Chapitre 17 : Merveilleux flash-back

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[Point de vue de Maxime]

****Flashback :

Nous somme le 6 mai.

Ce soir, je rentre du lycée comme si de rien n'était, je fais mes devoirs et me met à l'aise comme chaque soirs, puis j'entend toquer à la porte. Ma mère me regarde comme si elle avait oubliée de me prévenir de quelque chose. «- Maxime, tu peux aller ouvrir s'il te plaît ?

-Oui Maman. »

Je vois derrière la porte, cette femme que j'avais vu le matin même dans la salle des profs.

Je la regarde de haut en bas, avec sa belle robe noire. Elle est magnifique.

Je remonte vers son visage, que je vois sourire. Je suis intimidé et sans savoir ce qu'il se passe je lui demande bêtement : « Euh, oui, bonsoir ? ».
.
Ma mère intervient et me coupe de ce beau moment en me disant qu'elle l'a invitée à dîner.

Je décide d'aller me changer. Un jean slim et une chemise fera l'affaire en ce soir de Mai. Je retourne m'asseoir. Je suis en face de cette beauté, qui apparemment vas être ma prof de sport. Elle me regarde intensément.

« Maxime, Clémentine ne te connaît pas encore. Présente toi. » me dit ma mère.

Rêvassant; je ne réagis pas. Un « Maxime ? » insistant me sors de mes pensées. Je me présente donc.

Je passe la soirée à écouter la conversation que ma mère a avec Clémentine et en rigoler avec ma petite sœur, Judith. Les discussions sur des élèves du lycée me font doucement rire.

Au bout de quelques très longues minutes de discussion ma mère décide de m'en mêler.

« Chloé : - Maxime aimerait faire des études de sport. Il adore ça aussi.

Clémentine : - Ah oui ? Tu pratiques quoi comme sport ? »

A ce moment-là je souris, ayant une pensée obscène derrière la tête. « Maxiime ? Tu dors ce soir ?! » me hurle ma mère.

« Non. Désolé, je.. Je pratique du basket essentiellement. »

Je ne dors pas. Je suis émerveillée par Clémentine, par sa robe qui la met en valeur. Par ses formes. Son léger maquillage, qui lui vas si bien et ses cheveux.

Je tourne la tête et je vois Judith qui me fixe du regard. Elle me connaît et je penses qu'elle sait très bien ce que je suis entrain de penser.

Clémentine me sort de mes pensées et je reviens à cette réalité toute aussi douce.

Clémentine : - Maxime, tu rêvasse, ça va ?

Maxime : - Oui, ça va. J'ai eu comme un flash-back.

Clémentine : - un flash-back de quoi ?

Maxime : - du dîner que tu avais pris à la maison quand tu es arrivée à Sète. Quand j'ai été me changer parce que je voulais te plaire. Et de tout ces regards.

Je viens d'avouer que j'avais fait ça pour lui plaire. C'est vrai, avec d'autres profs je pense que je serais resté comme ça, m'en contrefoutre de me taper la honte.

Clémentine : - Alors toute cette mise en scène ce soir-là était pour me plaire?
J'acquiesce. «Oui..»

Clémentine : - eh bien, je crois que tu avais réussi. Moi, si je devais avoir un flash-back, je pense ça serait le moment quand je t'ai découvert dans la salle de bain. C'était si drôle.

Maxime : - Certainement. Tu étais si belle avec ta robe.

Clémentine : - Parce que je ne suis plus si belle ?

Maxime : - Oh si tu es encore si belle. Et encore plus depuis que ton ventre s'arrondit de jour en jour. Je suis pressé de voir ce petit bonhomme.

Clémentine : - Tu penses encore que c'est un garçon ?

Maxime : - que le bébé soit une fille ou un garçon je l'aimerais, c'est mon bébé. Et ce qui compte c'est qu'il soit en bonne santé. Puis il sera aussi canon que sa mère, j'en suis sûr et certains!
Je pousse délicatement Clémentine sur le canapé. Je me place au-dessus d'elle et la vois me sourire. « J'ai envie de toi. » avouais-je en l'embrassant dans le cou. « Je suis toute à toi. » me répond-t-elle.

Je la fixe quelque instant et retire son haut, tout en l'embrassant dans le cou. Je descend petit à petit vers son intimité, sans aller droit au but. Clémentine halète et pousse de légers gémissements. Je m'amuse à la voir aussi réceptive, en continuant mes gestes. « Maxiiime » me dit-elle en essayant de reprendre son souffle et se tortillant de plaisir. Je vais maintenant droit au but.

Après un long moment d'intimité, elle se retrouve la tête sur mon torse. Je lui caresse les cheveux.

Clémentine : - Au fait, je ne t'ai pas dis...

Maxime : - De quoi ?

Clémentine : - Promets-moi de pas t'énerver ! Mais.. Axel vient dîner à la maison demain.

Clemax : une relation peu banale mais éternelle | terminée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant