Chapitre 5

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Confie-toi en L'Éternel de tout ton coeur, et ne t'appuie pas sur ta sagesse.

( Proverbes 3 : 5 )

Peter en média, bonne lecture.😊


....
Moi : Ouais je sais, moi aussi je t'aime ma chérie, bay à demain.
Elle : Bisou.

Fin d'appel.

Elle : humhum..( raclement de gorge )
Moi : Quoi ? Olingi nini ? ( tu veux quoi ?)
Elle : Les parents t'attendent au salon principal, et toi t'es là à faire le romantique avec ta chérie au téléphone.
Moi : Etali yo na nini ? ( Ça te regarde en quoi ? ) Et puis ferme là, espèce d'agitée.
Elle : hum, n'empêche qu'ils t'attendent depuis une demi heure.

Je l'a lance un regard tueur qui l'a refroidie direct, j'en profite pour remonter les glaces de ma voiture, j'aurais d'ailleurs dû le faire depuis mon arrivé, au moins ça aurais pu empêché cette agitée de Brunelle d'écouter la conversation que je viens d'avoir avec ma chérie.
Je descend donc de mon véhicule puis l'a vois tourner les talons et repartir, sûrement satisfaite de ses actes.
Brunelle c'est ma petite soeur adorée, et même si parfois elle m'énerve mais cela ne m'empêche pas de l'aimer et de me montrer très protecteur envers elle, elle est quand même la seule que j'ai.

Je rejoins le salon principal où se trouve les parents selon Nell (Brunelle), j'arrive et leur trouve assis chacun dans un canapé différent, mon père à gauche concentré sur son portable, et ma mère à droite concentrée sur la télé.
L'ambiance est plutôt froide, je décide de leur saluer, mais bon c'est peine perdu puisque personne ne répons.
À mon deuxième bonsoir je décide d'abandonner, et m'assois sur le canapé à côté de ma mère, qui elle semble toujours aussi froide avec moi.
Ça ne la ressemble pas, je suis quand même son fils bien-aimé.
On a passés au moins 10minutes dans le silence, je décide de le briser en demandant à maman ce qui n'aller pas.

Ma mère : mtshiiuum..! Tu n'as pas honte de toi ?
Moi : mais mam que ce que je fais ?

À l'instant où j'ai pronnoncé ces mots, je vois mon père déposé son iphone sur la table basse du salon, et me regardé droit dans les yeux, ça fais peur ça.

Mon père : Peter ! Que ce que je n'ai pas fais pour toi ! Je t'ai nourris, je t'ai vetû, je t'ai logé, t'as étudié dans les plus prétigieuse écoles et unirvesité de ce pays et c'est comme ça que tu me remercie ?
Moi : mais pa que ce que je fais, jusqu'à là je n'y comprends rien.
Lui : Tu oses me le demander Peter ? Que ce que tu as fais ! ESPECE DE BON À RIEN! ET BIEN MOI JE VEUX TE DIRE CE QUE T'AS FAIS ! APRÈS TOUT CE QUE JE FAIS DANS TA VIE C'EST COMME ÇA QUE TU VEUX ME REMERCIÉ ?
Moi : mais papa je--
Lui : FERME TA BOUCHE ! TU N'ES QU'UN BON À RIEN DE FILS.
JE T'AI DEMANDÉ QU'UNE CHOSE UNE SEULE CHOSE ! ET TU ES TELLEMENT BON À RIEN QUE MÊME ÇA TU SAIS PAS LE FAIRE.
JE T'AI DEMANDÉ D'ÊTRE LE FIANCÉ DE CETTE FILLE, ET MÊME JUSQU'À ÊTRE SON MARI S'IL LE FAUT POUR QUE JE PUISSE BÉNÉFICIER DES GRÂCES DE SON PÈRE, TU SAIS TRÈS BIEN QUI EST SON PÈRE, MIS ÀPART LE FAITE QU'IL EST MILLIONNAIRE, IL EST AUSSI LE FOURNISSEUR LE PLUS IMPORTANT DE MES INTREPRISES, ET TOI TU VEUX FOUTRE 20ANS DE TRAVAILLE DE DURE LABEUR EN L'AIR C'EST ÇA ? ESPÈCE DE FÉNÉANT TU N'AS JAMAIS RIEN FAIT DE TA VIE, TU ATTENDS QU'ON TE SERT TOUT SUR UN PLATEAU D'ARGENT !

MaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant