Chapitre 30- Croire en ses rêves

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Point de vue : Caroline

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Point de vue : Caroline

— Rebekah, peux-tu venir m'aider ?

Ce n'est pas possible de lutter autant. Lorsque j'ai choisi cette robe, il restait pourtant de la place.

— Waouh, tu es magnifique ! me dit la blonde originelle en entrant dans la pièce.

Son aveu manque de me faire pleurer. J'ai envie de la prendre dans mes bras pour lui faire un câlin. Fichues émotions à la noix, c'est encore pire que le vampirisme.

— Merci, mais ce serait vraiment parfait si j'arrivais à la... fermer.

Pour appuyer mes dires, je me tourne vers elle, lui dévoilant mon dos où la fermeture de ma robe reste, malgré mes nombreux essais, coincée en bas de mes reins.

La main plaquée sur ses lèvres pulpeuses, elle retient son rire.

— Je t'en prie, ne rigole pas.

Malgré toute sa volonté pour m'aider, le fermoir rend l'âme entre ses doigts. Son air horrifié provoque aussitôt le mien.

— Oh mon Dieu ! Comment vais-je faire si je n'ai plus de robe ?

Pour me calmer, Rebekah attrape mon visage en coupe.

— Caroline, cesse de t'inquiéter. Ce jour va être le plus beau de ta vie et rien ne changera ça. Je te promets qu'on va trouver une solution. Arrête de stresser, ce n'est pas bon pour toi ni pour mon neveu.

Son quoi ? 

...

La porte d'entrée claquant fortement contre le mur termine de me réveiller dans un sursaut. Ce n'était qu'un rêve, une fois de plus. Quoique celui-ci soit bien plus agréable que les précédents. Tandis que les autres annoncent la mort de mon originel par mon meilleur ami celui-ci symbolise, au contraire, la vie. Sans compter, que Rebekah et moi sommes bien loin d'avoir ce genre de relation.

— Est-ce qu'on peut savoir où tu étais ? tonne la voix d'Elijah.

— Parti barboter dans le bayou ! répond Klaus d'un air si niais que j'ai l'impression de voir d'ici son sourire mesquin.

Je m'étire du fauteuil où je me suis assoupie et pars rejoindre les deux frères.

— Nous avons un plan à mettre en place pour libérer la sœur de Sophie pendant le bal masqué et toi tu ne trouves rien de mieux à faire qu'une balade au fin fond du Bayou.

L'ainé a l'air au bord de la crise de nerfs. Il devrait pourtant être habitué, son frère n'écoute jamais rien d'autre que ses propres règles.

— De quoi te plains-tu ? Je t'ai rapporté une petite surprise.

D'un geste théâtral, il pivote sur le côté tout en étendant sa main vers la porte.

Entre rêves et réalité  ( EN COURS DE CORRECTION )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant