Combattante

Chapitre 18

Je n'avais pas réussi à fermer l'oeil de la nuit. J'avais dit que je ferais cette course mais de plus en plus la boule dans mon estomac devenait grosse. Plusieurs raisons me poussais à ne pas la faire, je me tournais et retournais dans mon lit, cherchant des solutions, où plutôt des excuses pour ne pas faire la course.

Il y avait notamment le fait que les organisateurs puisse reconnaître Blaze. Un griffon comme lui c'est pas tout les jours qu'on en voit. Mais là encore Maître Sheng n'avais donner une solution. Le charbon pourrait servir comme une sorte de maquillage. En peignant quelques plumes de Blaze en noir, sa pourrait le faire resembler à un autre.

Je poussais un soupir, ce n'était pas se soir que je trouverais le sommeil. Je me levais en toute discrétion, maman dormais à point fermé et papa n'était pas là. Celà faisait maintenant bien une semaine qu'il rentrait super tard. Encore retenus au boulot. Ce n'était même plus une vie à se point là. J'ouvris la fenêtre pour m'assoir à l'extérieur, les jambes dans le vide.

Je contemplais la lune bien ronde et lumineuse dans le ciel. Pas de nuages pour cacher la lumière de l'astre. En bas, dans la ruelle sous ma piètre pièce qui me servait de maison j'arrivais à voir le contour de poubelles et des déchets. Mais également de quelques personnes aux activités frauduleuses. Trois paires de mains se passant certaines choses dont il vaut mieux ne pas savoir  le contenu. Sans voir, on pouvait facilement imaginer qu'il avait sur eux des armes.

Alors que j'allais m'eclipser pour ne ne pas attirer l'attention de ces personnes, quelqu'un apparus au bout de la ruelle, vêtu d'un long manteau noir surmonter d'une capuche, on ne pouvait pas voir son visage. J'avais envie de poussé un cri pour lui dire de ne pas passer par là, il allait se faire réduire en miettes par les trafiquants. Mais ça risquerait de me faire tué par la même occasion.

Alors comme un corbeau, je me décidais d'attendre patiemment que le pauvre homme ne se fasse tué. Il n'y avait pas d'autres solutions, pour aller vers le poste de contrôle je devais descendre de ma maison et m'avancée dans la même ruelle de les quarte autres personnes.  J'irai prévenir les Poulets du drame, avec un peu de chance, il sera peut-être encore en vie...

L'homme à la capuche se dirigea droit vers les trois trafiquants, le pas décidé. Je me mordais la langue un léger goût métallique se répandait sans ma bouche. L'un des trafiquants montra de la tête l'homme au manteau noir. Les autres aprouvèrent d'un rire froid. Arrivée à leurs hauteur les trafiquants se mirent à dire :

- Dit donc, on est perdu l'ami ? Tu veux un coup de main ?

Sans réponse, l'homme à la capuche ne le regardait même pas.

- C'est pas gentil dit donc !

L'un des trafiquants, le plus jeune, sorti de sa poche une couteaux, la lame brilla sous le reflet de la lune.

- Donne nous tous se que tu as où crève. Fait ton choix.

Toujours aucun mouvement, pas une once de peur ne se dégageait de cette personne.

- Bien...

Le trafiquant se jeta sur lui. Un reflet de lumière et alors le sang gicla. Je restais stupéfaite. La tête du trafiquants ne se retrouvait plus lié à son corps. Je plaçais ma main devant ma bouche pour ne pas hurlé. Le corps décapité du trafiquants se vidait de son sang sur le sol. L'homme à la capuche tenait sans sa main une longue épée, couvertes de sang.

Les autres trafiquants virent rouge, se lançant à leur tour avec leur couteau sur l'homme. L'homme en noir esquiva le premier en l'envoyant dans contre une poubelle, et il planta son épée dans le cœur de l'autre avec un bruit atroce.