HP et l'Ordre du Phoenix/!\ SUSPENDUE

Chapitre huit : Le mystère plane

Chapitre huit

Le mystère plane

Cela faisait maintenant trois jours que Ginny et les autres filles avaient disparu. Molly était incapable de se calmer, elle criait haut et fort à qui voulait entendre qu'elle se calmerait quand sa fille lui serait rendue.

Albus Dumbledore était sous le choc lui aussi, il avait l'impression de revivre un début d'année comme il y a trois ans, lorsque la Chambre des Secrets avait été ouverte.

Harry et Hermione étaient beaucoup avec Ron qui était aussi effondré que ses parents, Bill et Charlie qui était rentré avec sa femme, la fille de McGonagall. La nouvelle du mariage ne semblait enchanter personne. Ils avaient décidé de l'annoncer eux-mêmes à leurs parents respectifs. Neville, lui aussi, avait beaucoup de mal avec la disparition de sa Ginny, il passait beaucoup de temps à l'infirmerie.

Au bout d'une semaine, Harry rêva de Malefoy et de son père qui étaient au service de Voldemort. Il réveilla Hermione qui était blottie contre lui.

- Mione, c'est Malefoy, dit-il. Réfléchis, trois filles, une de chaque maisons sauf celle de Serpentard. Toutes de la racaille, d'après les termes de Malefoy. Rappelle toi ses paroles:« les Serpentard ne sont pas de la racaille.» Et Malefoy veut nous faire avaler qu'il est à l'hôpital ! Juste au moment où j'ai rêvé. En plus, ma cicatrice m'a fait mal et a saigné, regarde l'oreiller et ta nuisette, il y a des taches de sang.

- Tu as raison mon chéri, dit-elle, il faut tout de suite réveiller Molly et filer à l'infirmerie pour...

- Non, Mione, s'exclama Harry, on en parlera à Dumbledore tout à l'heure, si Arthur le sait, il va foncer là-bas et si Voldemort s'y trouve également, Arthur se fera tuer.

- Oui, dit Hermione, quelle heure est-il ?

- 5h30, répondit Harry, qu'est ce qu'on pourrait faire pour faire passer le temps ?

- Je ne sais pas, dit Hermione

- Moi je sais, dit Harry en l'embrassant voracement

Harry et Hermione s'embrassèrent, Harry lui retira sa nuisette, Hermione frémit sous les caresses du survivant, il prit tout un malin plaisir à lui retirer sa culotte, elle était à présent nue devant lui, dans la lumière du croisant de lune, il se mit en boxer s'approcha, et l'embrassa. Il l'observa, en lui murmurant :

- Tu es belle, et je t'aime

Il reprit de caresser son corps, en suivant la courbe des jambes, la caressa plus intimement, il l'allongea délicatement sur le lit, mais, Hermione se dit qu'il avait assez eu le dessus, et se mit sur lui, elle étouffa un cri dans plaisir dans son cou. Ils firent une nouvelle fois l'amour passionnément dans l'aube grandissante.

Il était 7h00 lorsque les deux tourtereaux se rendirent à la grande salle main dans la main. Tous les Weasley dormaient encore.

- Regarde Mione, s'exclama Harry, il neige.

En effet, la neige de décembre était tombée durant la nuit et tout le parc ainsi que le château était sous la neige.

Ils trouvèrent 3 élèves dans la grande salle ainsi que Dumbledore qui discutait avec Rogue, qui était présent ce jour là.

- Euh... Professeur Dumbledore, demanda Harry, pouvons-nous vous parler en privé s'il vous plait ?

- Bien sûr, dit-il, Severus on reprendra cette discussion forte intéressante plus tard. Suivez-moi les enfants.

Harry et Hermione le suivirent dans la petite salle où les champions du Tournoi des trois sorciers s'étaient réunis après que la Coupe de Feu les ai désignés.

- De quoi vouliez-vous me parler tous les deux ? demanda Dumbledore.

- J'ai fait un drôle de rêve cette nuit, et ma cicatrice s'est mise à saigner et m'a fait mal.

- Ce n'est pas la première fois ? dit Dumbledore

- Non, répondit Harry, mais j'ai rêvé de la famille Malefoy. Malefoy père et fils détenaient Ginny et les autres. Ce qui n'est pas un hasard car Malefoy a dit à plusieurs reprises que tous les élèves de Poudlard étaient des racailles sauf les Serpentard et qu'aucune fille de cette maison n'a disparu. De plus, lorsque ma cicatrice me fait mal, c'est quand Voldemort fait quelque chose de mal et Drago aurait du revenir depuis longtemps.

- Tu as raison, dit Dumbledore n'en parlez à personne, je m'en occupe. Allez prendre votre petit déjeuner.

- D'accord, répondirent le couple.

Ils allèrent prendre leur petit déjeuner avec leurs collègues de Gryffondor.