"- La magie véritable se définit par des intentions malveillantes. C'est la première vérité de ce monde Mark. La deuxième est que je t'aime et que je ferai tout pour te protéger"
"- De toutes façons plus personne ne veut de nous, monstres ou pas, on...
Je suis projeté sur le lit défait de Renjun, ce dernier enlevant son haut, dévoilant de fins abdos. Il se place sur mon bassin, restreignant mes mouvement et se penche lentement, venant lié nos lèvres désireuses l'une de l'autre.
L'échange ne dure que quelques instants, le noiraud se redressant brusquement et m'enlevant ma chemise avant de venir déposer des baisers dans mon cou, laissant de temps à autre des marques violacé. Je laisse mes doigts passer dans ses cheveux, mes lèvres s'entrouvrant et mes faibles gémissement s'élevant dans la pièce.
Tandis que mon corps est en ébullition, un fin voile noir vient couvrir mes yeux. Je ferme mes paupières puis les rouvrent. Enfin, je pense qu'elles sont ouvertes.
J'ai beau regarder n'importe où, rien ne m'apparaît. Les mains et les lèvres de Renjun sur ma peau ont aussi disparues.
Je reste pétrifié de peur, mes membres semblables à du coton, mon cœur gonflant dans ma poitrine, n'empêchant de respiré petit à petit. Je connais cette sensation. Je déteste cette sensation.
Alors j'attends. J'attends de voir quelque chose. Quelque chose qui me dira ce que je dois faire par la suite. Bien, ou mal. Qu'importe. Ça faisait trop longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je pensais que ça avait disparu. Comme le reste. Tout le reste. Mais c'est encore là, au creu de moi, et ce qui va avec.
Une lueur semble ce dessiner au loin. C'est comme quand un ordi sors de veille difficilement. D'abord très sombre, presque invisible, et puis de plus en plus clair, enfin ça apparait.
Des yeux d'animal. Verts. Ils me fixent. Mon cœur est si gros que j'ai l'impression d'être en apnée.
Encore ces yeux.
Ils m'hypnotisent, ne laissant que la solitude quand ils s'effacent.
Il sort lentement de l'ombre, la faible lumière dessinant des traits sombre. Un lion. Un lion noir. Il pousse un petit grognement rassurant, comme si il ronronnait.
- Jaemin ! la lumière m'aveugle, me forçant à plissé les yeux. Je me réhabitue lentement au jour, distinguant le visage de Renjun au dessus de moi. Je me redresse à l'aide de mes coudes, frottant mon front douloureux. Qu'est ce qu'il s'est passé ? une de ses mains vient caresser doucement ma joue et aussitôt un étrange sentiment m'envahit. Je ne veux pas le quitter. Je me rallonge et le prend dans mes bras, dans lesquels il se blottis de suite.
- Je vais bien. il me lance un regard inquiet. Crois moi s'il te plait.
- D'accord. nous profitons tous les deux du silence et de la sérénité du lieu. Son souffle sur mon épaule me rassure et je ferme les yeux, espérant rester comme ça bien longtemps.
- Jaemin ? - Oui ? - Je peux te poser une question ? - Tu le fais déjà Renjun. Mais vas-y, pose s'en une autre.
- Qu'est ce que tu pense des mutants ? j'ouvre les yeux et le regarde, surpris.
- On va vraiment parler politique ? il hoche la tête. Je prends une inspiration en reportant mon regard au plafond blanc cassé de la chambre. Je pense qu'ils devrait être éliminé, tous autant qu'il sont. suite à ma déclaration lancé d'une voix platonique, le silence s'abat sur la pièce. Et toi, tu en pense quoi ?
- Ce sont des êtres vivants comme les autres, ils ont le droits à la vie et ne devrait pas être discriminé à cause de leur différences. je me redresse et m'assois contre le mur, Renjun me regardant d'un air étonné, appuyé sur ses coudes.
- Ce sont des meurtriers. - L'homme aussi. ma mâchoire se crispe.
- Des mutants loups ont tué ma famille. Alors que nous n'avions jamais fait de mal à personne. sa bouche s'entrouvre et son regard change. Je le connait ce regard, un regard de pitié.
- Je suis désolé Jaemin, je ne voulait pas te rappelé de mauvais souvenirs. je me lève, prend ma chemise et la remet sans un regard pour mon ami. Jaemin... sa voix brisé m'arrive et quand je me retourne vers lui, il semble sur le point de pleurer. Tu m'en veux ?
- Non... Non, bien sûr non. je me penche sur lui et l'embrasse tendrement. À la fin du baiser, je sors de la chambre sans une protestation de sa part et rejoint la mienne.
Je n'ai vraiment pas envie de le quitté.
______________________ ________
Bonsoir les enfants :3
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
