PDV:Livaï TOUT LE LONG DE L'HISTOIRE!)
C'est sa différence.
Juste sa différence.Le fait qu'il ne voit pas les mêmes choses que nous.
Le fait qu'il ne pense pas les mêmes choses que nous.
Le fait qu'il n'ai pas vécu les mêmes choses que nous.
Le fait qu'il n'ai pas appris les mêmes choses que nous.Tout ce qui le constitue est étrange.
Tout ce qui a bâti son mental bancale est fascinant.Il est si beau et pourtant si triste.
Il est si fort et pourtant si fragile.
Il est si souriant et pourtant si brisé.
Un inconnu en lui. Celui qui lui pourris le vie. Deux mentales, complètement paradoxale.Il ne me laisse pas entièrement entrer dans sa vie.
Il y a toujours cette barrière.
Ce prénom que je ne connais pas.
Comme un rempart à son cœur.
Il le garde en dernier recours.
Si le reste ne marche plus, si je lui prends tout, il lui restera son nom.Je comprends la douleur.
Je l'ai vu.
Mais la sienne me paraît si dure à manier, à ne pas laisser déborder.Elle l'explose.
Chaque jours, je vois chacune des fissure apparaître, une par une, lentement.
La haine le bouffe.
Elle le bousille.Peu à peu, son sourire à fini par se ternir, ses gestes et ses paroles on perdu leur vivacité, son regard s'est éteint.
Ça lui fait mal.
Ça m'fait mal.
Ça nous fait mal.C'est d'une complexité...
Être humain.
Grandir.
Mûrir.
Se construire.
Puis se détruire.
Pour ensuite tout rebâtir.
Et toutes ces conneries.
Ce soi-disant avenir à portée de main.
Impalpable.
Leurs histoires à la con pour les gosses.
Pour faire croire aux gamins qu'ils vivent sur un nuage fabuleux.
Magique.Mais vous savez quoi ? Dans la véritable histoire, Ariel disparaît pour l'homme qu'elle aime. Aurore se fait violer dans son sommeil. Peter tue les mômes trop grand. Cendrillon ne pardonne pas ses sœurs... Non, loin de là. Au contraire, elles se font bouffer les yeux par des oiseaux.
Magnifique ne rime pas forcément avec maléfique.
C'est triste, mais on ment.
Sûrement trop.
Ou peut-être pas assez.On est toujours préssé.
''Préssé''... et puis quelle merde ça aussi.
Toujours avancer à 2000 à l'heure sans se préoccuper de ce qui nous entoure. On prend même plus soin des gens qui s'endorment côté de nous.Mais je suis différent. Il est différent.
''Ça me dégoute.'' disait-il.
''Ça me dégoute, la façon qu'ils ont de me regarder lorsque je leur dis mon nom. De me parler, de prendre des gants. C'est pour ça que tu ne te contenteras que de ce que je te donne. ''
Il me surprend.
À chaque fois que mon regard se noie dans l'océan bleu de ses yeux.Bleu est un faible mot.
Il y'a milles et une nuance au fond de ces eaux.
Je pourrais toutes les citer.Je le connais par cœur.
Sur le bout des doigts.
Comme ma poche.Je ne le connais que trop bien.
Je ne l'aime que passionnément.
Il ne me brisera qu'à la folie.Folie pure.
Aussi pure que son être souillé.
Que ses bras mutilés.
Que son âme déchirée.Drôle d'homme.
Spécial.
Peut être trop.Si je vous parlais de celui qui a su dégeler mon cœur, on en aurait pour autant d'années qu'il n'y a d'étoiles dans le ciel.
Il est mon univer anonyme.
Mon monde sans nom.
Ma planète inconnu.Pourtant, je pensais tout savoir.
Tel Socrate. Je ne savais finalement que dalle.
Pourquoi pas raconter cette histoire?
Celle de l'infini que l'on c'était promis, l'infini qui n'a duré qu'une minute éternel.
La Lune pourra vous le confirmer, j'ai vraiment été amoureux de Lui.
Tout commence et se termine avec ça: