Chapitre 4 : Nuit torride - Max (réécrit)

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Elle gloussa alors que je la portais sur mon lit. Son rire légèrement étouffé contre mon épaule me procura mille frissons qui longèrent ma colonne et descendirent jusqu'à ma queue. Elle avait un petit quelque chose en plus que mes autres coups d'un soir n'avaient pas. Tout semblait naturel. Elle apportait quelque chose de rafraichissant dans ma vie de célibataire. Un drôle de sentiment me traversa la poitrine. Je n'y prêtais pas trop attention et me concentrai sur le petit corps affriolant, plaqué contre mon torse nu. Je me laissais porter par mon envie d'elle. Elle avait l'air d'aimer ce que je lui faisais jusque-là. J'avais hâte d'entrer en elle. La faire jouir avait été un pur moment d'extase. J'avais rarement pris autant de plaisir. Je la posai sur mon lit et me finis d'ôter mes derniers vêtements. Sans attendre je récupérai un préservatif. La miss, joueuse, me le prit des mains et me l'enfila tout en me regardant avec des yeux de coquine. Je voyais bien qu'elle avait envie de me sucer mais j'avais trop envie de m'enfouir en elle.

— Pas tout de suite bébé, je veux m'enfoncer en toi avant.

Mes mots attisèrent son excitation. J'avais bien remarqué que mes paroles un peu crues lui faisaient de l'effet. J'en étais ravi, pas que je parlasse beaucoup lorsque je couchais avec une fille, mais j'aimais bien dire ce dont j'avais envie. Elle me prit tout de même en bouche. La sensation de ses lèvres contre mon membre me fit gémir. Elle jouait avec adresse, son regard lubrique plongé dans le mien me défiait de l'en empêcher. Je dus faire un effort surhumain pour ne pas me vider sur sa langue.

— Ah tu me tues chérie !

Je lui laissais le loisir de lécher mon gland tout en me caressant les couilles. Bon sang, c'était divin ! Je lui relevais les cheveux pour admirer le va-et-vient de ma queue entre ses lèvres. Lorsqu'elle prit ma bite au fond de sa gorge plusieurs fois, je crus perdre le contrôle. Je lui tirai alors la tête et l'embrassais en me goûtant sur sa langue. J'avais envie de plus. Elle voulait jouer ? Alors Nous allions jouer.

— Tu m'as défié poupée tu vas voir ce qu'il t'en coûte.

Je la fis remonter plus haut dans mon lit, presque jusque sur la tête de lit en fer forgé. Je pus ainsi lui attacher les mains sur la tête de lit. Je n'étais pas un adepte du bondage, j'aimais juste pimenter mes parties de jambes en l'air. J'essayai de garder un air sérieux mais lorsqu'elle me fixa de ses grands yeux d'ambre cherchant dans mon regard si elle pouvait me faire confiance. Je me radoucis et lui montrai comment elle pouvait se détacher d'elle-même. Rassurée, elle me laissa faire. J'appréciais qu'elle ne rejette pas complètement l'idée de se laisser dominer. J'aimais à croire que je l'avais suffisamment mise en confiance pour qu'elle me laisse faire. Je lui écartai les jambes et vérifiai de ma langue et de mes doigts si elle était prête à me recevoir. Elle gémit sous mes caresses, se cambrant pour m'offrir son corps. Elle était encore plus humide. Elle n'attendait plus que moi. Ses yeux avides et impatients réclamaient le poids de mon corps sur le sien. Je me relevai alors butinant sa peau douce jusqu'à atteindre ses lèvres. Mon bassin s'aligna contre le sien, nos deux corps sur le point de fusionner.

Sans plus attendre je la pénétrai. Ce fut comme un feu d'artifice. Sa chatte douce et chaude serrait ma bite à la perfection. Je m'arrêtai une fois en elle, la regardant puis l'embrassant. Cette pause nécessaire me permit d'éviter l'implosion. Elle était si étroite, j'avais l'impression de la remplir entièrement. D'un coup de rein, elle me fit comprendre qu'il était temps que je me mette en mouvement. D'abord doucement puis accélérant malgré moi, je fus pris dans un tourbillon de sensations déroutantes et délicieuses à la fois. Je glissais alors ma main entre nous et trouvai son clitoris sous mon pouce. Je n'eus qu'à en faire deux fois le tour avant qu'elle ne jouisse autour de moi. Elle était tellement réceptive. Des milliers d'images d'elle dans des postures sexy me traversèrent l'esprit. J'avais envie de la faire jouir encore et encore. J'attendis à peine qu'elle reprenne son souffle et la retournai. La tête sur le matelas, à genoux elle m'offrait son cul de déesse. Je mordis sa fesse gauche, elle laissa échapper un cri de douleur.

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