Voice (Tome 1 ) Terminé

Partie 14 de retour dans le passé.

Lucy s'assois doucement sur la chaise et elle frémi de douleur. Stephany se lève et prend la serviette la plus proche et l'entour autour du bras de Maria. Je tremble de nouveau.

- Calme me toi, Morgane, je ne me suis fais qu'égratigner.

Je tourne la tete, mal a l'aise. Comme tout les autres la fixent, elle lâche un petit rire gêné.

- Morgane déteste voir du sang. Elle ne le montre pas, mais elle déteste çà. Et voir que quelqu'un tire sur sa petite sœur le soir de la Lune rouge en plus la mise hors d'elle. 

- Maria, raconte leur le...tout ou ils ne comprendrons pas.

Elle acquiesce. Elle ferme les yeux puis les rouvrent lentement, laissant ses yeux vert claire parcourir la salle. Elle repousse ses magnifique cheveux blond-roux en arrière puis inspire.

 Je vais vous révéler le passé de Morgane sous son point de vue, donc ne soyez pas surpris :

- Il était une fois, une famille modeste qui vivaient en harmonie dans les bois interdis d'une toute petite ville... Les parents étaient des chasseurs, ils chassaient ce qui pouvaient faire l'impossible...Puis, un jours, alors que les enfants, Marguerite et Marc  jouais dans les bois, une vielle femme vint leur demander de l'aider... Alors, par charité, les ils l'a conduire a leur maison et lorsqu'elle arriva, la mère et le père furieux la chassèrent car c'était en faite une méchante sorcière ! Pour ce venger, elle lança une malédiction sur cette famille, et elle dit " A chaque siècle, une enfant, une fille de votre famille naîtra une fille dotée de la voix la plus puissante au monde, une voix qui peux contrôler par le pouvoir des mots ! Elles déchaînerons malheurs et morts sur son passage des ses huit ans... "  Puis ils la tuèrent. La famille se disaient que ce n'était que mensonge et partirent s'endormirent, dans leurs petite maison. Mais en plein milieu de la nuit, Marguerite commença a gémir, a hurler et a ce gratter la gorge... Comme si on la brûlait... Elle finit par ce rendormir alors que toute la famille, inquiète étaient rassemblé autour d'elle... Le matin, quand elle se réveilla, une étrange marque ornait son cou... Elle ne parlait pas... Elle refusait même. Puis, une violente dispute éclatas entre son frère et elle et elle dit une phrase.. une seul... Savez vous lequel les filles ?

- Meurs ! répondit-je.

- C'est exactement ça ! Elle lui cria meurs et ce dernier mourut. Lorsque les parents découvrir, ils ne pouvaient supporter que leurs fille soit devenu un monstre... Alors ils l'enfermèrent au sous sol et lui coupèrent la langue pour que jamais, elle ne puisse parler... " Chaque fille qui naîtra avec ceux don abominable doivent être enfermé et ne plus jamais pouvoir parler" déclarent-ils pour nous, leur descendant... 

- Et ainsi, a chaque siècle, l'une de nous subit la tradition et est transformé...

-...en un être surnaturels qu'il faut enfermer ! finis ma petite sœur d'a peine cinq ans.

- Et bien, mes petites chipies, vous connaissez cette histoires par cœur a ce que je vois ! s'écria Maman.

Elle nous embrassa sur le front toute les deux et appuya sur l'interrupteur.

- Bonne nuit mes chipies...chuchota-t-elle.

- Dit maman... 

- Oui ?

- Est-ce qu'on deviendra comme Marguerite ? demandais-je.

Elle me sourit tristement. Elle se contenta de murmurer, mais je l'entendis tout de même.

- J'espère que non...

Puis, elle referma la porte.

Le lendemain matin, je suis réveillez par quelqu'un qui saute sur mon lit.

- Réveille toi Morgane, allez ! crie une petite voix aiguë.

Je grommelle puis me lève pour sauter sur ma petite sœur de cinq ans. Elle fait semblant de ce débattre puis nous éclatons de rire.

- Eh, les diablesses, descendez si vous êtes réveilles !

Je descend en courant avec Maria, et nous sautons sur nos chaises respectives et attaquons notre petit déjeuners !

- Raah, franchement, pire que des cochons ! râle mon grand frère. 

Je lève la tete vers lui. Il a hérité de la couleur de peau et des cheveux de notre père tous comme moi ! Mais nous avons tout deux héritées des yeux verts claires de notre mère. Mes parents rentrent dans la pièce tout de suite après. Papa baille et maman est déjà habillé. 

- Salut, lancent-ils en même temps.

- Bonjours, grommelle notre frère.

Maria saute dans les bras de notre mère et moi dans celle de notre père. 

- Bonjours ! crions nous en chœur. 

Ils nous soulèvent chacune et nous leur souriant. Notre vie n'est pas parfaite, mais modeste et heureux. 

- Papa, papa ! Ce soir, c'est la lune rouge ! On va la regarder hein ? demandais-je. 

Son sourire s'efface et celui de notre mère également. Notre frère, lui, regardais ailleurs, surement pour éviter de croiser mon regard. Bizarre...

Nous passons la journée a jouer ensemble avec Maria. Maman était partie travailler et papa restait pour s'occuper de nous. Grand frère, lui, restait dans sa chambre. Avec Maria on a décidé de l'attaquer par surprise pour lui voler ses bonbons aux chocolats qu'il garde caché. Nous nous faufilons discrètement dans sa chambre et je tend la main pour attraper le bocal qui est au dessus d'une étagère, mais je suis trop petite... Je fais alors monter Maria sur mes épaules et elle l'attrape ! Je la fait descendre et nous commençons a sortir discrètement quand quelqu'un nous retiens toute les deux par le col de nos t-shirt... Ho ho....

- Et ou est-ce que vous compté aller comme ça, bande de diablesses ?

- Lache nous Axel ! cria Maria de sa petite voix aiguë.

- Et puis quoi encore ?

Il récupère son bocal et le pose sur son étagère puis nous soulève et nous posent doucement sur son lit.

- Je vais vous chatouiller jusqu'à ce que vous pleuriez !

Nous crions et il se mets a nous chatouiller. Avec Maria, nous lui sautons dessus en même temps pour le chatouiller a notre tours. Lorsque nous finissons, nous éclatons de rire tous les trois. Je me relève doucement et saute sur mon grand frère.

- Ouffff.... T'as beau avoir que huit ans, tu pèses une tonne !

- Tu mens ! 

-Mais pas du tout ! Je dit la vérité ! s'exclame-t-il.

Nous continuons a nous chamailler mais je sais qu'il ne fait que me taquiner. Nous finissons de nous chamailler et je sors en courant de sa chambre. 

A ce moment la, je ne savais pas que cette nuit, toute ma vie, ma joie, mon enfance allais basculer...