Comment suis-je entrée dans la mafia japonaise?

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PDV HINATA
Je me lève après une bonne nuit de sommeil bien réparatrice. Aujourd'hui, je commence un essai dans le journal le plus vendu au monde, j'ai nommé le Yomiuri Shimbun !
Je suis vraiment excitée d'aller travailler, de voir le mode de fonctionnement des japonais.
Je regarde mon réveil pour m'assurer que je ne suis pas en retard, pour tout vous dire, je commence à 9h00 et finis normalement à 17h00 mais tout dépend de comment j'avance.C'est donc pour cela que je me suis levée à 6h00.

Après un long passage à la salle de bain, je sors habillée d'un jeans noir, d'un t-shirt blanc et de petites baskets. En tant que journaliste, je n'ai pas besoin de porter une tenue formelle au contraire je dois porter une tenue confortable et qui me permettra de me déplacer en toute facilité. Ensuite, je vais dans ma chambre, prends mon sac et descends dans le salon où je croise Kiba et Shino qui sont eux aussi habillés dans une tenue des plus décontractés.
Tenten nous tend à chacun nos bentos et nous voilà parti pour 35 min de trajet entre la gare de Shibuya et le Yomiuri Shimbun.

Arrivés à la gare, nous entrons dans un train qui part au Yomiuri Shimbun. Cependant le train est bondé de monde! Il y a tellement de personnes dans le train que Kiba est collé à moi. Il rougit et moi de même tellement nous sommes serrés! Je cherche Shino et je le vois entouré par plusieurs personnes. Introverti comme il est, je sais qu'il est gêné d'être entouré de personnes qui lui sont inconnus.
Kiba: Hum, ça va Hinata?
Hinata: Oui et toi?
Kiba: Je vais très bien. T'as hâte?
Hinata: Oui, je suis vraiment excitée de commencer mon stage aujourd'hui!
Kiba: Hina, ça te dit qu'on sorte ce soir?
Hinata: Ouais faut juste qu'on prévienne Shino!
Kiba: Non..Hina. Fin, je veux dire, j'ai envie qu'on aille rien que tous les deux...

Alors là, je n'y crois pas mes oreilles! Kiba a envie qu'on aille rien que tous les deux se promener!
Hinata: Et où irions nous?
Kiba: À Roppongi!
Hinata: Cool Alors.
Kiba voulait me parler mais il fut coupé par la voix-off du train qui nous prévient que nous sommes arrivés au Yomiuri Shimbun.
Nous réussissons à nous extirper de la foule et cherchons Shino sur le quai. Après environ 4 minutes de recherches, nous le retrouvons enfin.

Ensuite nous nous dirigeons à notre lieu de « travail » grâce aux panneaux de direction.
Une fois arrivés, nous nous rendons dans le bureau Monsieur Hikari. Durant notre cours trajet, certains employés regardent Kiba et Shino avec étonnement ce qui me fait rire.
Enfaite, c'est la première fois qu'il y des gaijin( étrangers) ici.
Pour ma part, les employés me saluent dès qu'ils me voient, à leurs yeux, je ne ressemble pas tant que ça à une étrangère contrairement à mes deux meilleurs amis!

Lorsque nous arrivons devant le bureau de Monsieur Hikari, nous nous mettons à stresser alors nous désignons l'un de nous pour qu'il toque à la porte du bureau de notre supérieur.
Pour désigner qui sera l'élu, nous utilisons la courte paille et bien évidé selon tombe sur... moi! De toute façon, j'ai toujours la poisse.
Après avoir pris une grande inspiration, je m'élance et toque à la porte. « Oui » entendons nous. J'ouvre alors la porte et Kiba et Shino me suivent de près.

