Chapitre 1

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J'allais être en retard ! Je zigzageais entre les passants, bousculant les autres sans leur prêté attention. Marchant sur se qui servait de trottoir, morceau de béton surélevés. Les bâtiments se succédaient, tous identique, de couleur gris, noir ou rouille, fait de tôles ou de pierre brute.

Je traversais la voie des trains en quatrième vitesse. Les trains passait toute les cinq minutes en vrombrissant et en crachant leur immonde fumée noire à l'odeur âcre. Traversant les ruelles pleines d'ordures inidentifiables. Et peuplé de rats et d'autres rampant.

Au dessus de nos têtes passais d'énormes dirigeable propulsé par des hélices. Je regardais cette énorme engin issue de la technologie. Mais, mon attention fût attirée par autres choses. Juste derrière le ballon, volait un gros oiseau, un oiseau blanc comme la neige. De longues ailes tendue, avec toute les plume bien distinctes. Planant gracieusement dans le ciel comme un flocons de neige emporter par le vent.

Je contemplais avec admiration ce magnifique Volant. C'était une colombe géante. Elle était gracieuse, mais elle n'est pas faite pour les courses. J'enviais, cependant, celui qui se trouvait sur son dos.

Je ne pouvais pas être en retard, pas aujourd'hui. Je coupais par une ruelle sombre que j'avais  l'habitude d'emprunter. L'odeur des déchets étaient épouvantables. Je me pinçais le nez tout en continuant de courir à un bon rythme.

Je continuais d'avancée, tout droit, puis à gauche encore à gauche. Je connaissais cette ville, et plus précisément ce chemin comme le font de ma poche. La moindre petit plantes qui avait le courage de pousser dans cette horrible endroit, le moindre trous à rat.

Après une dizaine de minutes de course dans les ruelles poubelle, presque à bout de souffle j'arrivais devant un grand bâtiment. Marchant sur les pavés qui commençaient à s'espacé pour laisser place au beton gris puis à une herbe verte- brunne.

À l'écart de la ville, là ou l'herbe commençais à manger le béton, là où la nature reprenait c'est droit, se trouvait, une vieille tour de guet abandonnée depuis bien longtemps, abandonnée depuis que le Tyran avait pris le pouvoir et que tout les villes était devenu une partie de son royaume.

Je fis le tour du bâtiment, recherchant la porte qui menait tout en haut. Cachée derrière des planches de bois moisies et des plantes grimpantes que j'avais mise, spécialement, pour que personne ne la trouve la porte de mon royaume secret. Je montais les marches deux à deux. Passant devant les petits fenêtres qui montrait la ville qui diminuait petit à petit.  Laissant l'air croupis et asfictiant pour ceux qui se trouvait au ras du sol. 

Après des dizaines et dizaines d'escaliers monté, j'arrivais enfin en haut. Une vue à couper le souffle de tout le monde s'étendait à pertes de vue. Oui, même pour moi qui venait ici très souvent, j'étais à chaque fois impressionnée. En haut de cette tour, j'avais une vision de deux mondes totalement opposé.

L'une, celle du ville sale, polluée, habitée par des personnes considérés comme des rats d'égout par les autres habitants des Hautes Classes. L'autre, celle d'une nature sauvage, indomptée et indomptable. Nature qui abrite en sont sains, des créatures dangereuses et sauvages. Nous avions peur de cette forêt, de ce qu'elle pouvait bien caché entre ses branches tordue.

Il y eu une bourrasque de vente, faisait volé mes cheveux noirs dans tous les sens. Je souris en tendant les mains pour faire comme des ailes. Laissant le vent caressé mes doigts de son souffle.

Une joie immense s'empara de moi. J'aimais cette endroit, c'étais mon repaire à moi. Je venais là à chaque fois que j'en avais la possibilité. Chaque moment passé ici, même si ce n'est que pour quelques secondes, arrivaient à me combler de bonheur. Je poussais un soupir de satisfaction.

Combattante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant