Les insomnies ont du bon, c'est ce que je me dis souvent quand je me retrouve au devant de la capture d'une araignée me croyant assoupie qui essaye de tisser sa toile près de mon mur et que je me rends compte enfin de pouvoir publier ici.
Je ne devais pas publier des textes trop littéraires, trop travaillés ou des pages pouvant figurer pour le concept d'autres recueils dans ce Quotidien. Il ne devait pas avoir beaucoup de lectures, d'attentions pour la bonne raison que cela pourrait éclipser l'attention à mes fictions. Pourtant, j'ai publié un petit texte pas si mauvais ici voire deux petits textes pas si mauvais. J'ai écrit finalement beaucoup de lignes, je devais souffler et un évènement m'a enlevé l'apaisement que je possède à l'égard de ce quotidien.
Depuis le début, je publie quatre segments par mois contenant: déboires, découvertes, futurs projets, remerciements. Les actions: communiquer le processus créatif, montrer tenir à ses écrits donc ne pas souhaiter les abandonner, se remettre de ses émotions littéraires pour poursuivre ses écrits et partager. Le fait d'ajouter un bilan d'année, les fesses de Nigthwing d'un vieux comics, mettre des Batman, une pomme de terre prête à en finir avec la vie avec un seppuku; finalement ne me dérange pas.
En revanche, passer quatre jours à me dire que mes quatre publications n'ont pas été prises en compte, publier, dépublier, les supprimer, puis copier les textes, devoir séparer pour manque d'espace et publier à nouveau sans avoir d'affichage là ça a été un déboire monstrueux !
Le chiffre quatre ne fait pas honneur, plus horreur, j'en reviens encore au Japon..
YOU ARE READING
Le Quotidien
Non-FictionVous avez compris le double-sens du mot quotidien ? Journal et vie .. En bref, si vous voulez apprendre mes déboires littéraires ici, avoir des informations, découvrir quelques petites choses, me poser des questions, voici le lieu ! Car écrire sur m...