MA MALÉDICTION (Tome 1)

CHAPITRE I

-- George! Hurla Monica au bord de ĺa folie

Il n'écoutait pas trop sa femme, d'un pas décidé, il quittait la pièce avant que cette dernière ne lui fasse changer d'avis car c'était assez éprouvant d'avoir une conversation sérieuse a avec elle. 

la tête faussement calme, il retrouvait ses deux filles à table pour le petit déjeuner.

-- bonjour papa. Fit Alicia avec un sourire faussement joyeux.

-- bonjour ma puce, ça va ?

-- oui... papa je voulais t'emprunter ta carte... je dois m'acheter un truc et...

-- on en reparlera Ali. coupa t-il nerveusement

-- dis moi, Maria.

-- oui papa.

-- je voudrai que tu assistes a une réunion avec nos partenaires commerciaux ce après midi.

-- je ne peux pas, j'ai promit à la fille de Ursule de lui apprendre à jouer au piano

-- sa pourra attendre, s'il te plait ma chérie. Je ne vois pas en qui es ce que je pourrai avoir confiance. Essais de faire un effort, rien que pour aujourd'hui. tu n'auras juste qu'à noter quelques suggestions et c'est tout. suppliant t-il

Aussitôt, Alicia se levait de sa chaise, vexé par les propos de son père, comment pouvait-il l'ignorer a ce point, c'était presque humiliant.  elle se mit alors a débarrasser son couvercle.

-- tu ne termine pas ton petit déjeuner? Demande son père perplexe.

-- fout moi la paix papa.

-- Alicia ne parle pas ainsi à ton père. Intervint sa mère.

-- et bien ton mari n'a pas l'air de m'appercevoir alors je vais terminer mon repas dans la cuisine.

-- ce n'est pourtant pas ce qu'il à voulu dire. Coupa María avec douceur.

-- María par ci, Maria par là. Toujours Maria. Ironisa Alicia avec une rage intolérable.

-- mais non... c'est pas ce que tu penses Ali. défendit Maria. 

-- toi ne me parle pas. Mère Theresa. Cracha t'elle avec ironie

-- pourquoi faut t-il toujours que tu joue à la capricieuse. Papa t'aurai certainement demandée d'assister à cette réunion si tu n'avais pas abandonné tes études pour un salopard comme John. Rétorqua Maria sur la défensive.

-- madame l'intello. Et bien ,Moi j'ai un homme, un vrai, virile avec des muscles là ou il le faut et toi tu mourras vieille fille par ce qu'aucun homme ne voudra de toi. Ton intelligence ne te servira à rien.

la bouche grandement ouverte et les yeux rouge, Maria fut vexer au point d'en oublier ses bonnes manières, elle se levait furibonde pour administrer une gifle à sa petite soeur.

Son père intervenait aussitôt pour ne pas que la dispute se transforme en bagarre.
Maria sortait furieuse de table, elle ne restait pas une seconde de plus a écouter son qui allait s'en doute vouloir la raisonner . Malgré sa colère Maria fit l'effort de sortir de table en s'excusant calmement. Alors qu'elle regagnait sa chambre,  elle entendait encore sa sœur lui crier qu'elle n'était que une femme insignifiante,  grosse sans aucune grâce et que personne ne s'intéressait à elle.
Bien que gentille et tolérante, Maria avait la malédiction de supporter les moqueries de sa soeur, qui faisait toujours tout pour la mettre en rogne.

Elle montait à vive allures les marches des escaliers puis une fois devant la porte de sa chambre elle explosait en sanglot.

-- mais enfin, Ali pourquoi es ce que tu provoque toujours ta soeur de la sorte ? Demandait son père d'une petite voix.