J'ai glissé les yeux sur un miroir
Sur un reflet
Des couleurs ternes et pâles en ressortaient
Et quelque part par là j'ai croisé le regard de cette personneCette personne avait les yeux qui criait la détresse
Qui criait la mort
N'est-elle pas déjà morte de l'intérieur?Cette personne possédait ces cernes des ados frustrés qui rentrent au lycée et qui ne supporte pas la pression
Elles étaient colorées d'une teinte plus foncée que les jours heureux
Que les jours malheureux
Cela ressemblait aux cernes des jours morts
Je crois qu'elle est déjà morte de l'intérieurCette personne avait ces cheveux en bataille
Ils étaient rattachés à l'arrière de sa tête
Des mèches s'en détachaient parfois
Tout semblait en désordre
Son cœur l'était aussi
La lueur de ses yeux le criaitCette personne avait des tâches, des points, des boutons qui recouvrait son visage de toute part
On pouvait songer à des traces laissées après de trop nombreuses larmes
Parce qu'on le sait tous
Elle a ce cœur fragile et sensible
Qui fait trop souvent remonter à la surface toutes ses émotionsCette personne avait un visage qui participait aux couleurs ternes et pâles du reflet
Il était trop pâle, son visage
Il criait la mort
Il criait le mal
Il criait la mélancolie
Il criait la finElle est morte.
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Les sentiments abstraits d'une fille abstraite
No FicciónBienvenue à ma ville aux étoiles, Précédemment se trouvaient ici des résumés qui décrivaient ce "livre". C'est bien le principe d'un résumé tu me diras, mais cette fois, je vais seulement dire que ce n'est pas... une histoire, mais plus un recueil d...