Déboire littéraire de Saccharos.2

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J'écrivais, avec encore une dizaine de fenêtres d'ouvertes, les jambes en tailleur et là arrive l'élément perturbateur qu'une bonne partie de vous devez subir: le chat !

Bref, celui-ci était d'humeur câline, ce qui se traduit par un "v'là que je te pousse" et une volonté de me présenter son postérieur. Je le caresse distraitement, comme d'ordinaire lui dis des "oui t'es le plus beau ", en essayant qu'il cesse ses mouvements un peu trop violents à l'égard de mon ordinateur. Après un énième coup sur mon écran ne tenant plus, il se roule sur mon clavier de tout son corps avec une folle énergie..Heureusement que je sais récupérer mon travail.

Le QuotidienWhere stories live. Discover now