Une vrai vie amoureuse

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La femme retourne à la maison et dit à son mari ce qui avait été dit. Son mari était
ravi. ‘’ Comme c’est agréable !’’ dit-il puisque c’est le cas nous allons inviter RICHESSE.’’ Sa
femme n’était pas d’accord, ‘’ pourquoi inviterions nous SUCCES pas SUCCES ? ‘’ Leur belle-
fille qui était dans une autre pièce, entendit leur conversation, elle sauta sur l’occasion pour
faire sa propre suggestion. ‘’ Ne serait-il pas mieux d’inviter AMOUR ? la maison sera alors 
remplie d’amour’’ ! ‘’Tenons compte du conseil de notre belle-fille, dit le mari à sa femme.
Sors et invite AMOUR à être notre invité.’’ La femme sort et demanda aux trois vieillards : ‘’
Lequel d’entre vous est AMOUR ? ‘’ Elle lui dit s’il vous plaît entre et sois notre invité.’’ Les
deux autres d’entre nous serions restés dehors, mais puisque vous avez invité ‘’AMOUR’’,
partout où il va nous allons avons lui. Puisque partout où il y a de l’amour, il y a aussi de la
Richesse et du Succès ! »
Il n’y avait plus rien à dire. Léa remercia sa mère et entra dans sa chambre. Elle savait
désormais ce qu’elle voulait. Elle voulait être avec Daryl. Elle ne voulut plut attendre. Elle prit
son portable et saisit le message suivant :
« Je te déclare mon amour par ce message car je n’ai pas le courage de te le dire en face
quand je vois le princier beau que tu es intérieurement, j’ai peur de ne pas trouver les mots
que ma langue colle au silence alors je t’envoie ce message pour te dire que je t’aime aussi et
c’était depuis le jour où mes larmes ont coulées sur tes épaules à la fac. Ta présence dans
ma vie m’a apporté toujours la joie au fond, tu me fascines avec ton regard calme qui cache
ton sourire et ta romance. Ainsi tu m’as donné l’espoir par tes actes et tu me donnes l’envie
de t’offrir tout mon amour du plus profond de mon cœur. Sache que ce message est écrit
par mon cœur avec des sentiments purs qui décrivent mon amour, des mots qui chantent la
liesse amphigourique et du bonheur inexplicable parce que j’ai su et je suis certaine que tu
es l’ange qui fait battre vraiment mon cœur. Promets-moi de m’aimer comme je t’aimerais
mon amour jusqu’à la fin de mes jours. Je t’aime Daryl »
Cela fait déjà près d’une semaine que Daryl est allé rendre visite à la maman de Léa. Depuis
le dimanche de sa rencontre avec Rose, il décida de mettre une distance entre lui et Léa. Tel
qu’ils se voyaient à la fac, Daryl a stoppé tout et même a éteint son pareil pour éviter
n’importe quel appel venant de Léa. La monotonie est ainsi devenue son colloc. Ç ‘était très
difficile pour lui de tenir une semaine sans la voix de Léa. Mais ce jour était le jour tant
attendu. Alors il décida d’allumer son téléphone portable. Quand il alluma le téléphone, il
alla directement sur Facebook et fébrilement alla voir les messages de Léa. Il y avait bel et
bien un message en suspens depuis trois jours. Son cœur fit un bond. Il rassembla tout son
courage dans son pouce droit appuya pour lire.
Duran toute la lecture, il était comme une statue. A la fin, il ne put rien faire. Ses yeux
restaient rivés sur l’écran pendant 10 minutes puis doucement un sourire illumina son visage.
Il déposa délicatement son portable sur le lit puis d’un seul coup il se mit à sauter partout
dans sa chambre comme quelqu’un dont l’équipe aurait gagné la finale.
Depuis la cuisine, sa mère et sa sœur dirigèrent leur regard vers la chambre.
- Ton frère fait toujours autant de bruit quand il écoute sa musique ?
- Ça dépend de laquelle, dit-elle malicieusement.
Elle avait déjà lu le message sur le compte de son frère.
De son côté, Daryl s’était arrêter. Ce n’était peut-être qu’un rêve. Il se pinça fort et y
répondit par un « aie ». Il repartit lire le message pour être sûr que ce n’était pas une blague.
Puis il se mit à danser tout seul pendant des heures. Il repensa à tout ce qu’il avait enduré
pour cela et finalement il cria un grand « ça a payé !!! »
Le lendemain, Léa se rendait à la plage où Daryl lui avait donné rendez-vous. Arrivée au point
de rendez-vous elle chercha Daryl mais ne le vit pas. A ce moment, deux mains lui
obstruèrent la vue.
- Daryl, arrêtes, sourit-elle.
- Ce n’est pas Daryl, répondit-il.
- Ouais ouais. J’ai compris mais arrêtes.
Il la prit par les hanches, la fit pivoter et la souleva en tournoyant sur lui-même.