A child's promise

Chapitre 1

Le bruit de l'eau. C'est la première chose, que j'ai entendu à mon réveil.

Alors que je me rappelle lentement de l'altercation à Logue Town, ma respiration se coupa.

Mon réflexe premier était d'apporter mes mains au niveau de ma bouche. Mais je ne réussis à faire aucuns mouvements, comme paralysée. Avec du mal, j'ouvre mes yeux, essayant de savoir où je me situe, rien. La noirceur complète, l'inquiétude et la panique se fit dans mon esprit.

J'entends la pression de l'eau, cognée contre mes tympans. Je ne me souviens pas de combien de minutes ou d'heures, je ne pus respirer. Mais pourtant, j'étais consciente.

Peu à peu, ma vision sous l'eau s'améliora, je remarque lentement qu'un grand câble de mes lèvres à l'intérieur de ma gorge était installé. Au niveau son, je compris que c'était de l'eau, quand j'aperçu mon visage sur la paroi en verre du caisson où je me situe.

Lentement, une voix douce d'une femme, me viens à l'oreille malgré le bruit de l'eau.

- Salutation, expérience 380. Bon réveil. Ne vous inquiétez pas, vous n'avez rien à craindre de nous. Nous allons vous libérez dans un instant.

Pendant que cette phrase commence à tourner, en boucle dans mes oreilles. Remarquant que c'était un enregistrement audio, le débit de l'eau, de couleur rouge se vida. Laissant place à un bruit très aigu d'une machine, qui me viens en tête.

Quand mon dos toucha une des parois en verre, du caisson, mon corps était toujours immobile. Je ne pus qu'admirer, les parois en verre qui se situe autour de moi.

La froideur contre ma peau était, particulière. Je pense que c'était mon corps qui se réveil mélanger par mes émotions. L'enregistrement audio, par contre, s'est arrêté.

Des bruits de pas, de talons hauts, arrivèrent vers ma direction. Ne voyant pas dehors, et ne pouvant bouger la tête, je ne reconnus pas la personne qui viens, de se présenter.

- Bonjour ! Expérience 380, comment allez-vous ? Dit le même timbre de voix que celui de l'enregistrement. Votre tissu musculaire est excellent.

Est-ce-que cette personne est conne ? J'ai un câble dans la gorge, je ne pense pas que je puisse répondre. Comme si, cette personne avait entendu ma pensée, elle rit.

- Aha, mince ! J'avais oublié, pour votre câble d'alimentation. J'espère, que votre organisme est encore opérationnel ? Cela serait dommage, d'abimer une si belle expérience génétique tel que vous.

Elle marqua une pause, pour rire de nouveau. Un rire, froid et inhumain, de folie, le rire d'une folle était sorti de sa bouche.

Combien d'années sont passées ?

Où suis-je tombée ?

Et surtout, où est Smoker... !?!?!

- Hum, alors, quatorze années ! Vous êtes dans une des bases des plus importante de la marine. Le jeune homme qui était tomber avec vous, suite à votre rencontre avec ce pirate ? Nous lui avons fait oublier votre exitance. Aha, oui, j'arrive à lire vos pensées, expérience 380.

Suite à ces mots, j'ouvris les yeux en grands. Sans comprendre, le miracle, je me suis mis debout en un instant. J'attrape fermement le câble dans le fond de ma gorge, et tira.

Tirant jusqu'à que ce câble, soit sorti de ma bouche, laissant un filet de sang, dessus. Le lâchant, il fit un bruit sourd contre les parois. Me désorientant un peu, niveau cristaux des tympans. Ma respiration se fit, ressemblance, à celle d'une bête. Du sang coulèrent de mon nez, de mes oreilles et de ma bouche.

Le rire de la femme continua. Je serais les poings, où mes ongles rentrèrent dans mes paumes, je me regardai dans mon reflet. Le pire, c'est qu'ils m'ont pris... mon pendentif. La seule chose que je tiens sur ce monde.

Je me regardai longuement dans mon reflet. Jusqu'à commençait à le frapper, hurlant d'énervement. De mes poings, pieds, genoux, coudes, crâne, je ne pus m'arrêtée.

Enfin, si. Quand je donnai un dernier coup de crâne, contre la paroi. Je réussi à m'évanouir, sous le choc.

- Oh, mince. Carol, t'es là, ou tu fini les cookies ? Dit la femme, qui se stoppa de rire doucement.

- Oui, il en reste Elia. J'ai vu la scène sur les caméras de surveillance, je la prends en charge.