PRÉFÉRENCE → marvel

Tu es sa fille

Vous n'êtes évidemment jamais sortit ensemble. Vos parents sont les couples respectifs du MCU (Thor, Erik, Loki, Bucky et Shuri a inventer ou prennez vos parents). Aussi, si vous êtes sensible ou si vous avez vécu quelque chose de traumatisant ne lisez pas la partie de Steve, je ne voudrais pas que vous sentiez mal après à voir lu cette partie.

Tony Stark

── [Y/N] chérie où es-tu? t'appela ton père depuis près de trente minutes.

Vous jouiez à cache-cache et pour cela tu avais dû trouver la cachette idéale, là où ton père ne penserait même pas à te chercher, dans son laboratoire. Bien sûr ce n'était pas que tu avais interdiction d'y aller mais il ne voyait pas l'intérêt pour toi de t'y rendre alors c'était un avantage à cette partie de cache-cache.

Tu gloussas doucement car tu aimais faire tourner Tony en bourrique. Quand Pepper n'était pas là vous faisiez tout ce que tu voulais et Tony le faisait avec toi, qui aurait cru qu'il serait un adorable papa poule avec sa fille.

D'un coup la lumière du laboratoire s'alluma et tu entendis ton père :

── Sort de ta cachette petite souris, sinon je vais te manger.

Il rit fortement car il savait aussi que tu trouvais son rire communiquatif et donc que tu riais tout le temps quand lui le faisait d'abord mais cette fois-ci tu tins bon en couvrant ta bouche de ta main. Alors que tu faisais tout pour éviter d'exploser de rire tu n'entendis plus aucun bruit, alors décidant d'attendre encore un peu, et en croyant que Tony étais partit tu ris laissant échapper ce que tu voulais faire sortir depuis que ton père était entré dans la pièce. Seulement celui-ci apparu devant toi un grand sourire aux lèvres victorieux. Tu sursautas avant de te jeter sur lui pour lui faire des chatouilles.

── T'avais pas le droit de me faire croire que t'étais plus là! ronchona-tu en riant.

── Je ne l'ai pas fait, répondit-il entre deux rires. Il te prit dans les bras après s'être relevé et se dirigea dans le salon. Il te regarda et te demanda :

── Tu veux faire quoi maintenant?

── On peut aller manger des glaces s'il te plaît? repondis-tu en faisant la moue sachant que ton père ne pouvair résister à une bouille aussi mignonne. Il secoua la tête en souriant.

── Un jour tu me demanderas de décrocher la lune pour toi et j'irai le faire.

Il te posa au sol partit chercher ta petite veste, il te laissa essayer de la mettre seule mais t'ayant un peu emmêlé il vint te donner un coup de main. D'ailleurs il te prit la tienne et vous sortîtes de votre grande maison direction le marchant de glace. Tu avais demandé une glace au chocolat car tu adorais ça et Tony se demandait de qui tu tenais ça et bien évidemment la réponse c'était que tu tenais ce goût de lui. Quand vous fûtes rentrés à la maison toi et ton père regardâtes un film dans le salon devant lequel tu t'endormis, la journée t'ayant épuisée. Vers dix-neuf heures Pepper rentra chez vous. Tu étais toujours endormis et Tony tentait tant bien que mal de faire le dîner. La femme d'affaire vint dire bonsoir à son mari en l'embrassant.

── Comme c'était la journée avec [Y/N] ? demanda-t-elle en rangeant ses affaires.

── Comme tu peux le voir, il te pointa du doigt sur le canapé, une super journée rondement menée.

Pepper esquissa un grand sourire avant de venir enlacer Tony.

── Tu es vraiment le meilleur papa et mari du monde.

── Je sais.

Steve Rogers

Depuis ton entrée au lycée tu avais completement changée. Tu t'étais entourée de personne qui généralement t'aurait insupporté mais étant sans tes amis du collège dans ton lycée tu avais cherché à trainer avec les élevé les plus cool du lycée pour essayer de s'intégrer plus vite. Bien sûr tu avais maintenu tes notes en debut d'année ne voulant absolument pas décevoir tes parents mais plus l'année avancée et plus tes résultats avaient chuté et pour cause tu n'avais plus le temps ni la force de réviser avec toutes les fêtes que tu enchaînais. Tes parents étaient inquiets car tu t'étais aussi éloignée d'eux petit à petit et quand vous vous adressiez la parole c'était pour qu'ils te privent de sorties. Néanmoins ces interdictions et ses punitions ne te faisaient plus rien car tu n'avais pas de mal à les contourner. Il y avait aussi autre chose qui turlupinait tes paternels, tu ne parlais plus avec tes amis du collège, tu ne les voyais plus et à ce qu'ils pouvait voir cela ne te dérangeait pas plus que ça.