Rose noir , rose blanche ( Sebastian x reader) [Black Butler]

Cobaye

Aslante : YOUPIIIII ! Mon histoire commence enfin ! OUIIIII !
Ciel: Arrête de crier , tu le casse les oreilles !
Aslante :*tire la langue au comte * Laisse moi exprimé ma joiiiiie !
Ciel : *soupir * Sébastian , emporte la ailleurs !
Sebastian : yes, my lord ! *prend aslante comme un sac à patates sur son épaule droite et pars en direct des jardins du manoir .
Aslante : JE REVIENDRAAAAAIIIIS !!!
Ciel : malheureusement ! *se tourne vers les lecteurs / lectrices * Bon , et bien .... Bonne lecture !
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Flash back

J'étais dans la cour du la propriété de mes parent , je m'amusais à faire fuir les poules en leur courant après, je rigolais, je courais, je sautillais, j'étais heureuse, tout simplement.
Ma mère me cria depuis la porte cochère :
— (t/p) ! Viens par là ! On va chez grand mère !
Je tourna la tête devant le portail de la ferme , ma mère et mon père m'attendaient en souriant mais ... Ce n'est pas un vrai sourire, leurs yeux étaient infiniment tristes, pourquoi ?
—Mais je croyais qu'on y allait demain ?  répondais je, interloquée.
— Ne discute pas ! Allez, viens ! répliqua mon père.
J'accourus vers eux et nous sommes montés dans une calèche en direction de Londres, là où mes grands parents maternels vivaient.
Quelques heures plus tard, nous sommes tombés sur un marché de légumes,fruits, poissons et viandes. D'habitude, c'était Dora, l'aide cuisinière qui faisait le marché, mais ma mère m'ordonna : — Attends nous là (t/p) , je dois faire quelque courses !
— Ouiiiii !
Je me suis assise sur les marches de l'église qui était face au marché et j'ai attendu, respirant les différentes effluves qui montaient jusque là. 10 minutes, 30 minutes, 1heure.... Puis les 8 heures du soir sonnèrent, les commerçants commençaient à remballer leur équipement. J'avais froid et soif, de petits tremblements secouaient mon menton. La peur s'emparait de mon esprit, jamais on ne m'avait laissé aussi longtemps. Je me levais et couru à travers la foule pour retrouver mes parents, soudain :
— Aïe!
Ce seul mot traversa mes lèvres avant que je ne tombe en avant, plongeant dans l'inconscience.
Une silhouette noir me pris sur l'épaule et disparu à travers la foule

J'avais si mal à la tête. J'ouvris les yeux péniblement, tout était brouillé... J'entendu une voix, d'abord lointaine puis de plus en plus nette.
—Est-ce que tout est prêt?
— Presque, il manque Mario, c'est lui qui est en charge du livre .
— Qu'il se dépêche. Oh , regarde le cobaye s'est réveillé !

Un homme se pencha sur moi, souriant. Vêtu d'une tunique sombre, il ressemblais à un croque-mort.
'Le cobaye ? C'est... c'est moi ?!'
L'homme remarqua mon air paniqué et se plaça plus près.
— oui, tu as bien compris, nous allons faire des expériences sur toi !

Son rictus était malsain.
J'essayais de bouger mais j'étais bel et bien enchaînée par les pieds et les mains, allongée sur un hôtel de Pierre .
Je distinguais autour de moi des table où étaient entreposé des montagnes d'outils, plus étrange les uns que les autres.
Alors que j'essayais de me débattre pour enlever ces chaînes, un autre homme arriva en courant, à sa suite , encore trois autres hommes qui semblaient surexcités.

—  s'il vous plaît, laissez-moi partir, j'ai peur.... dis je d'une voix suppliante.
— chut , dors !

Sans comprendre pourquoi, mes paupières se fermèrent toute seules et je plongeais dans un sommeil sans rêve . Je fus réveillée par... un chant ? 'Quelle est cette langue ? Pourquoi je n'arrive pas à ouvrir mes yeux ?'
(t/p): AAAAAAAH !
Je sens une douleur horrible dans tout mon corps, comme si on me brûlait vive.
Le chant et la douleur s'entremêlent et je reperdu connaissance ( DNA: mieux vaux deux fois qu'une !) .