Quelques changements pour mon pseudonyme

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Saccharos vient de la saccharose, tout bêtement le sucre pour les personnes n'ayant pas lu le segment consacré au pseudonyme. Je ne pense vous avoir écrit que j'avais hésité longuement entre plusieurs pseudonymes, plus j'étais devant mon pseudonyme plus je me disais ne pas avoir effectué le bon choix. Finalement, j'ai pris la décision de m'en ajouter deux autres sans pour autant supprimer celui-ci car un des deux devait figurer en nom complet hors n'arrivant à les départager, je ne mis rien. ^^'

Ainsi je deviens également :Sikera

Puis : L'impé-tueuse/rator

J'ai coupé la poire en deux en les fusionnant xD

D'où ça me vient pour le premier ? De l'hébreux, je vous laisse effectuer vos recherches, toujours en rapport avec le sucre sauf que ça ajoute d'autres symboliques, d'ailleurs j'en possède un deuxième.

Pour : L'impé-tueuse/rator, il s'agit tout bêtement de la fusion de plusieurs mots que voici : impétueuse, tueuse, imperator. Avec des mots sous-jacents : rat, or, rature, torture, temps.

Imperator, c'est pour annoncer de manière plus ou moins subtile le côté historique que j'essaye de vous fournir dans mes récits, ne pas faire trop d'anachronisme vis-à-vis du XIX avec Culpabilité et mon recueil Délices Illicites, donner une politique, une royauté devenant empire crédible avec le Jeune homme sans mains quant aux autres termes impétueuse me correspond, tueuse aussi dans le sens où tout auteur tue pour créer. Je précise ne pas me juger imperator,empereur ou impératrice, je n'ai pas un égo démesuré, je me juge ainsi seulement envers ou presque les personnages auxquels je livre des récits, pour vous mentionner que je les torture.

Je me souviens d'une vieille conversation avec quelqu'un qui m'a énormément soutenu ici, je l'ai trouvé très positive cette personne, elle m'avait déclaré que si je souhaitais avec ce compte apporter un peu d'optimisme, de la douceur dans ce monde amer, bien j'aurais dû prendre autre chose que cette drogue nous donnant le diabète car le sucre c'est à double tranchant. Seulement, j'ai aimé ce côté trouble, le côté diabétique, drogue légale ne m'effraie pas, puisque chaque auteur souhaite accoutumer son lectorat, lui en donner de la bonne. Mon deuxième récit publié ici se nomme Absinthe, pour boire cette boisson alcoolisée il était de coutume de mettre un morceau de sucre car celle-ci se montrait amère. Puis je traite d'un détective ayant une addiction à la cocaïne, mes personnages principaux d'après des personnages fonctions d'un conte ou pas possèdent également des addictions de diverses natures ou s'y trouvent confrontés.

Cela me vient cette idée de sucrer l'amertume ambiante ou la mienne d'un philosophe antique, il déclarait sa philosophie amère, noire, dépressive en expliquant que la philosophie en elle-même est comme ce médicament à l'absinthe amère (oui avant on soignait avec de l'absinthe) que l'enfant ne souhaite boire, si on le trompe en posant du miel sur le bord de la tasse celui-ci avalera une bonne partie du breuvage voire tout trompé par le goût sucré. Non loin de moi l'idée de me prétendre philosophe ou capable de grandes choses, seulement j'aime cette métaphore, ainsi mon compte sous son LGBT+ free your body, fluffy avec du lemon bien acidulé vous a appâté avec la bonne citronnade ou orangeade voire des sucres d'orge pour vous montrer des thèmes pas très érotiques au final plutôt sinistres voire mortifères.

Sincèrement, si j'arrive au travers de mes reprises ou récits originaux à évoquer des thématiques peu abordées ou seulement dans des œuvres rien qu'à la couverture vous annonce la couleur, j'en éprouverais bien du plaisir. Nous sommes sur internet, si je fournis que de l'érotisme, de gentillettes histoires à des adultes ou plutôt contre mon gré à des adolescentes apprenant sur le tare les choses de la vie, je m'en voudrais de ne pas avoir saisi l'occasion pour montrer des personnages souffrants, en prise avec des soucis similaires à ceux de véritables humains de chair et de sang, je m'en voudrais à vie !

Je ne veux pas jouer les mamans ou les grands frères de service, pourtant je vous assure parfois j'ai envie d'écrire un : «Est-ce que tu en as parlé à un adulte ? Si un pédophile t'aborde, prends tout en capture d'écran puis montre à ta famille proche, tes amis ou autres puis s'il y a du harcèlement notamment sexuel va voir avec eux la police ! Si quelqu'un te menace, sors un bon gros texte de loi, du spam de Code pénal ou de la propriété intellectuelle, mon pote étudie le droit, je vais te passer des tuyaux !»

Mais, je me retiens, puisque sinon on me dira des : « Hé l'autre la vieille qui a sûrement pas connu d'enfance et/ou d'adolescence avec internet et qui découvre les réseaux sociaux actuels ! Comment peux-tu comprendre, à tes douze ans t'avais internet ? Est-ce que internet existait quand t'étais enfant ou c'était plutôt le minitel ?»

Je risque de me vexer en disant : «Je..je.. puis d'abord c'est celui qui dit qu'il l'est ! La jeunesse est dans la tête ! Je n'ai pas raté ma vie à traîner à mon âge sur internet..»

Le QuotidienWhere stories live. Discover now