. Je crois que Kat' est dans le même cas.

Un des pillards en bas, trouve la bonne idée de frapper contre la rambarde montant bruyamment les escaliers. Ils sont trop confiants et tout ça ne me dit rien qui vaille. Comme s'ils savent ce qui leur entend dans le bâtiment. La surprise va être notre seule alliée...Mais même avec elle qui sait si on va s'en sortir ? Ils ont l'air d'être beaucoup à monter et peut-être que tout va se jouer à la chance.

C'est perdu dans mes pensées, que je les perçois sur le pas de la porte, une lumière s'échappant de la raie de la porte. Je me déplace par crainte derrière le même canapé que celui de Kat'. J'essaye de me faire le plus petit possible et elle fait de même, nous nous regardons tout les deux. Son stress est presque papable, je le vois dans ses yeux. Elle a aussi peur que nous, même si nous sommes des survivants, on reste des adolescents. Et je sais pertinemment que je ne fais pas le point contre des adultes. Ce battre avec quelqu'un de bien vivant qu'avec un monstre c'est tout autre chose.

La porte s'ouvre avec fracas, et une lumière nous aveugle presque. J'entends quelqu'un recharger son fusil à pompe. J'arrive à les voir à travers un petit interstice. Ils sont grands très grands, mais surtout leurs visages me rappelle l'un d'eux plus que les autres. Et c'est à ce moment-là que je me rends compte avec horreur que ce sont les gars du restaurant.

Ils nous ont continuer de nous traquer ! Mais pourquoi bon sang !

Qu'allons-nous devenir ?   

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Pas très inspiré ce chapitre et je m'en excuse ! 

Secteur 2 : La ville des morts.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant