Saint Petersbourg, 17 juillet 1918
Point de vue Anastasia.
-Les enfants debout. Préparez vous. Nous réveilla, notre père.
-Mais il fait encore tout noir. Gemis-je.
-Je sais ma petite fée. Dit il en m'embrassant sur le front. Allez debout.
Je grognai un peu et fis ce qu'on me dit. Je mis sous mes vêtements le corset incrusté de pierre précieuse mis un tailleur. Une fois prête je parti rejoindre ma famille. Ils étaient tous groupés dans le sombre couloir de la maison où des garde nous avez enfermé sois disant pour notre sécurité. Mais je me méfier surtout depuis l'excution de mon gentil garde. Tout ça, car il m'avait été fidèle, paix à son âme. En y pensant une larme solitaire coula sur ma joue. Je la chassai d'un revers de main et Demanda :
-Mère où on allons nous ?
-On nous déplace dans un endroit sûr. Un camion va nous emmène loin d'ici d'y joyeusement ma mère.
Son sourire était si joyeux et remplis d'espoir qu'il en était contagieux.
-Suivez moi. Ordonna d'un ton froid le chef de la garde.
Il nous fit descendre au sous sol. Il n'y avait aucune fenêtre aucune issue de secours. Je ne sais pas pourquoi, a cet instant, j'eu un très mauvais pressentiment.
-C'est ici qu'on attend notre camion ? Demanda mon père le tsar Nicolas II-Oui. Répondit le chef rouge.
-Alors pouvons-nous avoir une chaise pour le petit et ma femme s'il vous plaît.
-Qu'on lui apporte deux chaises. Dit ce dernier à ses subalternes.
Et quelques minutes plus tard les deux chaises étaient au milieu de la salle non meublé. Ma mère la tsarine Alexandra s'assis sur la chaise de droit. Et mon petit frère Alexis qui était souffrant à cause de l'hémophilie sur l'autre. Mon père se tenait à ses côtés sur ça droit. Et nous quatre Olga Tatiana Maria et moi-même étions derrière eux. Vu d'en face on aurait pu croire à un portrait de famille.
1 h 15, on entendit le camion s'arrêter. Mon père nous sourit. Le chef de la garde entra, suivi d'une dizaine de soldats armées de leur baïonnette et il dit :
-Nikolaï Aleksandrovitch Romanova, Alexandra Fedorovna Romanova, Alexis Nikolaïevitch Romanova, Olga Nikolaïevna Romanova, Tatiana Nikolaïevna Romanova, Maria Nikolaïevna Romanova et Anastasia Nikolaïevna Romanova, vous êtes condamné à mort. La sentence est immédiate.
-Quoi, mais enfin.. Commença mon père avant de se faire tirer dessus 4 fois.
On hurla d'effroi en voyant ça, notre père se retourna vers nous et reçu de nouveau 4 balle dans le dos, il tomba au sol, mort.
Et au moment où son corps toucha le sol, ce fut le feu vert pour la garde. Ils tirèrent en premier sur ma mère et mon frère. Puis sur nous. On réussi a esquiver quelques balles. Certaines ricochèrent sur notre bustier grâce au diamant et autres pierres précieuses que nous avions cousue dessous.
Je vis mes sœurs tomber une à une. Je me mis dans l'angle du mur. Et je vis le chef s'avancer lentement vers moi.Pendant qu'il avançait, je répétai a voix basse la prière des morts.
Pourquoi mon Dieu? Du fond de l'abîme nous vous appelons. Oh mon dieu qu'il est dure de quitter ce monde. J'allais mourir ainsi dans une cave moisi, sans avoir vu une dernière fois la lumière du jour, abattus comme un vulgaire gibier. À l'aube de mes 16 ans.
Tout s'est cri, tout ce sang...AïïïE!! Hurlais-je de douleur en sentant une balle traversai ma jambe, que j'avais ramené contre moi.
-Maintenant, tu vas mourir et ce sera la fin des Romanov! Dit le chef de la garde en riant diaboliquement.
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Le Destin D'une Vie
Ficțiune istoricăEt si Louis XIV roi de France, n'avait pas épousé l'infante d'Espagne Anne d'Autriche, mais la dernière héritière des Stuart, reine d'Écosse Elizabeth Stuart. Et si cette fille était loin d'être fille facile, une princesse parfaite, mais plutôt une...