Passé 16

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Cette petit fille c'est toi...

Cette phrase ne faisait que résonner dans mon esprit, je reculais d'un pas puis deux puis trois, finalement je me retrouvais dehors le visage collé sur la vitrine qui donnait vu à la chambre de papa.
Au même instant les médecins rentraient affolé par le bip de la machine, Jack me regardait, il me regardait intensément. Ça se voyait qu'il était désolé, quelque voulait de ses yeux puis il se mit à agoniser. Les médecins s'acharnait pour le sauver mais le cardiogramme affichait un trait rectiligne horizontal. Il était mort, plutôt il venait de mourir et moi je n'avais aucun sentiment. De la tristesse ? Non, de la solitude ? Non je suis habitué.
Je regardais toujours par la vitrine et je voyais docteur ILHAN en pleure en fermant papa tout entier avec un drap blanc. Il se retournait et me regardait attentivement, ça se voyait qu'il avait mal, mais il était supprit de voir que moi non. En effet je ne pleurais pas je ne faisais que regarder. Il s'approcha de moi, me regarda encore et me dis, JACK est décédé.
Je voulu crier, pleurer, me tordre de douleur face à la perte d'un être chère mais tous ce qui sorti c'était un simple et miserable OK.
Il me regarda de travers puis essaya de me prendre dans ses bras quand je me mis à courir ne sachant où mes pieds me conduisaient.
Je courrais encore et encore jusqu'à me retrouver en face du parc. Je m'arretais de courir un instant, analysant l'entrée qui ne reflétait en se moment que la douleur. Je marchait ensuite, encore et encore jusqu'à me retrouver en face d'un arbre, ou j'avais gravé pourquoi moi avec une pierre lors de mes 8ans, lorsque ma soit disant tante m'avait jeté croyant que j'étais morte.
Là je ressenti tout un tas de sentiments. Je criais fortement, à tel point que des centaines d'oiseau s'élevaient au ciel. Je ressentais de la peine de la haine de la douleur de la solitude de la détresse, j'étais malheureuse. J'ai tous perdu et cela en une seul journée, mon fiancée par un accident et papa, mais que dis je ce n'est pas mon père, c'est un assassin, un voleur d'enfant, il n'a rien de différent face aux autres personnages de ma vie quoiqu'il m'a soutenue pendant un temps il m'a redonné le sourire mais il m'a mentis tous ce temps, il savait que j'avais des parents il le savait mais il me l'a caché, il savait que même si je souriais le matin les soirs je pleurais, il savait qu'à chaque anniversaire je paraissait heureuse mais au fond je m'en voulais terriblement croyant que j'étais la cause de la mort de mes parents et il était là à me soutenir à sécher mes larmes alors qu'il pouvait tous simplement mettre un stop à ces douleurs. Je le haïs je le haïs de toute mon âme mais je l'aime aussi, je ne sais pas je ne sais plus. Si mon fiancé était là, lui il aurait su me comprendre mais malheureusement la vie s'est acharné contre moi, je lui avait dis de ne pas s'approcher de moi car je porte malheur, je lui avait dis de ne pas m'aimer et de ne pas faire en sorte que je l'aime parce que je suis là malchance incarné, et j'avais raison. Là où tous semblais aller, les nouveaux poumons de papa étaient retrouvé, yoann qui me demande en mariage et en un laps de temps tous s'écroule, tout est annulé et encore une fois je suis seule avec une nouvelle terrible, je suis une fille volée, j'ai des parents et je ne sais même pas où il sont. J'ai tellement mal que je ne sais comment décrire ce mal la, comment lui donner un adjectif. Je suis maudite, ma tante me le disais toujours mais j'y faisais face, à présent la réalité est devant moi, je suis une fille maudite.
Larmes, pleure tristesse puis je m'endormie contre l'arbre de ma jeunesse l'arbre qui représente Jack. C'est ici que l'on s'est rencontré pour la première fois et 12ans après me revoilà toujours avec cette peine.

Le lendemain

Des rayons de soleil me frappaient automatiquement les yeux lorsque je me levais de mon sommeil. J'avais eu une nuit difficile, et j'avais des bobos un peu partout. Je me levais du sol difficilement en m'accrochant à l'arbre.
Je fis un pas puis deux, je regardais attentivement l'arbre puis parti en direction de la maison de yoann.
Arrivé, je voulu entrer quand je vis son oncle Reyes.

