J'enfilais une magnifique jupe turquoise et une chemise blanche que maman m'avait achetée quelque jours plus tôt. Maria, elle, mit une robe rose bonbon et attacha ses cheveux en couette. Maria et moi étions inséparable, malgré notre différence d'age. Je l'aimais plus que tout au monde, la chérissait encore plus que ma propre vit et je le pensais, malgré mon jeune age. Je décidais de laisser mes cheveux bouclés en telle qu'ils étaient, attachés en queue de cheval. Papa vint frappé a la porte doucement.
- Je peux entrer mes princesses ?
- Oui !
Il entra et sourit tendrement.
- Mes deux petites princesses ceux sont faite toute belle pour ce soir !
- Bah oui ! s'écria Maria. Car après tout, ce soir c'est...
- Mon anniversaire ! la coupais-je.
Pile le jours ou la Lune rouge apparaissait, nous fêtions le jours de ma naissance. J'allais avoirs huit ans. Enfin. Papa allait enfin m'acheter la petite guitare que j'avais repérée et maman allait m'inscrire a un cours de chant. J'adorais ça, chanter. J'aimais tellement ça que tout les jours je fredonnais, même sans m'en rendre compte. Lorsque je finis, papa nous porta toute les deux ! Maria sur son dos et moi d'en ses bras, nous tenons toute les deux chacune d'une main ! Axel, mon agaçant de grand frère chéri nous rejoins peu de temps après. Il devait aider papa a faire le barbecue et avec Maria, nous mettions la table dehors.
- Regarde, Morgane ! La lune devient rose ! me criai Maria.
Je levais la tete doucement et soudain, comme si un coup de foudre m'avait frappé, je reçu une immense douleur au cœur, a mon couper le souffle. Je me rattrapais a la chaise la plus proche, en essayais de respirer calmement. Je tremblais. Pourquoi ? Je ne sais pas.
- Ça va grande sœur ?
- O-oui, enfin je crois... bredouillais-je.
Papa et Axel étaient trop occupé a allumer le barbecue et n'avait pas vu ce qu'il m'arrivait. Ce n'était surement rien. Mais lorsque je voulu retourner la tete en direction de la lune, mon corps me hurlais de ne pas le faire. Je ne le fis pas. Je respirais et expirais un bon coup. Tout irais bien. Maman ne tarda pas a rentrer du travaille et a vingt heur, nous dégustions des merguez, des cote de porc, des cuisses de poulets et pleine d'autre chose ! Puis enfin vint le gâteau ! Un gâteau au chocolat nappé de vanille et avec huit bougies rose ! Je fermais les yeux et fit un vœu. Je fis le vœu de... Puis je soufflais sur mes bougies sans attendre. Le gâteau était sucré, avec une très forte touche de chocolat et en plus il était froid ! Et enfin, les cadeaux ! Comme je m'y attendais, une guitare de mon père ! De mon frère, des livres ! Ho ce que j'aime les livres ! De ma petite sœur, un joli dessin avec elle et moi que je distinguais a la couleur de cheveux. Plus tard, je l'accrocherais dans la chambre et enfin de la part de ma mère, une feuille d'inscription dans une chorale ! Malgré mes sourires et les remerciement que je faisais a ma famille, mon corps me criai, non, me hurlais de ne pas me retourner. Et je ne le voulais pas. Jamais.
- He, regardé la lune ! cria impatiente ma petite sœur. Elle est rouge !!!
- Calme me toi, ma chérie, calme toi, dit mon père.
Ils regardaient tous la lune, et malgré mon corps, doucement, tout doucement je me retournais pour voir la lune... Puis je me senti, comme plus tôt, frappé en plein cœur. Je tremblais. Je ne savais pas ce qui m'arrivais... Je m'effondrais et ma petite sœur, mon frère, mon père se précipitent sur moi. Ma mère restait figé sur place. Son regard vide me fixait comme si... comme si.... je n'étais même pas humaine.... même pas sa propre fille.
- SA SUFFiT !!! hurlais-je.
Ils sursautèrent tous. Yann et Dylan me fixaient avec des yeux ronds et Stephany était outré. Lucy restait égale a elle même et Maria de même. J'avais sans faire exprès, utilisé Melodia et les deux seuls vitre de la cuisine avaient volé en éclats. Nos tasse également. Je tremblais. Je me souvenais de tout. Tout ce qui c'était passé cette nuit. Et je ne voulais me souvenir de rien. Et encore moins du regard de maman.... Encore moins du siens. Surtout du siens. D'une voix rauque mais plus calme, je repris.
- Sa suffit. Je ne veux plus en entendre parlé.
Puis je me retournais et sorti. A ma grande surprise, quelqu'un me suivit. Dylan. Je m'assis sur le canapé dehors. Il était froid, mais je m'en fiche. Dylan s'assis a coter de moi et je pose ma tete sur son épaule.
- Pourquoi moi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour que ça m'arrive a moi ? Ma famille ?
Il ne répondit pas mais passa sa main dans mes cheveux. Son geste me soulageais, m'apaisais. Ça me faisais du bien. C'était tellement apaisant. Je levais légèrement la tete pour voir qu'elle expression il affichait. Je me fige. Il avait cette lueur de tristesse et de solitude dans les yeux. C'était tellement... Unique. Ses yeux avaient changé de couleur. Gris. Du teint marron foncé, ils étaient devenu gris. Je m'appuyais un peu plus contre son torse. Mon cœur saignait. Mes blessures étaient resté ouvert tellement longtemps que j'ai oublier combien de temps. Mais pour la première fois, une de mes nombreuses blessures ce referma. Je me sentais plus légère comme ça. Ça faisait.... bizarre. Soudain, une mélodie me vint en tete. Je me mis doucement a fredonner et Dylan ne dit rien. Pas un mots. Et ce geste me toucha. Donc je continuais.
- A heart that as bleed for so long...
A wound that didn't know to stop...
Will it close back on day ? Who knows...
I wish that my wound would flew away...
But i know... That it will bleed... forever...
I feel like im drownning...
In my wound... my blood... my heart...
For eternaty...
(Un cœur qui a saigne depuis si longtemps...
Une blessure qui ne savait quand s'arrêter...
Ce refermera-t-elle un jours ? qui sait...
Je souhaite que ma blessure s'envole...
Mais je sais... que elle saignera... pour toujours...
J'ai l'impression que je me noie...
Dans ma blessure... mon sang... mon cœur...
Pour l'éternité...)
Puis, je m'endors.
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Voice (Tome 1 ) Terminé
ParanormalLe souffle court, j'accélère encore pour distancer L.A.M, la Ligue des Armes Magiques. J'enfonce ma capuche sur ma tête, tandis qu'une petite voix me chuchote de me laisser aller, d'utiliser Mélodia... Mais je résiste. Je m'appelle Morgane, et ça fa...