Une onde de peur c'est répandu sur Newest City, la ville des monstres et des humains à la surface. Depuis une semaine des personnes se font assassiner et disparaissent mystérieusement sans aucune explications.
Qui peut bien être l'auteur de ces mas...
La voiture bleu foncé de police venait de s'arrêter sur le petit parking du laboratoire de recherche sur les âmes. Undyne arrêta le contact et sorti de sa voiture en même temps que Alphys qui prit son temps. Undyne portait sa tenue de policière bleu foncé et ses cheveux flamboyants étaient attaché en queue de cheval. Alphys elle, portait une chemisette rose et bleu ciel avec un petit gilet bleu ainsi qu'une jupe en jean. Alphys se tourna vers la policière et lui sourit :
« Merci quand même de m'avoir emmené Undyne. Mais t-tu devrais y aller maintenant, j'ai dû te retarder.
« Pas du tout ma chérie ! Tu sais que je ferais n'importe quoi pour toi et ils peuvent se passer de moi deux minutes ! (elle se tourna vers l'entrée du labo) Puis avant de partir je veux aussi m'assurer qu'il n'y a aucun danger.
« Un-Undyne ! C'est mon laboratoire ! J'y vais presque tous les jours et je ne vois pas pourquoi...quelqu'un viendrai ici. – rassura Alphys en la suivant vers l'entrée.
« On n'est jamais trop prudent Alph. – dit la femme poisson en la laissant ouvrir la porte.
Quand ce fut fait, elle rentra immédiatement une lance à la main prête à attaquer tout élément suspect. Tandis qu'Alphys ouvrait les stores et les ordinateurs de la première salle, Undyne explorait chaque salle, les sens aux aguets. Mais très vite, elle se rendit compte qu'il n'y avait rien à signaler. Elle soupira puis retourna vers la scientifique. Elle lui fit un grand sourire afin de lui cacher sa nervosité :
« R.A.S !
« Je te l'avais dit qu'il n'y avait aucune raison de t'inquiéter. – dit Alphys en allant enfiler sa blouse rangée dans un placard.
« Je sais...mais je ne pouvais partir avant de savoir que tu étais en sécurité.
Alphys s'approcha d'elle quand elle eut fini d'enfiler sa blouse et lui prit sa grande main écailleuse.
« Je sais que ce qu'il se passe en ce moment te met sur les nerfs. Mais tu m'avais dit qu'il n'y avait plus aucun meurtre depuis hier, peut-être que cela va s'arranger ?
Undyne prit la petite main de son épouse et fit un bisou sur son front avant de répondre :
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« Je ne sais pas...quelque chose me dit que ce n'est pas la fin. Je ne veux pas que l'un d'entre nous soit... (elle serra les dents) Je te le jure, cet avorton va le payer et je finirai par le coincer.
« J'en doute pas, tu fais parti des meilleurs de la police. – complimenta Alphys en lui souriant
« Ouais ! La crème de la crème ! Fufuhuhu ! Je ne sais si ce truc est un humain ou pas, mais il a intérêt à bien se tenir ! – s'exclama t-elle en riant à gorge déployée.
A ce moment-là, le portable d'Undyne sonna un coup. Elle regarda son portable et soupira de dépit. Elle se tourna de nouveau vers Alphys :
« Bon le poste m'appelle, il faut que j'y aille. Ils ont besoin de leur capitaine.
