Quelques heures plus tard. Dans une pièce blanche, où des matelas sont accrochés aux murs.
J'ouvre les yeux lentement, voyant lentement moins flou. J'aperçue au sol, une gamelle pour chien écrit dessus : Expérience 380.
- Ils se fichent de moi ? Pense je en me redresse lentement, me mettant assise.
Pour les minutes qui allaient suivre, je connue la personne, qui aller me donner une porte d'avenir.
Une fois redresser sur mes fesses, je regardai la pièce. Des matelas blancs accrochés aux murs, et au plafond. Une caméra de surveillance accrocher à chaque mur de la pièce. Et une lampe accrochée au plafond, qui clignote, servant d'éclairage pour la pièce. Il n'a que ça.
- Aucunes portes. Chuchote-je à moi-même, en regardant un peu mieux la pièce.
Je vu un des matelas du mur d'en face, assez endommagé. Pensive de croire, que c'était trop bien facile, mais que c'était ma seule sortie. Je me rendis jusqu'au matelas, rampante ne sentant plus mes jambes. Mais j'avais encore mes mains et mes bras de valide.
- Bien. Dis-je d'une voix sèche, en regardant mes mains. Si c'est une mise à l'épreuve, regardez-moi ! En redressant la tête, déterminée à me libérer.
Attrapant ce matelas, je le tirai vers moi, maladroitement jusqu'à réussir à enlever des morceaux. Je dégageai le reste du matelas au sol, avec des mouvements lents et assez douloureux pour mes articulations. Pour voir un long conduit de climatisation, assez large. Sans me poser de questions, je m'appuie avec mes paumes pour rentrer dedans, et commence à ramper à l'intérieur.
A un moment, je me souviens, j'aperçue la fin du conduit. Une grille en fer, la tirant vers moi elle fit plus lourde que je le pensai, mes doigts la lâchèrent. Faisant un bruit monstre au sol d'en bas, je me penche en avant pour voir des soldats arrivés. Prise d'un vertige je tombé tête la première au sol.
Allez, bouge mon corps... Me murmure je en essayant de me redresser, sans résultats.
Tremblante, j'entends des bruits de pas venir jusqu'à moi. Un silence régner, je réussi tout même à redresser mon regard vers leurs pieds ; remarquant qu'il avait quatre pieds. Quand une voix grave parla.
- Jeune fille. Qui êtes-vous ?
- ... Je... Arrah... Lâchant un gémissement de douleurs, me venant du fond de mon ventre.
- Calmez-vous, tout ira bien. Dit la personne d'une voix rassurante. Regardez-moi, je suis certain que vous le pouvez.
Grimaçante, je finis par redresser mon regard vers ce marine, un soldat très âgé, mais avec une stature très musclé. Lâchant une respiration lente, je lui sourie voyant enfin son visage.
- Où avez-vous mal ?
- Physiquement ou bien, psychologiquement ? Demande je avec une voix sèche.
- Voulez-vous boire ? Posant un lourd sac sur le sol, l'ouvrant cherchant à l'intérieur. Tenez, buvait. Je vais vous aider.
Il posa une main sur mon menton, l'autre sur l'arrière de mon crâne. Il m'aida à boire, le temps que je tienne la gourde et que j'avale le breuvage. Le liquide me fit un bien fou à ma gorge.
- Voilà, expliquez-moi maintenant. Que fait une gamine tel que vous dans une base de la marine ? Demande il très sérieux.
- Je ne sais pas, monsieur. Je vous le promets... Toussant le regardant dans les yeux, d'un regard sans peur.
Il me regarda longuement, avant d'enlever son manteau ressemblant à une cape, de couleur blanche. Me voyant faiblir, ne sachant pour quoi ce soldat me porta dans ses bras. Ramenant les plis de son manteau sur mon corps, me couvrant.
- Que faite vous ? Questionna un soldat derrière lui.
- Recrue, occupez-vous de votre fessier. Parlant froidement, se redressant avec moi dans les bras.
- B-Bien.
Suite à cela ce soldat avança dans de nombreux couloirs d'un pas très rapide. Il sort dehors sentant l'air froid me fouettai le visage. Réalisant qu'il faisait nuit, ses bruits de pas rapide, résonnèrent dans les différentes ruelles qu'il traverse.
Il arriva dans une forêt, puis devant une maison très éloigner de cette base marine. Il entra, refermant la porte d'un coup de pied. Il me déposa délicatement sur un lit de fortune, avant de reculer.
- ... Merci. Dis-je le seul mot, qui sorti de ma bouche.
- Je vous en prie. Dormez un peu, à votre réveil nous parlerons de votre situation.
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A child's promise
FanfictionUn soir de tempête, deux enfants se fis une promesse. Celle de s'aimer. Celle-ci fu dans leurs têtes pendant de longues années. Celle-ci les a courus à leurs pertes. Pourtant, aurons ils une fin joyeuse ? Ce livre est un Smoker X Oc.