Partie 2 : « Mes petits bijoux ! »

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Le garage était lugubre et sombre, à peine éclairé. Une silhouette dans l'ombre pouvait être visible par les deux acolytes.

« Ah... Je vous attendais avec impatiente mes petits bijoux. » Exprimait sa joie le directeur du restaurant, de bonne humeur visiblement et en bonne compagnie avec ses sous-fifres.

« Qu'on en finisse au plus vite, je veux aller dans le bar du restaurant avant qu'il ferme. » Répondit Sanji sur un ton agacé.

« Vous vous êtes fait une réputation en or ! Vous avez su vous faire craindre des plus grands trafiquant de la ville, je suis vraiment très impressionné... » Le patron était comblé de bonheur d'après ses dires. Il le savait qu'il était le plus grand trafiquant de la ville, en partie grâce au travail de Zoro et Sanji.

« Je n'avais pas besoin de ce boulot pour qu'ils me craignent. » Disait l'homme aux cheveux vert en tournant le dos à son chef.

« Vue votre confiance, j'imagine que votre livraison s'est bien passée... » Questionnait le directeur tout en ce frottant les mains d'impatiente

Comme un automatisme, les deux hommes commençaient à déballer la cargaison de leur chef. Les types de drogue étaient maintenant disposés devant leur chef.

« Il nous a donné plus que prévu, je pense que c'est pour se faire pardonner des manquements aux autres livraisons. » Lui disait Sanji en sortant les sachets remplis des suspenses illicites.

« Sil n'avait pas fait ça, je lui aurais collé une balle entre les deux yeux. » Disait le chef en imitant un pistolet avec ses deux doigts. Le chef prenait un des sachets en main. Il sortait une de ses pilules, et le mettez dans le creux de sa main. « Cette toute petite chose peut rendre complètement dingue celui qui l'a consomme. » Expliquait le patron en montrant la pilule de près, elle était toute blanche, toute petite.

« Cette drogue est réservée à nos clients les plus fidèles. Ces trucs se vendent comme des petits pains. » Le patron du restaurant avait mis en vente ces pilules directement dans le restaurant en plus de la gastronomie.

Sanji détestait son travail. Un lieu sacré comme un restaurant blasphémé par de la drogue, servis aux clients comme des bonbons. L'envie d'une cigarette se faisait ressentir. Sanji ne perdait pas plus d'un instant, il prenait la dernière drogue et la donnait au patron

« Ah j'aime quand ça va vite ! » Rigolait excessivement le directeur, il l'ouvrait et demandait aux deux jeunes hommes de se rapprocher « Voyez comment ces petits cristaux rouge clair brillent. Elle est très demandée et beaucoup plus accessible en tête de prix. Elle fond délicatement dans la bouche et ce dissout. Elle rend complètement ivre son utilisateur. On peut facilement savoir les consommateurs de cette merde, car leurs pupilles tournent au rouge. »

« Dit le vieux, tu ne veux pas nous laisser boire un coup avant la fermeture du bar ? » Demande Zoro en toute honnêteté. Les yeux des gardes de sécurité s'étaient écarquillés. Comment osait-il parler de la sorte au directeur ?

« Il est fou » « le patron va lui pulvérisé la cervelle » pouvaient résonner dans le garage.

Quel crétin pensait Sanji

« Hahaha, tu ne manques pas de tact, Roronoa, tu sais quoi ? Je t'aime bien... On est ami depuis le temps, vous pouvez disposer. Vous aurez tous deux une compensation financière pour cette livraison, comme d'habitude. » lui tendit la main le patron. Avec nonchalance, Zoro lui tapait dans la main.

Le patron est vraiment de bonne humeur aujourd'hui, pensait Sanji.

Les deux acolytes commençaient à quitter le garage, mais se faisait interpeler une nouvelle fois par leur directeur. « Oi, tenez  » Le patron avait jeté un sachet rempli de drogue, la jolia. « Cette drogue, vous aussi, donne les effets de l'alcool. Ça devrait te plaire, Roronoa. »

Réécriture | Azur's restaurant (Zoro, Robin) (Sanji, Nami)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant