Épilogue

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Ellipse du trajet parce que le Japon)

Nous arrivons chez moi rapidement, toujours main dans la main. J’ouvre la porte d’entrée et l’invite à rentrer dans le salon.

Nathaniel: C’est immense ! Tes parents ne sont pas là ? 

Marc: Non… leur travail leur prend beaucoup de temps alors, il rentre souvent tard le soir... (ouais, parce qu’il faut pas être caissière pour habiter à Paris)

Nathaniel: Oh, je suis désolé…

Marc*sourit*: Ne t’inquiète pas, tu n’y est pour rien après tout ! 

Je le vois me sourire et partir vers le salon pour découvrir celui-ci.

Marc: T-tu peux aller dans ma chambre, si tu veux… est au fond, à droite après les escaliers ! J’arrive tout de suite.

Nathaniel: D’accords.

Il monte, et je pars dans la cuisine en quête de nourriture et boissons. Une fois mon bonheur trouvé je me dirige vers ma chambre, où se trouve mon petit ami.

Marc*pense*: Ça me fait tellement bizarre de dire ça…

J’arrive et ouvre, avec mal, la porte. Pose toutes choses que j’avais en mains sur mon bureau et rejoint Nathaniel, allongé sur mon lit, ses affaires sortis près de lui. Je m’approche et remarque qu’il a les yeux fermés. Il est magnifique… je rougis par mes dire et m’approche doucement de son visage. Si bien que je sens rapidement son souffle sur mes lèvres. Je m’approche encore et là… 

Il ouvre grand les yeux, ce qui me fait sursauter et reculé.

Marc: J-je… a… heuu… c’est…

Il me regarde avec incompréhension.

Nathaniel: Qu’est ce qui se passe ? 

Marc: Non, non, rien…

Nathaniel: Hm ? On commence… ? 

Marc: O-oui ! 

Et pendant une heure, je rédige le scénario de l’histoire à l’aide de Nathaniel, qui lui dessiner par terre et vice versa. Je lui jette de temps à autres des regards anxieux ayant peur d’être découvert pour l’événement de tout à l’heure. Et alors que je lui souris pour la 100000 fois au moins, je le vois se lever et se diriger vers ma table de chevet, dos à moi.

Marc: Qu’est ce que tu regardes... ?

Je tourne la tête et remarque la photo encadré. Elle avait été prise avec mon téléphone lors d’une de nos sortis, en juillet, Nathaniel, avec un sourire rayonnant, portait des lunettes de soleil et avait passé son bras autour de mes épaules. Quand à moi, bouteille à la main et lunette sur la tête, j’abordais un sourire gêné.

Nathaniel: Tu étais magnifique ce jour là.

Pris de panique par ce énième compliments, je ne trouve rien d’autre à faire que de lui jeter un de mes coussins en pleins visage. Quel idiot je fais !

Nathaniel: Ah oui… ? Si c’est comme ça

Et je sens un gros choc au niveau de mon visage qui m’oblige à m’affaler de tout mon long sur mon lit. Je suis sonné mais j’entend mon amant (et ouais carrément) rire aux éclats. Remis de mes émotions, je retire le coussin de mon visage et rigole aussi, puis jette une nouvelle le coussin en direction de mon copain. 

Marc: Vengeance !

C'est alors qu’une immense bataille de coussin commence. 10 minutes passent et ma chambre peut être maintenant définie de chao. Je le retrouve à court de coussin et coincé entre mon lit et un Nathaniel déchaîné, coussins à la main, courant vers moi. Je décide de mettre mes mains près de mon visage pour amortir le choc mais à quelques centimètres de moi, je vois mon petit ami glissé sur l’un des cahier par terre. J’allais commencer à rire quand je sens un poids m’entraîner vers le bas, je ferme les yeux par réflexe et atterrit brutalement sur mon lit.

Nathaniel: Tout vas bien !? 

J’ouvre doucement les yeux pour apercevoir un Nathaniel semi paniqué semi amusé, à quatre pattes, au dessus de moi. Je rougis en comprenant dans quel position nous sommes et ouvre la bouche pour dire quelque chose avant de la refermer. Un long silence s’installe et subitement, Nathaniel commence à rougir violemment.

 Nathaniel: Heu… tu sais… tout a l’heure, je voulais… comment dire ? 

Il détourne la tête et rougit de plus belle, je le regarde les yeux brillants.

Nathaniel *chuchote*: Oh et puis zut… ! 

Et je sens quelque chose se poser sur mes lèvres. Une chose douce et un peu humide… j’ouvre les yeux en grand en comprenant la situation. Nathaniel m'embrasser ! Une explosion de sentiments se passe alors dans tout mon être, je ferme les yeux, de bien-être, et décide de répondre en posant fébrilement mes mains sur sa nuque pour accentuer ce merveilleux baisé. Nathaniel rapproche son corps du mien et passe une des ses mains dans mes cheveux, tirant dessus et jouant avec. Je romps le baisé, à contre coeur, et regarde mon copain dans le blanc des yeux pour y voir un regard remplit d’amour et de tendresse.

Nathaniel: Je t’aime, Marc…

Marc: Je t’aime aussi...

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Bonsoir ! Et oui ceci conclu notre petite fiction numéro 2 ! J'aimerai vous dire qu'ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants mais ça c'est pour une autre fic ! ;)

J'espère que cette histoire vous as plu!

MERCIII a tous ceux qui nous ont soutenu sur cette fic !

🎉 Vous avez fini de lire PARCE QU'IL N'Y A PAS ASSEZ DE MARCANIEL EN FRANÇAIS 😋 🎉
PARCE QU'IL N'Y A PAS ASSEZ DE MARCANIEL EN FRANÇAIS 😋Où les histoires vivent. Découvrez maintenant