Noir ou blanc (Zosan)

Pardon et union

PDV Sanji :

Après avoir cuisiné pour arrêter de stresser je suis retourné dans ma chambre. Je m'inquiète un peu, je n'ai pas de nouvelle de Chopper depuis qu'il m'a dit aller voir le cactus. En parlant de la face de mousse... il m'a fait peur, je ne l'ai jamais vu comme ça. J'ai bien cru que mon heure était venu. Mais le dernier regard qu'il m'a lancé... il m'à perturbé, son regard émeraude était envahi par une colère mélangée à de la tristesse et du regret mais aussi avec quelque chose d'autre... que je n'arrive pas à identifier... c'est déjà un mélange d'émotions assez étrange... je m'assoie sur mon lit en tailleur en mode penseur. Qu'est-ce qu'il a bien put ce passer dans la tête du vampire ?... rah !! J'en ai marre Chopper viens vite ! C'est en pensant ça que la porte de ma chambre s'ouvrît

Sanji : ah Chopper enfin ! Alors qu-

Je retourne et me fige, ce n'est pas Chopper... mais Zoro qui se trouve sur le palier de la porte me regardant de ses yeux d'un vert jade, il avait encore ce regard triste avec du regret... je ne bouge pas et le regarde. Il fais un pas , sans que je puisse m'en empêcher j'eu un mouvement de recul, il arrêta tout geste instantanément. Un silence pesant nous entoura pendant quelque minutes

Sanji : qu...qu'est-ce que tu veux ?

Zoro : je...

Sanji : ... tu?...

Le silence tomba encore une fois, mon dieu que c'est gênant... il ne bouge pas regarde vers le bas puis vers moi. Je reste sans bouger sur mon lit toujours un peu sur mes gardes. Il finit par avancer lentement vers moi, mes muscles ce tendent à chaque pas qu'il fait un peu plus vers moi, il arrive enfin près du lit au bout de quelques secondes qui me semblait être des heures puis il s'assoie bien au bord dos à moi. Je reste silencieux attendant qu'il parle.

Zoro : je...enfaite... enfin ... désolé...

J'essaye de comprendre sa phrase incompréhensible mais il continu

Zoro : je...je ne sais pas ce qu'il m'a prit...j-j'etais... perdu...

Perdu ? Pourquoi ?... je sens son stress il sert ses mains avec force ce qui le fait trembler un peu. Il a l'air effectivement complètement dépassé. Ça me fais mal de le voir comme ça, je ne veux pas le voir comme ça. Je ne contrôle pas mon geste je pose ma main sur son épaule, dès que je la pose je le sens se tendre a mon contact, il ne bouge pas.

Sanji : perdu ?...

Je l'invite à continuer peut-être que tout dire lui enlèvera un poids...

Zoro : j-je ne sais pas... pourquoi maintenant ?...

Sanji : juste... calme toi déjà.

Zoro : je n'y arrive pas ...

Ah. C'est un problème, c'est vrai que ses tremblements n'ont pas arrêter. Il n'y a qu'une idée qui me vient à l'esprit, même si ça ne me plaît pas autant que ça , enfin si , enfin je sais pas...

Sanji : et si tu bois mon sang ? Ça t'aidera à te calmer ?...

Il tourne la tête lentement vers moi, ses yeux... mon dieu qu'ils sont beaux...

Zoro : je pense... mais tu-

Sanji : depuis quand j'ai mon avis à dire ? Ne suis-je pas un « sacrifice » ?

Mince je le vois se tendre encore plus, j'aurais peut-être dû éviter... mais qu'est-ce qu'il lui arrive ? Où est passé le vampire qui se fou de tout ?

Zoro : j'en veux Sanji...

Il se tourne complètement vers moi, je ne bouge pas. Il prend ma main qui était encore sur son épaule, je sens mes joues rosirent et mon cœur accélérer. Il m'allonge sur le lit lui au dessus de moi, là mais joues me brûles je sens des petit papillons dans mon bas ventre, je n'ai qu'une envie qu'il me morde, ma respiration s'accélère, mon dieu qu'est-ce que je fais ? Ses yeux tourne au rouge , il se penche vers ma nuque qu'il effleure avec le bout de ses lèvres puis la lèche de tout son long, je n'en peux plus d'attendre , je met une de mes mains sur mon visage pour cacher mon visage rouge pivoine. Ah... ça y est... je sens ses canines se plantées dans ma peau puis il m'aspire, la sensation est exquise, je ne peux m'empêcher de laisser échapper des gémissements, je suis tiraillée entre une douleur et un plaisir fou, mon cerveau ne sais plus où donner de la tête. Il enlace ses doigts avec ceux de mon autre main. Puis retire ses canines, il lèche une petite gouttelette de sang qui sortais de sa morsure. Puis relève la tête au dessus de la mienne, il enlève ma main qui cachais mon visage et essuie une larme qui perlais sur le bord de mon œil puis me murmure