Chapitre 11

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J'avais mal à la tête, et au bras, et à la gorge... En fait j'avais mal partout. Je voyais tout noir, je clignais des yeux plusieurs fois avant de comprendre que ce n'est pas ma vision. Il faisait nuit. Dans le ciel, seul les étoiles brillaient, la lune avait décidé de ne pas se montré. Je tentais de me lever mais quelque chose était posée sur ma jambe.

Je fronçais les sourcils en voyant une énorme tête posé sur mes genoux. Je fus d'abord suprise ne comprenant pas pourquoi j'avais un griffon sur mes genoux. Petit à petit je me remémorais ce qui c'était passé la nuit dernière.

Démon avant posé son énorme tête sur mes jambes tendues. Je restais un moment sans bouger avant de tendre la main pour lui toucher la tête. Il releva précipitamment la tête regardant dans tout les se sens, cherchant la quelconque trace d'agression.

- C'est que moi t'inquiètes pas ! Dis-je d'une voix rauque.

Il tourna vers moi ses yeux doré, il inclina la tête avant de se lever précipitamment pour me donner des petits coups de bec. Il poussait des petits cri que je devinais être des cri de joie.

- Arrête ! J'ai compris ! De rien de t'avoir aidé !

Il s'arrêta pour glisser sa tête sous mon bras. Je fronçais les sourcils. Il essaye de m'aider à me mettre debout. Je pris appuye sur lui pour me levé. Mes jambes était lourdes et engourdis.
Après quelques instants J'arrivais à me mettre debout sans tomber, mais j'avais toujours les jambes flageolantes.

- Merci. Dis-je au griffon.

Il continua de me fixait avec ses grands yeux. Il était vraiment énorme, je ne lui arrivait légèrement en dessous de l'épaule. Il devait faire deux mètres au minimum. Il avait les ailes replié contre le corps, mais elle devait une fois déployées mesuré deux mètres chacune.

Je le detailais de fond en comble, je ne lui trouvais aucun défaut, tout était magnifique sur lui. Excepté les drôle de trace qu'il avait sur ses pattes, je pu cette fois ci voir se que c'était. De longues coupure barraient ses pattes de long en large. Certains étaient récentes, d'autres plus anciennes, comme des trace de chaîne où de cordes. Elle était facile à distinguer, ses pattes avant étant couvertes de poils, les endroits au se trouvait les blessure en étaient dépourvu. Ainsi que le bout de ses serres terminé par de longues griffes grande de dix centimètres, mais ça c'est normal.

- Mon pauvre mais qu'est-ce qu'il on bien pu te faire !

J'allais toucher les blessure quand la situation me revient en mémoire. Je venais de sauvé un griffon qui avait faillit être brûlé vif par ses propriétés. Je l'avais aidé à s'échapper des flammes au risques de ma propre vie, sauvé un griffon que soit dit en passant je n'ai vu qu'une fois.

Je me tournais vers lui, vers Démon. Qu'est-ce que j'allais faire de lui ! Se pourrait aller le rendre au propriétaire, mais vu les tortures qu'il lui avait faite je ne crois pas que celà soit une bonne idée. Et puis, comment je leur expliquerai que j'ai sauvé leur griffon. Je suis juste une civil !
Sans m'en rendre compte, en voulant sauvé se griffon, je venais de me mettre dans la mouise. Et le gardé était impensable ! Je n'avais pas la place de le garder et encore moins de le nourrir ! Vu sa taille il devait bien mangé mon poids en viande et en autres aliments.

- Je vais faire quoi...

Le libéré dans la nature. Mais il y a de fortes chances pour qu'il ne sache pas se nourrir lui même où qu'il ne sache pas survivre en forêt. Je ne savais plus, je ne savais pas. Je plaçais ma main sur mon visage il fallait que je demande à quelqu'un de m'aider.

- Tatie !

Je me précipitais vers la bibliothèque, elle dormait là bas donc elle y serait à coups sûr. Mais, en commençant à courir j'entendis des bruits de griffes sur le sol. Je m'arrêtais pour voir que le griffon me suivait. Me fixait avec son éternel regard.

Combattante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant