DONC TU MOUGOU ? [BxB]

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Yo ! On dit quoi ?!

Bienvenue, dans ce nouveau chapitre de "DONC TU MOUGOU ?". J'aimerais au passage, vous remercier pour vos votes et vos messages. On n'est encore qu'une très petite communauté qui, je l'espère, s'agrandira au fur et à mesure mais sachez que vos gestes me touchent vraiment. Merci, merci, merci !

Bon, je m'arrête là ! Je vais à présent laisser la parole à notre cher Marco car ce qui arrive là, c'est du looouuurd 🍋🍆🍑 !!!!

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-Attends ?! Donc si je comprends bien, tu as donné un surnom à ton pénis, m'étonnai-je !

-Ouais, ça fait quoi ?!

-Tu es décidément le gars le plus bizarre que je connaisse !

-Tu parles un peu trop là ! Je ne t'ai pas envoyé ici pour ça.

Il me saisit aussitôt l'avant-bras et m'attira vers lui. Puis, il me regarda droit dans les yeux. Je le regardai aussi de la même façon. C'était extrêmement hot. Je pouvais lire dans ses yeux qu'il me désirait d'une façon ardente. Je mourrais d'envie de joindre mes lèvres aux siennes mais j'attendais qu'il fasse le premier pas. Je ne voulais pas qu'il m'accuse, encore une fois, de l'avoir embrassé. Kader ne se fit pas prier. On dirait qu'il avait lu dans mes yeux que je voulais qu'il me galoche. C'est ainsi qu'il joignit ses levres aux miennes. Il m'embrassa d'une façon étonnamment douce. Il ne me brusquait aucunement et je pus sentir la douceur de ses lèvres charnues. Ce baiser était mille fois plus fort que le premier. Ses mains qui étaient autour de mon cou descendirent dans mon dos. Elles carressèrent mon dos pour ensuite se retrouver sur mes fesses. C'était tellement agréable ! Il fit descendre mon pantalon puis inséra ses mains dans mon chocoto (caleçon) pour mieux palper mon popotin. Je pouvais à présent sentir ses mains chaleureuses sur mon fessier. Et comme si cela n'était pas assez excitant, il fit passer son majeur dans ma raie pour que celle-ci puisse caresser mon trou. Il le faisait si bien. Comme s'il avait fait ça toute sa vie. Je ne pus m'empêcher de lâcher un léger gémissement.

-Huh, criai-je. Vas-y continue !

Pendant qu'il faisait cela, ma bouche s'attardait sur son cou. Je l'ai couvert de doux baisers. Je déboutonnai par la suite sa chemise. Il portait encore la chemise kaki de notre uniforme scolaire. Ah ! Sacré Kader !

Après la phase des baisers, il me conduisit dans sa chambre. C'était une grande pièce. Apparemment, elle devait être à lui seul. En effet, Kader a trois soeurs : Astou, celle qui nous avait interrompu lors de notre premier baiser, Sanata qui vit en France et Khady qui s'est mariée récemment. Ne voyant aucune affaire féminine dans la pièce, j'en déduisis que Kader dormait ici seul. Sa chambre était très mal rangée et puait les chaussettes, par ailleurs. Je ne voyais vraiment pas Astou que je sais si distinguée dormir dans une telle porcherie.

Dans la chambre, je m'attaquai à son pénis. Il n'était pas long mais large. Je m'attendais à ce qu'il pue le sexe mais il ne dégageait pas d'odeurs particulières. Kader serait donc passé sous la douche ?! J'en étais surpris.

Je n'avais jamais sucé de queue mais je me suis donné à 200%. J'essayai de faire comme les acteurs X mais c'était totalement différent. Quand on regarde de la pornographie, ça semble facile mais en vrai, c'est dur. Très dur. Kader semblait néanmoins apprécier. Je la prenais jusqu'au fond de ma gorge, j'enroulais ma langue autour, j'insistais sur son prépuce. C'est surtout le dernier qui le fit gémir comme un dingue.

-Ouhhhhhh ! Aaaah ! Mmmh ! Tu suces divinement bien. Continues comme ça, ma pute d'amour.

Mon esprit a buggé direct. J'étais choqué ! Il m'a appelé sa pute mais y a ajouté "d'amour" comme si il voulait atténuer le caractère salace de ce terme. C'était si romantique ! Ce Kader là était totalement différent. On aurait dit que je faisais l'amour avec une personne différente. Toutefois, je me remis vite les idées en place car je ne voulais pas qu'on développe ce genre de liens. Kader est avant tout ce gars qui m'a pourri mon enfance, ce gars qui a bastonné un individu parce qu'il était homosexuel. Il est très beau de l'extérieur, certes. Mais, à l'intérieur, c'était le diable réincarné. Je ne devais pas AIMER ce genre de mec.