Voice (Tome 1 ) Terminé

Partie 6 S'enfuir

D'habitude, je n'aime pas qu'on me touche. Mais si on me touche avec violence, alors, c'est qu'on ne tient pas a la vie. Et le jeune homme devant moi, en faisait partie. Bien que mon corps soit paralysé, dans un ultime effort, je repoussa sa main, et lui lance des éclaires.

- Ne. Me. Touche. Pas.

Il me fixe, et je distingue de la colère au fond de ses yeux. Il se retourne et quitte la pièce. Stephany et le petit roux me porte jusque dans la chambre d'avant et me laisse tomber comme un sac a pomme de terre sur le sol froid. Je grogne intérieurement. Je jure de les baffer tout les trois au moins une fois avant de partir de cette fichue maison de merde ! 

Je ne sais pas combien de temps c'est écoulez. Peut-être deux heurs. Ou trois. Peut-être même plus. Mais j'ai presque retrouvé la totalité du contrôle de mon corps. Je me sens encore assez faible mais je crois que je pourrais survivre. Je m'avance doucement de la porte et l'ouvre. Personne. Je sort de la et je cherche la porte d'entré. Trouvé ! Je me précipite vers cette dernière mais une main ferme me retiens. Je me retourne et je me retrouve a seulement quelque centimètre du visage de..... Yann. Nos souffle ce mêle et il me fixe d'un regard perçant.

- Lache moi, sifflais-je.

Il ne répond pas mais resserre son étreint autour de mon poignet, jusqu'à ce que je pousse un petit crie. Il est surpris, et relâche un peu mon poignet, mais furieuse, je le baffe. Il ne relève pas. 

- Cinglé.

J'ouvre la porte et la claque derrière moi. Pourquoi, pourquoi mais pourquoi est-ce que ça m'arrive a moi ? Je ressens une légère douleur sur mon poignet. Un bleue. Un bleue qui ne tarderais pas a devenir violet. Je repensais a son visage. Il était... surpris, comme si il n'avait pas fait exprès, qu'il n'avait pas su contenir ça force. Je me dirige vers ma nouvel planque et lorsque j'arrive dans le quartier, il y a un truc qui cloche. Étrange. Le quartier est calme. Pas un chat. Pas un bruit. Trop calme. Je monte monte sur une poubelle et jette un coup d'œil sur les toits. Il n'y a rien. Non, il a une ombre. Deux ombre. Trois, non, cinq ombre. Cinq agent. Comment est-ce qu'il on fait pour me retrouver aussi vite ? J'en sais rien. En tout cas, il ne faut pas que je reste ici. Ou est-ce que je pourrais bien aller ? Sans que je m'y attends, je pense a Yann. La petite blonde, Lulu, le garçon roux, et l'irritante Stephany. Je marche au hasard et je tombe sur Stephany. Quand on parle du loup. Elle a deux sacs en plastique dans chacune des mains, et elle est troublé de me voir.

- Je, heu... Salut..., dit-elle troublée.

-... Salut.

Silence. Il n'y a pas plus gênant que ce moment. Géniale. 

- Tu sais, Lucy était très triste de voir que tu étais parti. Elle c'est attachée a toi, mine de rien.

- Ha bon ? La petite blonde ? 

- Oui. C'est a première fois qu'elle s'attache aussi rapidement a quelqu'un. Je suis presque jalouse ! Moi, c'est Stephany. Mais appelle moi Steph.

Elle sourit. Je crois qu'elle essaye de faire des effort pour qu'on s'entende. Lorsque l'on me tend la main, je préfère l'attraper. Je lui prend l'un des sacs qu'elle tiens et je fait mine de me mettre en marche. Elle me suis, en me souriant. Nous marchons, tranquillement. Puis un bruit, venant de derrière des voiture attire mon attention. Je me stop net. Steph s'arrête et suis mon regard. Je recule doucement en direction de Steph et lui tend son sac. Elle l'attrape. " Qu'est ce qui ce passe ? Des agents ? Des espions ?" Je hoche la tete et elle devient tout de suite très très pale. Je les sens. Ils sont plus d'une dizaine. Je ne pourrais pas tous les prendre et protéger quelqu'un. Je lui prend le poignet et me mets a courir. Les agents ne prenne plus la peine de ce cacher et nous poursuive. Je prend plusieurs passage et après environ trente minute, j'arrive a tous les semées. Lorsque je m'apprête a repartir, Stephany m'arrête. Je l'avait complètement oubliée ! Elle est essoufflée et transpire énormément. Je m'agenouille et la regard. Elle est sur le point de perdre connaissance. Elle n'est pas habituée a courir autant. Je lui prend ses sacs et les posent a terre. Je la fait monter sur mon dos et ramasse les sacs. Exténuée, elle perd connaissance. Je me relève et pique un sprint en direction de leur repère." Merci...". Je souris. Mais les agents on retrouvée ma trace et ne me lâche plus d'une semelle. Ils sont sur le points de me rattraper et je n'ai plus aucune issue. Il me coince dans une ruelle vide. L'un s'approche avec le même liquide inquiétant, mais un autre, un grand, fin, un peu trop même l'arrête.

- Le produit n'affecte pas le chaperon vert.

Ha ! Je savais bien qu'on finirai par me surnommer comme ça ! Enfin, Morgane, c'est pas le moment de penser a ça !

Il hoche la tete et sort une matraque. Une matraque électrique. Merde. Melodia vient me susurrer que cette fois-ci, je ne pourrais ps m'en sortir sans elle. Et j'ai bien peur qu'elle est raison. Le type a la matraque s'approche de moi, décidé a me faire du mal. Je suis sur le point de libérer Melodia quand une main ce pose sur la matraque. Une touffe rousse sort de l'ombre suivi de... Yann...

- Bah alors, on fait une fête sans nous les filles ? demande le rouquin.

- J'aurais aimé, mais.... Je crois qu'il y a un peu trop de monde, non ? lui dit-je.

Que la fête commence.