Reyes : ah que fais tu ici

Moi : je suis venu chez moi quel est le problème

Reyes : et bien ici n'est plus chez vous chère demoiselle veuillez rebrousser chemin

Moi : mais comment ? S'il vous plaît ne me faites pas ça, ou vais je dormir, ou vais je résider ? S'il vous plaît je pourrai être votre femme de ménage si vous voulez mais ne m'a chasser pas comme ça s'il vous plaît. Disais-je à genoux en larmes

Reyes : dégagez chère Tania l'on a plus besoin de vous, vous êtes une suceuse de blé.

le suppliant toujours à genoux en pleure...
Tous d'un coup je reçu un coup de pieds immense dans le bas ventre qui me projetait hors de la maison. J'eu des peines à me lever mais je réussi. Je le regardais et il souriait, il était content de lui apparemment. Comment pouvait il dire que je suis une suceuse de blé ? Moi qui ai tant aimé Yoann qui lui ai donné des idées pour ses entreprises, qui le faisait économiser, tous ce que je voulais de Yoann c'était son amour, je n'acceptait même pas qu'il achète des cadeaux hors prix pour moi. Vraiment je suis déboussolé. Son oncle, celui qui a été le premier à délaisser Yoann quand il a perdu sa famille celui qui a été le premier à le traité d'assassin, c'est lui qui réclame sa part aujourd'hui. L'héritage ne me consterné pas et je n'en veux même pas. Je voulais juste un toit ou dormir je voulais juste être sur le lit à moi et Yoann pour me rappeler de son odeur, pour me rappeler de lui et son oncle me mets dehors avec un coup de pied dans le ventre. Il me regardais toujours avec cet air méprisant mais ne voulant pas de problème, je me retournais automatiquement ayant pour objectif de quitter définitivement cette ville.

J'avais horriblement mal au bas ventre mais je continuais mon chemin. Je me retrouvais encore devant ce parc et je me dirigeais vers le banc de l'amour d'après Yoann car c'est celui là que nous nous sommes embrassé pour la première fois, c'est ce jour là que j'ai su que je ressentais aussi des sentiments pour lui mais je l'ai tellement repoussé et au moment où nous étions heureux on me l'enlève, qu'elle tragédie.
J'arrivais devant ce banc et à genoux je mis à implorer le ciel...
Si c'est un rêve je t'en supplie reveille moi, ce cauchemars a bien trop duré. S'il te plaît reveille moi.
Pourquoi moi, pourquoi c'est à moi qu'arrive tous ses malheurs ? Pourquoi je n'ai pas droit à la paix, au bonheur ? Je suis une fille maudite, des le ventre de ma mère je suis maudite.
Je pleurais durant des heures puis me levais, sortais du parc et me retrouvais sur cette fameuse rue, elle avait été nettoyé et personne ne pouvais dire qu'il avait eu meurtre ici mais moi je revoyais encore tous, le taxi qui s'arrêtait, moi qui descendais affolé, la voix du policier, la marche qui me semblait si longue et portant n'a fais qu'à peine une minute, et enfin le corps de yoann sans vie. Moi qui le suppliant de ne pas me laisser, moi qui embrassait ses lèvres tâché de sang, moi qui le touchait mais faisais face à un corps dur et glacé. Moi qui secouait yoann avec le désir de le voir ouvrir les yeux, les policiers qui me soulevait et corps de yoann mis dans un corbia. Sans regarder de part et d'autre de la route je m'engagais sur la voie avec cette douleur atroce au bas ventre. Tous ce que je voulais c'était touché le sol, la partie où yoann était couché et j'imaginais l'accident dans ma tête, un ivrogne qui roulait à une vitesse inimaginable sortie de sa voie et vint cogner mon pauvre fiancé qui n'avait rien fais de mal. Mon fiancé mourut sur le coup et l'ivrogne, juste quelques blessures. Comme la vie est injuste me disais je arrivant enfin au lieu indiqué. Je n'eu pas le temps de m'abaisser, j'entendais des personnes me crier de quitter la voie. Puis plus rien à part un bruit sourd...

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Vous aurez la suite ce soir, promis juré...

Désolé pour l'attente, j'avais de groooooos problèmes et puis la phase de la page blanche 😩 désolé

Pourquoi Moi ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant