Tome 2: une sœur disparue

Chapitre 5: Un petit accident

Les cours avaient commencé, le premier cours que nous avions eu était la botanique. Nous avions du rempoter des jeunes mandragores. Je me posais juste une question, pourquoi mettre des caches oreilles. Je les ai enlevés et rien ne m'était arrivé. Le professeur Chourave était choquée que rien ne me soit arrivée. Aujourd'hui, mes amis et moi allons voir Hagrid et Noiro. Quand j'arrive près de sa cabane, Noiro est en train de manger. Je lui dis:

« Tu vas bien mon beau.»
« Super cheffe, je suis content d'être ici.»

Mes amis sont bouches bée, ils m'amusent. Hagrid nous invite à l'intérieur, il nous prépare du thé et des gâteaux. Je chuchote à Luke, Maryem, Kuta et Méraud de ne pas manger les biscuits car ils sont durs comme la pierre. Hagrid nous demande si tout se passe bien, Maryem et Luke raconte l'épisode mandragore. Il me demande si j'ai vraiment fait ça, je lui réponds que oui. Quand nous sortons, Harry et Hermione arrivent avec un Ron Weasley pas très bien. Harry dit:

« Hagrid, aides nous. Un sort de Ron s'est retourné contre lui.»
« Il crache des limaces maintenant.» dit Hermione
« Rentrez vite. Nina, tu crois que tu peux l'aider.» dit Hagrid
« Je pense.»

J'essaie de trouver un remède dans mes livres. Hagrid demande ce qui s'est passé. Harry lui explique qu'ils ont rencontré Drago et qu'il a traité Hermione de sang de bourbe. Mes amis et Hagrid sont choqués et je demande:

« C'est quoi une sang de bourbe?»
« C'est une née moldue comme Hermione mais c'est plutôt insultant. Ce n'est pas digne dans sang pur de proverer des choses pareilles» me répond Luke
« Luke tu es différent des autres sang pur. Tes parents t'ont appris la tolérance.» s'exclame Maryem
« Quoi! Geba iune fydanu prolumenta !» dis-je
« Tu as dit quoi ?» demande Meraud
« Traduction: c'est une personne horrible.»
« Ah d'accord.»
« Désolée, quand je suis en colère, je parle dénelien.»
« Ce n'est pas grave, merci Nina» dit Hermione
« Tu ne dois pas le croire, tu es une personne intelligente et gentille. Attends, tu sais faire des sorts que lui ne sait pas faire. Comme on le dit chez moi, tu es une yuniva melendeta tau cemolinu, ce qui signifie, une fille incroyable et merveilleuse. Tu sais chez moi, on vénère une femme du nom de créatrice, elle a sauvé le roi déchu et le peuple de Nacsios, une ancienne île. Elle a donné une maison à mon peuple. Je porte son nom et je crois qu'elle t'aurait apprécier car tu es quelqu'un de sage comme elle .»
« Merci beaucoup.»

Luke dit que nous devrons amener Ron à l'infirmerie. Nous sortons de la cabane et Hermione dit:

« Hagrid, je ne savais pas que tu avais un pégase.»
« Ce n'est pas le mien, c'est celui de Nina.»
« Tu as un pégase, je peux le caresser.»

Je lui fais un signe de tête pour lui dire oui, elle s'approche de Noiro. Soudain, Noiro commence à s'énerver, Hermione tombe en arrière et Noiro est prêt à lui donner un coup de sabot. J'ai juste le temps de me mettre entre eux deux. Je dis:

« Calmes toi, c'est moi. Peno late, henu milou, man veranif eba tanotre (ça va, calmes toi, le danger est passé).»

Je pose ma tête sur la sien, il se calme. Je dis:

« C'est bon, c'est fini.»
« Désolé cheffe, je ne sais pas ce qui m'a pris.»
« Ce n'est pas, ce n'est pas ta faute, j'aurais dû venir avec Hermione.»

Je prends la main d'Hermione et la pose sur la tête de Noiro. Il l'accepte et Hermione le caresse doucement et sûrement. Au moment où on part, je remarque une petite fléchette à côté de Noiro. Je la ramasse et regarde en direction de la forêt mais je ne vois rien. Est ce que ce serait la raison pourquoi Noiro c'est énervé ? Nous amenons Ron à l'infirmerie et madame Pomfresh nous dit de sortir mais j'ai juste le temps d'apercevoir un homme que je connais bien. Je souris, il est vraiment là pour me protéger et pour me soigner. Nous sortons de l'infirmerie, Luke leur explique que tout ira bien. Harry et Hermione vont dans leur maison. Nous, nous allons à la bibliothèque pour faire nos devoirs. Mais dans la forêt, une fille sourit de façon inquiétante et murmure :

« Je t'ai trouvé ma chère Nina. Ton heure a sonné.»