Rose noir , rose blanche ( Sebastian x reader) [Black Butler]

God save the queen

J'ouvris doucement les yeux, éveillée par le chant des oiseaux. Je jetais un regard circulaire autour de moi, je me trouvais dans une chambre luxueuse et j'étais allongée dans un énorme lit à baldaquin bleu ( DNA: mon rêve), alors que je me redressais, les évènements précédents me revinrent en mémoire et la panique couru dans mes rêves. Je me levais précipitamment et me dirigeais vers un miroir aux contours dorés qui se trouvait dans la chambre . Oh mon dieu....
— HAAAAAAA ! C'est quoi ça ?!

Dans le reflet, je me voyais mais avec.... des oreilles et une queue de chat ! Mais ce n'est pas possible !
Je scrutaient aussi mes yeux, mes pupilles sont comme celles d'un chat !
Alors que je vérifiais qu'il n'y est pas d'autres changement ou d'autres mauvaises nouvelles, des bruits de pas précipités de l'autre côté de la porte parvinrent à mes oreilles.
Elle s'ouvrit, puis apparu une jeune femme en robe noir et avec un tablier blanc bordé de dentelle. Je reculais, apeurée, elle était peut-être liée aux événements.

— N'ayez pas peur mademoiselle ! Je m'appelle Kimya, je suis une servante de sa majesté la Reine. Vous vous trouvez à Buckingam, dit elle d'une traite.
(t/p) : Q-quoiiii ?!

Il y eu quelques secondes de flottement où j'essayais de tout digérer.
Je passais donc d'un marché, puis à un autel, puis à Buckingam.
— Euh ... Je vous ai entendu crier, tout va bien ?
— Comment ça "tout vas bien ?" ? J'ai des oreilles de chat ! Ce n'est pas normal ! Et puis, qui me dit que vous ne me mentez pas , ça se trouve, vous êtes une des leurs !
— Je comprends vos doutes, pour vous rassurer, je ne suis pas une de vos... bourreaux, si je voulais vous faire du mal, je l'aurais fais quand vous dormiez, non ? Et vous êtes bien à bukingam, regardez par la fenêtre ! dit-elle en me désignant les rideaux.

Je me suis approché de la fenêtre, et la vie me coupa le souffle, devant moi , les jardins de sa majesté s'étendent. Et derrière, la magnifique ville de Londres.

— Par contre , pour vos... Oreilles, il faudra la visite de l'inspecteur qui vous a trouvé.

Je me suis tourné vers elle pour lui demander qui était cet inspecteur quand...

Brrrrrrro .
— Ah... dites ? Vous n'auriez pas à mangé ?

Je vu Kimya pouffer et me sourire.

— Je vais chercher quelque chose, qu'est-ce qui vous ferait plaisir ?
— hummm, du thé et un fraisier ?
— d'accoooooord !

Elle se retourna, s'avança vers la porte mais s'arrêta et tourna la tête vers moi.

— j'allais oublier ! Vous devez vous préparer à rencontrer la reine ! Je vous envoie une servante tout de suite !

Et elle sortit pour de bon

L'enfant que j'étais était bien trop naïve, les paroles de Kimya auraient pu être mensongères.

Je m'étais assise sur le lit et ai commencé à chantonner la chanson que le chantai ma mère :
Doucement, doucement,
Doucement s'en va le jour , doucement, doucement, mon amour ....
*toc toc*

Une femme un peu plus vielle que Kimya rentra dans la pièce et me dit avec un visage impassible :

???: Mademoiselle, veuillez me suivre, nous allons vous préparer pour la visite chez la reine !
Elle s'est approchée d'une porte et l'a ouverte, je me suis levée, docile, et est passé ma tête par la porte, elle donnais sur une magnifique salle de bain. J'ai alors remarqué que sur la coiffeuse, était posé une robe blanche avec des froufrous bleus sur la jupe et un tour de taille de la même couleur.
La dame me poussa à l'intérieur de la salle de bain et fit couler l'eau chaude , quelques minutes plus tard , je me prélassais dans l'eau . Après 10 minutes , la dame me lava, non sans protestations de ma part, et m'habilla de cette belle robe. Alors qu'elle allait me coiffer, on toqua à la porte de la salle de bain , kimya entra et le déposa une tasse de thé et un fraisier sur la coiffeuse . A la vu de cette pâtisserie, je me rendis compte que j'avais une faim de loup ! Je me suis jeté sur elle et ai commencé à manger . Après m'avoir coiffé, la dame prit la parole :
— Au fait , je suis Eléonore, l'adjointe de l'intendante .
— d'accord !
Enfin prête, Eléonore me conduisit dans une antichambre richement décorée, au milieu de la pièce deux canapés étaient installés, sur l'un d'eux, un homme grand et droit était assis. A mon arrivée dans la pièce , il se leva et me salua :
— Bien le bonjour mademoiselle, je suis le comte phantomive, enchanté !

Ce n'était pas la Reine que je devais voir ?