Voice (Tome 1 ) Terminé

Partie 8 Une larme.

Je lutte comme je peux pour ne pas perde connaissance de nouveau et j'essaye de me défaire de mes liens... Effort qui est inutile. Mes mains son solidement liées et j'ai beau tirer mais tout ce que ça fait, c'est resserrer les liens. Quand a ma bouche... Je n'arrive pas a prononcer le moindre mots a moins qu'il ne ce transforme en un gémissement. Le fourgon roule a une vitesse ahurissante... Enfin surtout pour quelqu'un qui sort des vapes. Je  prend une profonde inspiration. Solution 1 : Je me relève et donne des coup de pied au hasard. Résultats : Il finisse par me rattraper et me ligote les jambes. Solution 2 : J'attend que le fourgon s'arrête et lorsqu'il me font sortir, je pique un sprint. Résultats : Il me rattrape et me ligote les jambes. Solution 3 : J'arrive miraculeusement a me défaire de mes liens et j'utilise Melodia pour m'en sortir. Résultats : Je crée un tsunami de crie et je tue tout le monde moi y compris. En gros, j'ai aucun putain de moyen de m'échapper d'ici... Géniale ! Alors que j'avais perdu tout espoir de m'échapper, le fourgon ce retrouve violemment secoué et je me sens voler pour me heurter contre une autre parois du fourgon. Je me mets a genoux, et j'essaye de me relever, mais avec les sifflements qui hurle dans mes oreilles, difficile de penser a autre chose. J'essaye d'ouvrir le fourgon, mais je suis devancé et l'arrogant type qui m'a enlevée me soulève comme un sac de pomme de terre et me fait glisser sur son épaule.

- Si tu crois que tes petits amis vont réussir a m'arrêter... ! 

Je tente de toute mes forces de me défaire des liens autour de mets poignet en vain, encore une fois... Puis, il se stop net. Je tente de me retourne pour voir mais peine perdu. Puis, soudainement il me fait tomber sur le sol. Je gémis, sur le coup de la douleur et le fusille du regard. Je tourne la tete dans la même direction que lui et vois seulement une seul personne sur la route. 

- Tu es tout seul petit ? Tu ne sais pas a qui tu t'attaques.

Aucune réponse. Je me relève doucement. Puis, en une fraction de seconde, le molosse ce fait attaquer par l'enfant. D'un coup de pied ahurissant, il l'envoie voler jusqu'au fourgon. Le molosse gémi doucement, tente de ce relever, mais peine perdu, et il s'évanouie. Le petit s'approche doucement dans ma direction. Je recule et tombe sur mes fesses. Il approche a grande jambe de moi. Grace a lumière de la lune, je vois son visage... Un garçon surement âgé de pas plus de onze ans. Un visage fin, des lèvres pales, un regard transpercent avec des yeux bleu, presque violet. Non des yeux violet. J'en suis sur. Ses cheveux bouclé noir, et court vole doucement dans la nuit. Il se baisse et m'observe pendant plusieurs seconde, puis enfin approche une main de mon visage. Je ferme les yeux, mort de peur. Mais a ma grande surprise, il me caresse doucement le visage, écartant quelque boucle qui me tombe devant les yeux. Il détache mon bâillon et le jette. Il se relève et commence a s'éloigner.

- A-attend ! criais-je, sans savoir quoi dire d'autre.

Il ce retourne. Prise un peu de court, je ne sais ps vraiment quoi dire...

- Heu...je... enfin...Qui es-tu ? Et pourquoi tu m'aides ?

Il ne répond pas tout de suite. Apres un moment de silence, il me répond.

-Maria t'attend. 

Puis, sans ajouter un seul mots, il disparaît. Quand a moi, je suis sur d'être aussi pale qu'un linge. Je tremble... Je me relève doucement, toujours aussi tremblante.

- Maria...

Je me retourne et marche. Ou ? j'en sais rien. Je marche, je laisse simplement mes pas me guider. 

Ça fait presque trente minute que je marche quand une voiture s'arrête. Je n'y prête pas attention, trop troublé par les mots de ce jeune garçon. Maria....Maria....Maria... voila les seuls mots qui tourne en rond dans ma tete pour l'instant. Puis quelqu'un ce jette sur moi. Je baisse la tete et vois la petite Lucy. Elle est en larme. Je tourne doucement la tete en direction de la voiture et y vois la bande au complet. Stephany au volant, Dylan dans le siège passager et Yann a l'arrière. Les mains encore lié, je monte dans la voiture, tiré par Lucy. Je m'assois. Silence. Il me regard tous, attendent surement que je leur explique comment est-ce que j'ai fait pour m'échapper. 

- Je...j'ai... Le fourgon a eu un accident... il a heurté quelque chose et il c'est retrouvé renversé... Je suis sorti comme j'ai pu... Et j'ai marcher...

Surement pour ne pas me heurter, ils n'ont rien dit. Nous avons roulé jusqu'à la ville... Jusqu'à chez eux. Lucy a essayé de me détacher de tes mes liens, sans succès sauf le faite de m'arracher un petit crie. Yann est alors intervenue et d'un coup de main a cassé les liens autour de mes poignets. Lorsque mets poignets furent enfin libre, je les fixais. Il sont bleu. Pour ne pas dire violet. Lucy pleure et me fixe. J'inspire profondément et j'expire. Maria peux attendre. Pour l'instant je doit m'occuper du présent. Au jours le jours comme on dit. Je souris a la petite et elle me serre dans ses bras.  Lorsque nous arrivons, je descend tout en portant Lucy qui c'est endormi. 

- Bienvenue dans ton nouveau chez toi, dit Stephany.

J'ouvre les yeux en grand et la fixe.

- Mon... chez moi ?

Elle hoche la tete. Une maison. Une famille. Des sourires. Des disputes. Voila bien longtemps que je n'avais plu eu de chez moi... Des planques, j'en ai eu, mais jamais des endroits que je pouvais appeler un chez moi. Je souris doucement a Stephany et une larme coule le lent de ma joue pour heurter le sol.