Chapitre 31

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J'avais harcelé Newt pour savoir quelle était cette " Chose à me dire", mais il n'avait rien voulu dire. Il c'était contenté de répéter "à mon retour". Il l'avait fait exprès. Il savait pertinemment que j'allais passais tout le temps de son absence à essayer de deviné quel était cette chose.
Je poussais un soupir en regagnant ma maison. Le temps était couvert, la pluie n'allait pas tardé à tomber. Je pressait donc le pas pour rentrer chez moi le plus vite possible. L'odeur des poubelles dans le nez, j'avançais en direction du sud-est de la ville.

En passant dans une des ruelle de la ville, je vis arrivé dans ma direction deux hommes habillés d'une longue veste bleu foncé, ainsi que d'une sorte casque. Je baissait instinctivement la tête, accélérant le pas pour ne pas rester trop longtemps sur leur chemin. Une fois les Poulets dépasser je laissais un soupir s'échapper de mes lèvres. Le maudit soldat du Tyran était encore en train de ratisser la ville. Mais, il était moins nombreux que d'habitude. Les Poulets était comme les vautours, cherchant désespérément quelques choses où plutôt quelqu'un à tourmenter.

Mais le pire était peut-être que les Poulets pouvait cacher des vrai prédateurs. Gravé dans ma mémoire, le Soldat Loup. Un tueur à la solde du Tyran, j'en avais parlé à Kristal de cette homme que j'avais vu. Elle m'avait dit de me méfier de lui, pire que la peste, des rumeurs couraient sans les rangs des Combattants, comme quoi lorsque un homme vêtu d'un masque de loup faisait son apparition, l'espoir de gagner une bataille était anéanti.

Je secouais la tête, le moment n'était pas choisi pour pensé à se genre de chose. J'arrivais au pied de mon chez moi. Un immense bâtiment fait de briques et te tôles rouillé. Je grimpais par les escaliers de métal se trouvant à l'extérieur. Au bout de quatre palier monté, j'ouvris une fenêtre avant de me glisser à l'intérieur. Une pièce quasiment entièrement vide, excepté une table en bois rongé par les mites. Sous la table une boîte en carton vieux et abîmé. Je m'étirais avant d'aller vers le fond de la grande pièce pour ouvrir une petite porte menant à une petite pièce. À l'intérieur quelques bout de tissu et des grands tapis. J'en pris un au hasard avant de l'ouvrir sans l'autre pièce. Je le jetais au sol avant de m'allonger dessus. Une bonne nuit de sommeil me ferait du bien. Je contemplais le plafond de ma maison, songeant à mes futurs journée d'entraînement, tout en touchant du bout des doigts le pendentif que Newt m'avait offert. Un sourire fendit mon visage en repensant à Newt. Il allait me manquer.

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- Plus haut l'épée ! Cria Kristal.

Je me penchais pour esquivé un coup d'épée. Je me relevais en tentant une percé sur le côté, mais rapide, Kristal réussi à paré mon coup. Je reculais, le souffle court. Elle est moi nous battions depuis maintenant une heure. Aucune d'entre nous deux arrivait à touché l'autre. Bien sûr on utilisait des épée en bois, pour ne pas blesser l'autre grièvement, mais celà faisait quand même assez mal.

Je vis derrière Kristal une petite branche de bois. Une idée germa dans mon esprit. Levant vivement mon épée je lui abattait sur le haut de la tête bien sûr, elle plaça son épée entre.

- Franchement... Tu pensais que c'était comme ça que t'allais m'avoir ?

- Non, pas vraiment.

Je brisait le contact entre nos deux épées en poussant sur la sienne, elle recula et perdit l'équilibre. Elle ne tomba pas au sol mais je réussi à mettre mon épée de bois sur ça poitrine. Elle regarda le bout de l'épée, puis me regarda moi. Un sourire sur le coin des lèvres elle dit :

- Je t'ai bien formé ! Je suis la meilleure professeur possible.

Je baissais mon épée avant de me tourner vers le temps.

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