A child's promise

Chapitre 14

Il devait être vers les alentours de midi, il faisait chaud et les habitations en briques rouge n'aidant pas à stabiliser le temps du village, je suer beaucoup. En avançant, je remarquai qu'il n'avait que des femmes et des fillettes. 

De logique de raisonnement, l'hypothèse que les hommes et garçons de l'île travaillant dans la base scientifique, me semble tout à fait faisable. Les habitantes rester en retrait quand elles m'aperçu. Beaucoup d'entre-elles, avait des blessures assez importante sur le corps.

- Aaah... ça dois être sûrement à cause du sang que j'ai sur moi ? Pense-je me regardant. Bonjour, pardonnez-moi de vous déranger. Mais est-ce-que vous auriez une barque à me passer, s'il vous plaît ? Parlant de voix assez forte.

- P-Partez ! Nous vous avons déjà payé ce mois-ci... ! Réponds une femme tenant dans ces bras une fillette maigrichonne.

- Payé ? C'est quoi cette histoire encore ? Pense-je en fronçant les sourcils. J'ai vu au loin un laboratoire, sur son toit y flotte des drapeaux de la marine. Aucuns bâtiments de guerre n'est venu pour vous venir en aide ? Vous m'avez l'air blessé... ! Avançant vers sa maison.

- N-N'approchez pas ! Hurla-elle.

Sous la surprise, je ne bougeai plus levant les mains montrant signe de neutralité. En regardant plus attentivement la femme, je remarquai qu'elle avait des marques de lacération violette autour de son cou. La fillette avait les mêmes marques, sauf avec le numéro 700 implanté dans sa chair. La femme, elle, avait le numéro 32.

- Q-Qu'est-ce-que... des cobayes ? Déglutie-je.

- Partez ! Je vous en supplie... partez !! Sanglota-elle d'un seul coup, serrant la petite contre elle.

Je regardai autour de moi, les habitantes avaient les mêmes marques, sauf à différents endroits du corps. Je continué d'avancer dans le village, pour qu'en début d'après-midi... j'avais vite compris la situation.

 Adosser contre une caisse en bois anciennement rempli de fruits, manger par moi-même. Je me situai dans la partie du port de l'île. Il y avait bien la de nombreuses vivres, de merveilleux poissons, de très beau stands. Mais personnes ne vendait rien, toutes les villageoises étaient chez eux ou bien devant leurs habitats.

 - Encore quelqu'un qui a eu la folie des grandeurs... Tsk le pire c'est que la marine laisse faire. Soupire-je, bras croisés regardant le ciel bleuté. Des personnes qui ne peuvent pas se défendre, il me faudrait une arme pour faire renverser la vapeur... seulement je ne suis plus soldat... tant pis ! Grimace-je, m'énervant silencieusement.

Me redressant sur mes deux jambes, je partie fouiller le port dans ces moindres recoins. Je fini par trouvai près de la plage, une vieille cabane en bois, assez détruite avec le temps. Elle donna l'impression qu'elle pouvait s'effondré au moindre coup de vent trop puissant. Au sol ont pouvait lire sur des lettres en fer rouillés ''êch... à gog...''

- Peut-être dans cette boutique... ? Me demande-je à voix basse.

- Psst ! Hé toi ! Demanda une voix.

- Hum ? Regardant autour de moi, me pointant du doigt.

- Psssst, oui toi !! Tu ne me vois pas ?

J'entendis un bruit. Je me tournai la tête pour voir... un chat bleu à l'intérieur de la cabane. Derrière une fenêtre en verre casser, il était la. Donc oui, je parle aux animaux.

- Un... chat qui parle ? Dis-je la mâchoire jusqu'à sol.

- Ouais j'ai mangé un fruit du démon ! Je m'appelle Happy ! Et toi ? Une humaine h-h-hun ! Se léchant la patte.

- Que... Que puis-je pour toi ? Je suis Lucky, en... chantée ? Avançant jusqu'à la fenêtre.

- Libère-moi d'ici ! Mon maitre m'a enfermé, il a de ça une semaine maintenant après d'être parti faire une balade h-h-hun !

- Une semaine ?! Cris-je presque. Oui, bien sûr attends !

- Merci Lucky h-h-hun !! Sourie-il.

Je recule regardant la devanture de la cabane. La porte sembla très abimée avec la fondation. Par crainte que la bâtisse s'écroule, je demandai à Happy de se mettre à l'abri. Une fois qu'il m'a prévenu qu'il fut en sécurité ; je tirai d'un coup sec sur la poigné. Elle me resta dans la main.

- Bon ça vient oui ? J'ai faim, moi ! En plus il a de succulents poissons à l'extérieur h-h-hun !

- Oui oui, un instant... Soupire-je.

Je donnai un coup de pied dans la porte, qui celle-ci s'éclata en morceau suivi de près de la maison entière. Je déglutie regardant mon pied droit griffues. Avant de me souvenir que Happy était dedans.

- Oh merde... Happy ?! T'es vivant hein ? Grimace-je allant dans les décombres, fouillant.

En fouillant je finis par le trouver. Sa queue dépasser je les sortie des ruines, en le tirant par la queue. Il cria car je le tenais toujours par sa queue. Je le tournais pour voir s'il n'avait rien. Je finis par soupirer le relâchant au sol, voyant qu'il était encore en vie.

- Aie ! Tes trop méchante, t'aurai pu me reposer doucement ! Grogne-il, les dents en pointes.

- Aaaah, ah oui. Tu n'as pas dit h-h-hun, c'est normal ? Dis-je bêtement.

- J'aurai une bosse à la tête moiiii... tes méchante Lucky !! H-H-Hun... Pleurant.

- Ouais. Baille-je, m'assoient au sol. Désolé pour ta maison, elle était importante pour toi ? Grimace-je la pointant du doigt.

- Quoi ? Tournant la tête vers les ruines. Olalalalalala, l-la boutique de mon maître h-h-hun !! Se tenant les joues, se tenant sur ces pattes arrière.

- Pardonne-moi, je te promets quand ton maître rentrera à la maison, je vous aiderai à en reconstruire une. Dis-je d'une voix coupable.

- Tu as intérêt Lucky... sa boutique c'est tout pour lui... Pleurant en miaulent. Justement il est où ? Tu la vu, il a les cheveux et les yeux marrons foncés !

- Et bien non pas pour l'moment. Tu sais, je pense qu'en une semaine ton village à changé. Me pinçant les lèvres, le regardant.

Il me demanda plus d'informations, et là, je lui ai tout raconté...