Quoi dire de plus ? Ma vie est un rêve qu'aucune fille de rêverait de vivre, en un mot ma vie est un cauchemar.
J'étais toujours dans mes pensée triste quand...?: TOI DEBOUT
Moi : oui oui patron je suis là
Lui : VA FAIRE TON TRAVAIL GARCE
Répondre à sa provocation ? Non cela n'est pas digne de moi car le très haut m'a appris à pardonner.
Moi: ok sans problème monsieur.
Je sors toute tremblante de cette pièce avec la peur qu'il me frappe ou un truc de ce genre.
Pendant que je sortais il me lançait un regard qui pouvait tous simplement me tuer, s'il le pouvait.Chaque jour en sortant de mon lieu de repos, en parcourant cette maison je me dis que le bonheur, jamais j'y aurai droit, et dire qu'il y'a quelques années je résidais dans une maison deux fois plus grande que celle-ci. Finalement, peut être que je ne verrai jamais de soleil dans ma vie.
?: Tu fais quoi encore là haut ? Cris ma patronne, ce qui me fait revenir à la triste réalité.
Moi : oui madame
Elle : tu as fait le ménage ? Il est où le petit déjeuner ? Et ma lessive, elle ne se fera pas toute seule.
Moi : vraiment désolé madame, c’est juste que je ne me sens pas bien ce matin, j’ai de la fièvre et u…
Elle ne me laisse pas le temps de terminer ma phrase qu’elle me met une gifle à la joue droite. J’étais surprise, non mais très surprise, cela c’est passé à une telle vitesse que je ne l’ai même pas vu venir et là j’ai mal, très mal et pas que physiquement mais aussi psychologiquement, je suis détruite.
Moi : désolé madame dis je en pleurant
Elle : tu es désolée ? Tu es désolée ? Mais on s’en fiche que tu sois désolé, active toi ou je t’en mets une autre et plus forte que la première.
Moi : pardon madame, dis-je avec un regard assez désolé.
Je me mets à courir un peut partout dans la maison, entre lessive petit déjeuner et ménage de toute la maison, j’ai vraiment du boulot alors pas de temps à perdre, mais comment gagner du temps avec ce mal que je ressens à la tête ?
Finis le ménage, je dresse la table pour le petit déjeuner, en environ trente minutes, tout est fins prêt.Le patron, son épouse et leur dernière de 14ans viennent et se pose pour pouvoir prendre leur petit déjeuner.
Patron : c’est quoi cette merde ?
Moi : c’est des crêpes monsieur
Patron : tu appelles ça des crêpes toi ? °en pointant son index sur
L’assiette pleines de crêpesMoi : désolé monsieur, si c’est mal fait, je peux en faire d’autre
Patronne : non mais chérie, tu vois comment elle parle, elle à une grande gueule tu ne trouve pas ?
Patron : viens prendre ton petit déjeuner de merde
Je m’approche de leur table pour pouvoir prendre l’assiette quand leur fille me balance le jus d’orange fait maison en plein visage.
La fille : ton jus il est pourri, tous comme toi dit Elle en riant.
La c’est trop, je ne peux plus supporter tous ça, j’en peux plus et sur le coup, les larmes que j’ai temps retenue pendant ces temps ci coulent, coulent à flot, je ne peux m’empêcher d’éclater en sanglot.
Je pleurais toujours quand leur fils, le plus grand qui a pratiquement mon âge fit son apparition.
Lui : non mais, c’est quoi ce bordel putain… Nora, cette fille est plus âgée que toi, tu lui dois du respect.
Nora : puff le salaud de service amène son cul, faut que moi je bouge bye
Elle ne prend pas la peine d’écouter les conseils et mise en garde de son frère et prend la porte.
Lui : cette fille est une canaille
Patron : ok, je bouge aussi à ce soir chérie et toi ‘‘en me fixant’’ tâche de mieux faire le petit déjeuner la prochaine fois.
Patronne : ok à ce soir chéri
Leur fils : non mais papa, maman, cette fille pourrait être la vôtre, alors soyez un peu plus correcte avec elle s’il vous plaît.
La patronne lance un juron à son fils, le regarde de travers comme s’il venait de dire une chose, improbable, impossible et se dirige vers sa chambre sans adresser la parole à sn fils, quant au père, il était déjà parti à son lieu de travail.
Lui : ok nous sommes maintenant tous seul. Dit-il avec un large sourire pervers.
Moi : hum oui monsieur, vous voulez un truc à boire, à manger, je peux faire une chose pour vous ?
Lui : oui oui
Il avait un sourire pervers et il s’approchait un peu trop de moi, je reculais mais il ne cessait d’avancer. J’avais peur, très peur déjà que le père m’avait fais des avances, encore le fils non je ne pouvais pas.
Je m’apprêtais à crier quand il fait sortir un couteau, un tous petit couteau, qu’il met sur mon bas ventre, j’éclatais en sanglot, et dire qu’il prenait ma défense il y’a à peine quelque minutes.
Lui : tu cris tu meurs
Je fais un oui de la tête, aucun mot ne sortait tellement j’étais pétrifié.
Il est maintenant derrière moi et il me pousse pour que je puisse faire des pas, je ne me débat pas, de toute façon je n’ai aucune force pour le faire, j’ai de la fièvre, de la migraine, je suis dépassé spirituellement et moralement, cerise sur le gâteau, j’ai un couteau dans le dos. Alors à quoi bon me débattre, à quoi bon résister, tous ce dont j’ai peur c’est qu’il me prenne ma fierté, ma virginité, la seule chose que j’ai de précieux dans ce monde cruelle, sans cœur.Nous sommes maintenant dans sa chambre et mon cœur rate un battement quand t’il pose ses mains salit par la perversité sur ma poitrine, ensuite sur mes fesses. Dès lors, je comprend mieux ce qu’il veut, rassemble toutes la force que j’ai en moi pour lancer un cri d’appel à l’aide espérant voir la mère de ce jeune homme franchir le seuil de cette porte mais rien, de toute façon cela m’aurait étonné si elle venait.
Ce n’est pas possible qu’il ait des gens aussi sans cœur sur cette terre, et pourtant je ne leur ai rien fait.
Depuis deux ans que je travail ici pour pouvoir survivre car personne ne veut de moi dans une entreprise.Il me déshabille, je suis maintenant en sous vêtement, sous lui et mes larmes ne cessent de couler juste en pensant à ce qu’il va me faire.
Je n’ai plus aucune force pour me débattre, je suis maintenant nue, sous lui, il me touche de partout, m’embrasse de force et me frappe quand je fais un mouvement qui ne l’arrange pas.
Je me sens partir de l’autre côté, je sens mon âme, mon esprit me quitter quand t’il place son érection près, tous proche de mon sexe. Je pleure silencieusement, je veux crier mais aucun son n’ose sortir de ma bouche.
