paparazzi

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Britt est repartie, elle semblait vraiment très énervée, mais bon perso ça m'est égal. Dylan me regarde en souriant, passe sa main derrière ma nuque et m'embrasse. Au milieu du hall de l'hôtel. Tout le monde peut nous voir, mais il a vraiment l'air de n'en avoir rien à faire. Moi je suis un peu gênée mais j'essaie de ne pas y faire attention. Rapidement j'entends le bruit de flash qui ce fait entendre près de nous. Je recule rapidement et vois un photographe caché derrière un fauteuil. Enfin il n'est pas si bien caché que ça.

Dylan : Ça te pose un problème que tout le monde sache pour nous ?

Ali : Non, non mais c'est étrange pour moi. Je ne comprends rien à ce qu'il se passe.

Dylan : J'ai envie d'être avec toi, c'est aussi simple que ça. Vient-on remonte dans la chambre, je vais t'expliquer tout ça.

On remonte donc tranquillement dans la chambre, et Dylan me fait asseoir sur le canapé, avant de s'asseoir à côté de moi. Il prend mes mains dans les siennes, et se lance.

Dylan : Hier soir quand tu m'as dit que tu voulais partir, j'ai pris conscience que si tu partais je serais anéanti. Tout le long de la route, tu ne me parlais pas, et je n'arrêtais pas de me dire que j'avais besoin de toi, que je te voulais avec moi pour encore longtemps. Je n'ai pas vraiment eu le temps de t'en parler après parce qu'on a fait l'amour et qu'on a dormi, mais quand j'ai commencé à te provoquer comme ça sous la douche, c'est parce que je voulais te rendre folle au point où tu aurais tellement envie de moi que tu comprendrais ce que je ressens pour toi. Je sais c'était bête comme idée, mais dis-moi tu as ressenti quoi s'il te plaît.

Ali : J'avais l'impression d'être ta poupée de chiffon, que tu pouvais faire exactement ce que tu voulais de moi sans que je puisse m'y opposer. J'ai ressenti que tu me connaissais par cœur, bien que nous ne sommes ensemble que depuis la veille. C'était comme si tu savais exactement comment me faire craquer.

Dylan : Et quand je t'ai demandé si tu voulais que je m'arrête ?

Ali : Les phrases que tu m'as fait prononcer juste avant m'ont fait sentir dominer, et j'ai adoré ça. Quand tu m'as posé la question j'ai eu l'impression que tu voulais me torturer. Tu m'avais tellement donné envie de toi qu'imaginer que tu pourrais partir en me laissant comme ça m'a donné envie de te supplier de continuer.

Dylan : C'est exactement ça, quand tu m'as dit que tu partais j'ai eu envie de te supplier de rester, parce que quand tu es là juste à côté de moi, tu me donnes tellement envie d'être avec toi que j'arrive plus à rien.

Ali : Et ce que tu as dit à Britt tout à l'heure c'était vrai ?

Dylan : Je pensais chaque mot de ce que je lui ai dit.

Ali : Mais tu ne me connais que depuis une semaine.

Dylan : J'ai bien conscience que c'est vraiment rapide, mais je n'y peux rien. C'est exactement comme toi, je n'ai rien contrôlé.

Ali : Alors on fait quoi maintenant ?

Dylan : Je sais que tu ne veux pas partir avec moi, et je comprends, mais je te propose de profiter à fond de ces deux mois restant. Et je ne veux pas qu'on se cache, si tu es d'accord je veux dire au monde entier que je suis avec toi.

Ali : C'est ma sœur qui va encore faire la tronche.

Dylan : Ça veut dire que toi et moi on est un couple ?

Ali : Ça veut dire que je t'aime Dylan O'brien.

Dylan : Et je t'aime aussi Alison.

Le rêve de ma vie (terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant