L'Ombre ou la Lumière (Harry Potter)

Chapitre 18

J'arrête de combattre et observe mes amis se battre les uns contre les autres. Fay est à côté de moi et fait la même chose, nous nous regardons puis crions en cœur :

« STOP !!!!!!!! » Ils s'arrêtent tous et nous fixe attendant surement la suite.

« Pourquoi on se bat ? Bon ok Simon et James je comprends mais Raph et Alex vous êtes amis depuis la maternelle.

-Sérieux, les gars faut qu'on arrête, on oublie les camps et on bosse ensemble.

- Je veux bien, mais on fait comment, je te rappelle que Léna, Raph et moi on est engagé au côté de l'héritier de Voldemort. Rappela Simon à Fay.

-Certes mais vous pourrez toujours vous en sortir.

-Et comment ?

-On trouvera une solution, intervient James.

-Bon on fait quoi de la pierre de résurrection....

-Et de la cape d'invisibilité ?

-Si on les cachait pour éviter qu'elle ne créé des problèmes.

-Bonne idée.

-On devrait aussi cacher la baguette de sureau.

-Va falloir qu'on la récupère dans la chambre de Serge.

-Pour ça j'ai une idée, affirma Raph en me regardant.

-Tu n'es pas sérieux j'espère. Demanda Alex l'aire choqué et dégouté.»

Soudain des bruit de pas retentir, le gardien venait faire sa ronde, on se précipita sous la cape d'invisibilité. Heureusement le gardien ne remarque pas l'absence de la pierre. Une fois qu'il est partie nous nous dépêchons de sortir du musée.

Le lendemain matin, je me réveille dans les bras de Simon, il est tellement mignon quand il dort. Je reste là à le regarder jusqu'as qu'il se réveille. Simon vient de se réveiller et m'embrasse, lorsque Raph entre dans la pièce en trombe.

« Si on mettais à exécution mon plan ?

-Pourquoi maintenant ?

-Petit déjeuner au lit.

-Sérieux ?

-Oui. »

Je sortis donc de la chambre en ayant mis une nuisette super sexy sous un gros peignoir très laid, je descendis dans le cuisine prépara un plateau de petit déjeuner et me dirigea vers la chambre de Serge. J'inspire profondément, puis toque a la porte, un léger grognement se fait entendre, puis Serge m'autorise à entrer. J'entre, ferme la porte et dit:

«Coucou, je t'ai apporté un petit déjeuner et si tu veux, il y a une autre surprise. Dit j'en découvrant un peu ma nuisette.

-Quelle belle surprise, que me vaut cet honneur ?

-Je me suis rendue compte qu'il y avait un truc en toi qui me plait beaucoup.

-Je te propose qu'on oublie le petit déjeuner et qu'on passe directement à la deuxième surprise.

-C'est toi le chef. »

Sur cette phrase je hottai totalement mon peignoir, on s'embrassa...

Quelque heure plus tard, après l'avoir totalement épuisé, il s'endort et je me lève, récupère la baguette et quitte la pièce.

Quelque minute plus tard nous étions dans une cabane dans les bois avec James, Alex, Fay et les reliques de la mort. Nous avons décidé de nous séparer en trois groupe : James et Fay chargé de la cape, Raph et Alex chargé de la baguette et Simon et moi chargé de la pierre. Chaque groupe est chargé de caché une relique dans un pays différent, James et Fay vont partir en Amérique du sud, les garçons vont voyager en Afrique et nous nous allons allez en Asie.

Nous transplanons donc direction notre destination. Nous arrivons au Japon mais nous ne cacherons pas la pierre ici. Nous avons beau être jeune nous avons réussi à nous trouver un ami pour nous accueillir. Nous avons passé trois jours la bas, nous ne pouvons pas transplaner de peur d'être découverts alors je décide d'utiliser mon bon, qui n'est autre que de pouvoir volé et lorsque je tien la main à une personne elle vole également. Bref nous partons direction la Corée du Sud. Une fois là-bas nous décidons de partons dans la forêt Gariwang pour y cacher la pierre.

Plusieurs année plus tard:

Je rentre de mon travaille, un travail totalement moldu, je suis prof de français dans un lycée coréen très réputé. Simon lui est agent de sécurité pour le ministère magique coréen, ce soir il a décidé de m'emmener diner dans le meilleur restaurant du monde d'Asie magique. Nous dinons donc lorsque nous allions passer au dessert la salle s'éteins laissant uniquement notre table d'allumer. Simon s'agenouille devant moi puis prend la parole en sortant une bague de sa poche: « Léna, veux tu m'épouser?

-Oui, oui, oui, mille et une fois oui. »

Les gens présent dans le restaurant se mirent à applaudir. Et moi je me réveillai chez moi, en France.

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Commevous l'avez surement remarque ce chapitre est le dernier de cette histoire. Jesais vous ne vous attendiez surement pas à ce que ça se finissent comme ça.Mais je ne suis plus inspirer pour cette histoire, j'ai donc préfère l'arrêtéici.