Laisse moi vous faire la présentation de Monsieur Hikari. Monsieur Hikari est une homme rondouillard, possédant des cheveux grisonnants et des lunettes. Il n'est pas très grand, je dirai environ 1 mètre 65. Cependant, il a un regard qui peut vous glacer le sang.
M.Hikari: Bonjour. Donc, c'est vous les trois stagiaires que nous allons avoir avec nous?
Nous hochons tous de la tête
M. Hikari: Très bien! Allez retrouver Mlle Anko Mitarashi. Elle vous attend au fond du couloir.
Hinata: Bien!
Nous finissons donc par laisser notre supérieur vaquer à ses occupations. Durant notre trajet, je sens une boule dans mon ventre, et plus nous avançons, plus le stress monte en moi.

Comme avait dit M. Hikari, nous trouvons Mlle Anko Mitarashi au fond du couloir. Cette dernière est très élancée, fine et vraiment jolie. Elle a l'air d'avoir confiance en soi. Nous nous approchons d'elle et là saluons d'une bonne poignée de main bien formelle. Elle nous sourit et nous explique comme va se passer cette semaine d'essai. Si j'ai bien compris les informations qu'elle nous a données, je vais rester avec M. Sarutobi pour voir comment un journaliste gère son univers.
Quant à mes deux acolytes, ils seront avec Mme Yûhi pour apprendre le métier de rédacteur.

M. Sarutobi a l'air d'être un homme vraiment très sympathique. Il possède un sourire étincelant, de yeux noirs un peu effilés, des cheveux aussi sombre que la nuit. Il mâche toujours un petite tige ce qui a tendance à me faire rire! De plus, je peux constater qu'il est un excellent journaliste doté d'un énorme charisme. Pour en connaître un peu plus sur lui, je me suis permise de regarder sur Internet quelques informations sur lui. Apparemment, il a 37 ans, il est fiancé et a une fille âgée de 4 ans. Il travaille au Yomiuri Shimbun depuis 14 ans et a obtenu plusieurs prix grâce à ses nombreux articles. D'après ce que j'ai vu, il a beaucoup travaillé sur l'univers des yakuzas. Il possède même plusieurs contacts chez les yakuzas dont Kakashi Hatake qui est un yakuza très connu et respecté, Itachi Uchiha et plein d'autres encore.

Je finis donc par le suivre. Il m'explique qu' aujourd'hui nous allons couvrir le meurtre d'un jeune japonais âgé de 17 ans. Nous partons donc vers le domicile familial de ce jeune homme. Il s'appelle Sasori, orphelin de père et de mère, il vivait avec sa grand-mère une dénommée Grand-mère Chiyo. Selon ce que nous avons pu apprendre ce jeune homme était accro à la méthamphétamine. Il avait des gros problèmes avec son dealeur. On a aussi appris qu'au lycée ce n'était pas la belle vie, enfaite, ses camarades ont appris qu'il avait des penchants sexuels différents des leurs. En gros, Sasori est homosexuel et cela dérangeait plusieurs de ses camarades et amis. Et d'après les témoignages recueillis, il était plutôt bel homme et sportif. Après, on est partis voir le médecin légiste et le verdict était clair: Sasori avait fait une overdose de drogue. Par conséquent ce n'était plus un meurtre mais un suicide. Lorsque nous sommes rentrés, Asuma et moi avons mis en commun nos informations et ensuite nous avons transmis ces informations à sa fiancée Kurenai Yûhi. Étant que rédactrice en chef, elle a rédigée cet article avec l'aide de Kiba et Shino qui suivaient attentivement toutes les directives données par Kurenai.

21h00 venait de sonner mais il restait quand même beaucoup de monde dans l'entreprise. Les rédacteurs se devaient de finir tout ce soir pour pouvoir sortir le nouveau numéro du Yomiuri Shimbun demain. Pour ma part, j'étais sur le point de rentrer chez moi. Je mettais toutes mes affaires dans mon sac. J'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose... ah oui mon rendez-vous avec Kiba. Bon bah j'ai plus qu'à l'attendre.