Ma vie commença.

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Nous y voilà , c'était mon deuxième jour de travail pourquoi avais-je l'impression que j'allais y rester une éternité aujourd'hui ? Je l'ignore , mais tout ce que je souhaitais, c'était faire des ventes et prendre des rendez-vous.
Aujourd'hui le grand patron accueillit mes clients que j'ai eus au téléphone la veille.
Il était intéressé par une grande maison qui était un peu éloignée de new-york c'était à environ cinq ou dix minutes de route.
C'était un couple essayant d'avoir certainement un enfant vu comme ils en parlaient.

Je poussai les portes dis bonjour à la femme blonde qui servait de décoration à l'accueil pris l'ascenseur et montas à l'étage , dit à nouveau bonjour à l'assistante , qui me fit un grand sourire , puis regagna mon bureau commun qui était disposé dans une et seul même pièce.
Les bureaux n'étaient séparés que par une fin cloison , que j'appelle ça une planche.

Salut me dit alors mon voisin de droite que je n'ai pas ailleurs encore jamais vus tellement plongé dans mon travail que je me préoccupe peu du monde autour.

Salut répondais-je hught c'est ça ?
Oui c'est bien ça me confirmais-t'il , toi c'est betty ? Oui c'est exact répondais-je à mon tour.
Quelques secondes après notre bref conversation je reçus un appel de l'assistante.
Salut Betty le grand patron veut te voir afin de savoir par quel bien tes clients de la veille sont-t'il intéressé. Euh salut , oui bien sûr , mais il n'a pas lui-même de dossier sachant que c'est le grand patron ? Eh bien non, me répondit-elle, , il ne gère que les grands dossiers , les petits c'est à nous de s'en charger mais en revanche quand il s'agit de vente il préfère en discuter avec ces clients.
Ah d'accord , original de faire le travaille qu'à moitié dis-je. Elle ce mit à rigoler oui tu as raison mais ce sont ça les patrons après qui sait peut-être qu'il te fera monter de niveau et qu'en plus des ventes par téléphone tu pourras rencontrer les clients et leur faire visiter , bon c'est vrai que ce n'est jamais encore arrivé mais ne perd pas espoir et puis honnêtement ça ne pourrait être qu'un plus pour toi car en plus d'être payé double car tu travailles plus, ça te permettra aussi de t'améliorer et d'augmenter tes chances pour une autre boîte si jamais tu comptais partir dit-t'elle. Euh oui c'est sûr mais tu sais je ne compte pas partir maintenant mais c'est vrai qu'en y réfléchissant ça ne pourrait pas être une mauvaise idée , je vais y aller qu'il m'attend je te laisse. D'accord, dit-elle en raccrochant.

Je posai le combiné sur son socle et me levai afin d'aller voir mon supérieur.
Arrivé à sa porte je toquai tout en reprenant mon souffle , ça va le faire me dis-je.
Entrez crias-t'il , bonjour j'ai cru comprendre que vous vouliez me voir ? Oui Betty c'est exact je voulais vous parler de vos clients que vous avait eus la veille par téléphone , mon assistante Sarah vous a-t-elle expliquée la situation ? Oui elle m'a vaguement expliqué, elle m'a dit que vous vous chargeriez de mes clients et surtout de la vente immobilière. Il se passa une main dans les cheveux oui mais pas exactement , j'ai eu changé d'avis à vrai dire j'aimerais que vous assistiez et faites votre vente immobilière devant moi afin que je voie de quoi vous êtes capable. Euh.. D'accord mais c'est que.. Je n'ai jamais fait encore de vente comme tel , je n'ai jamais conclues une vente.. Dis-je angoissé. Eh bien c'est le moment de franchir le cap dit-t'il en ce levant de son fauteuil pour se rapprocher de moi.
Pourquoi ne vous asseyait donc pas vous pas Cooper ? J'aime parfois rester debout dis-je.
Très bien mais à la longue cela risquerait de devenir épuisant , mais enfin c'est à vous de voir dit-t'il. Je me mis à rigoler nerveusement je ne savais pas ce qui allait m'attendre ni comment allait se passer cette vente.
Dans combiens de temps arrivent les clients demandé-je. Il ne saurait pas tarder répondit-il.

Dans la seconde qui a suivi, quelqu'un frappa à la porte , entrez, criât-t'il.
Monsieur jone's bonjour je vous amène vos clients , très bien je te remercie Sarah.
Les clients entraînent et la porte se referma.
Cooper venait donc à coter de moi , et laissez les deux chaises à vos clients , d'accord dis-je en acquiesçant d'un hochement de tête.
Monsieur jone's c'était donc mon patron que j'ai eu au téléphone hier ? C'était lui qui me complimentait sur ma tenue ? Oh non mon dieu dites-moi que je rêve , comment je vais faire ? Va-il me sauter dessus ? Oh non... Mille idées me viennent en tête , des idées auxquelles je préférais ne pas y penser.

Désir interdit (dispo aussi sur amazon)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant